Translation for "vêtements pour bébés" to spanish
Translation examples
Elle portait Walli enroulé dans une taie d’oreiller – elle n’avait pas de vêtements de bébé.
Llevaba consigo a Walli envuelto en un almohadón, pues no tenía mucha ropa de bebé.
Elles réalisaient des vêtements de bébé pour les Arméniens qu’on disait affamés, et pour une organisation appelée Overseas Refugees [2].
Tejían ropa de bebé para los armenios, que según ellas se morían de hambre, y para algo llamado Refugiados de Ultramar.
Nous avons découvert une liste détaillée des objets rangés au grenier : patins à glace des enfants, vêtements de bébé, matériel de tricot.
Descubrimos una lista detallada de los objetos almacenados en el desván: los patines de los chicos, la ropa de bebé, agujas y demás elementos para hacer punto.
Yngve et Kari Anne nous envoyèrent les vêtements de bébé qu’ils avaient conservés, mais le landau qu’ils avaient promis se fit attendre et l’irritation de Linda allait grandissant.
Yngve y Kari Anne nos enviaron la ropa de bebé que ya no necesitaban, pero el carro que nos habían prometido se hacía esperar, para la creciente irritación de Linda.
À la fermeture du marché, je tremblais si fort que j'en ai lâché mes vêtements de bébé dans une flaque de boue. Je ne les ai pas ramassés. Je craignais de trébucher et d'être incapable de me relever.
cuando cerró el mercado, temblaba tanto que se me cayó la ropa de bebé en un charco lleno de barro, pero no la recogí porque temía que, si me agachaba, no podría volver a levantarme.
Un soir, la veille du jour où je commençai à avoir des contractions, une femme me rendit visite avec des vêtements de bébé dont elle n’avait plus besoin et, assise sur mon canapé, me dit que dans les affres de l’accouchement la dernière chose qu’elle souhaitait, c’était être couchée sur le dos, insensible à partir de la base de la colonne vertébrale.
La víspera del día que me puse de parto, una mujer vino a casa para traerme ropa de bebé que ya no necesitaba y, sentada en mi sofá, me dijo que, en el trance de dar a luz, lo último que hubiese deseado era estar tendida boca arriba, insensible de cintura para abajo.
L’automne passa, le ventre de Linda s’arrondissait, elle s’occupait de mille petites choses qui tournaient toutes autour de son état : les bougies qu’elle allumait, les bains chauds, les piles de vêtements de bébé dans l’armoire, les albums de photos qu’elle faisait, les livres sur la grossesse et les premières années de la vie d’un enfant qu’elle lisait.
Pasó el otoño, la tripa creció, Linda estaba ocupada en un montón de pequeños quehaceres, era como si todo se centrara en ella, velas encendidas, baños calientes, montones de ropa de bebé en el armario, álbumes de fotos que se llenaron, libros sobre el embarazo y los primeros años del niño que se leían.
Deux jours plus tard, à son réveil, Laila découvrit une pile de vêtements pour bébé soigneusement pliés devant la porte de sa chambre – dont une robe à volants avec des petits poissons roses brodés sur le corsage, une autre en laine bleue avec des chaussettes et des moufles assorties, un pyjama jaune à pois orange et un pantalon en coton vert aux revers ruchés.
Dos días más tarde, Laila se despertó por la mañana y encontró una pila de ropa de bebé pulcramente doblada en la puerta del dormitorio. Había un vestido con falda de vuelo y pececitos rosas en el cuerpo; un vestido de lana azul con estampado de flores, con calcetines y guantes a juego;
Tous les jours, elle vérifiait son solde au distributeur automatique et le confrontait à la liste des articles les plus importants dont elle allait avoir besoin : berceau, vêtements de bébé, couches, biberons, lait en poudre, couvertures, casseroles, poêles, plaque électrique à deux feux, tasses, assiettes, couteaux, fourchettes et cuillères, bouilloire, radio FM portative.
Cada día comprobaba el saldo en el cajero automático y lo comparaba con la lista de las cosas más esenciales que necesitaría: una cuna, ropa de bebé, pañales, biberones, leche, mantas, una cazuela, una sartén, una cocina de dos fuegos, una taza, un plato, un cuchillo, un tenedor y cuchara, una tetera, una radio.
Je pourrais donc tromper le discret lecteur et néanmoins lui demander, comme acte de foi en moi, en ma vie, en mon livre, de croire qu’au moment même où je prenais congé de Jéricho au terminal 1 de l’aéroport de Mexico, au milieu du grouillement infernal qui caractérise cet édifice éléphantiasique qui se prolonge dans toutes les directions avec sorties, entrées, cafés, restaurants, boutiques vendant alcools, sarapes, babioles, chapeaux de mariachis, livres et revues, pharmacies, bijouteries, confiseries, magasins de chaussures de sport, de vêtements pour bébés, une vie au jour le jour, comme à la loterie, ma patrie à moi accueillant, expulsant des milliers de touristes locaux et étrangers, curieux, voleurs, taxis, bagagistes, policiers, fonctionnaires des douanes, employés de compagnies aériennes, en uniformes, désinformés, jusqu’à constituer en un immense plat d’avoine une seconde ville à la fois d’ici et étrangère, je fus confronté à un accident qui changea ma vie.
Podría, pues, engañar al discreto lector y sin embargo pedirle, como un acto de fe en mí, en mi vida, en mi libro, creer que en el acto mismo de despedir a Jericó en la terminal 1 del aeropuerto de la Ciudad de México, en medio de la bulla infernal que caracteriza a ese edificio elefantiásico que se prolonga en todas las direcciones, salidas, entradas, cafés, restaurantes, expendios de alcohol, sarapes, baratijas, sombreros de charro, libros y revistas, farmacias, platerías, dulcerías, zapaterías deportivas, ropa de bebé y la vida al día, como la lotería, patria mía y admitiendo, expulsando a miles de turistas nacionales y extranjeros, curiosos, rateros, taxistas, maleteros, policías, funcionarios de aduanas, empleados de aerolíneas, uniformados, desinformados, hasta integrar en un enorme platón de avena a una segunda ciudad local y extranjera a la vez, hube de toparme con un accidente que cambió mi vida.
Ces marchandises – sweatshirts, vêtements pour bébés, jouets et baladeurs – sont ensuite vendues par une main-d’œuvre composée en majorité d’adolescents ou de gens au début de la vingtaine gagnant le salaire minimum ou presque, concentrée, elle, dans l’hémisphère nord.
Esos artículos —camisetas, ropa para bebés, juguetes y walkmans— son luego vendidos por otros empleados que se concentran en el norte, y que consisten sobre todo en personas jóvenes que ganan aproximadamente el salario mínimo y que también son adolescentes o tienen poco más de veinte años.
Les femmes filaient la laine, tricotaient des pull-overs, faisaient des châles, des couvertures et des vêtements de bébé au crochet, préparaient des conserves et des condiments. Elles pouvaient vendre leurs produits par l'entremise de l'Institut des femmes à Buxton. Les hommes entretenaient les bâtiments et les maisons. Ils travaillaient également le bois.
En su pueblo trabajaban la tierra hasta ponerse el sol y, al anochecer hacían otras faenas: las mujeres hilaban lana, tejían suéteres, hacían chales y colchas de ganchillo, ropa de bebés, preparaban conservas y salsa chutney y productos que vendían a través del Instituto de la Mujer de Buxton;
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