Translation for "un arriéré" to spanish
Un arriéré
Translation examples
una acumulación
D’abord l’esprit de Vernon devint un chaos d’arriérés, de débours, de plans de restructuration, de moratoires de récupération.
Al principio la mente de Vernon era un caos de acumulaciones, déficit, programas reestructurados, planes de recuperación.
Quand il se demanda pourquoi Daisy ne l’en avait pas informé, il n’eut comme réponse de sa part que l’impression qu’elle était actuellement trop occupée pour se soucier de lui, et qu’elle se consacrait au traitement d’un énorme arriéré d’information, au maximum de sa capacité.
Cuando él preguntó por qué Daisy no le había informado, todo lo que obtuvo fue la impresión de que ella estaba demasiado ocupada para él ahora, ocupada procesando una enorme acumulación de información al límite de su capacidad.
Nous passâmes devant de somptueux tableaux et statues en provenance d’Europe – montrés avec élégance et simplicité, sans cette impression d’entassement si répandue chez des gens comme les Vanderbilt, par exemple – pour gagner l’arrière de la maison.
Pasamos ante unos espléndidos cuadros de pintura europea, esculturas y piezas de cerámica -todo elegante y sencillamente distribuido, sin el efecto de acumulación a que tan aficionadas eran las familias como los Vanderbilt-, y seguimos avanzando hacia la parte posterior de la mansión.
La mort avait été provoquée par une série de coups – cinq, d’après Rizzardi – portés à l’arrière du crâne, au même endroit ou si près les uns des autres qu’il était impossible de déterminer lequel avait été mortel. L’accumulation des traumatismes était la cause la plus vraisemblable du décès.
La causa de la muerte era una serie de golpes -Rizzardi estimaba cinco- descargados en el occipital. Dado que los impactos estaban muy juntos, era imposible determinar cuál de ellos la había matado, aunque lo más probable era que la muerte fuera resultado de la acumulación de traumatismos.
Elle a laissé les bourrelets de graisse de l’âge mûr s’installer librement sur l’arrière de son corps et devant, au-dessous de son soutien-gorge. Sa peau retombe, épuisée, dans les plis de son expérience, sans être lissée par des séances de soins du visage, des peelings et des fonds de teint réfléchissant la lumière.
Ella, que no es defensora de la escuela de la reinvención de Talitha, ha permitido que la acumulación de grasa propia de la mediana edad se le acomode libremente por toda la espalda y debajo del sujetador: la piel le cae exhausta en las arrugas de la experiencia, exenta de tratamientos faciales, peelings y bases de maquillaje que reflejan la luz.
Il avait feuilleté les pages en revenant en arrière et découvert que le livre avait été publié avant-guerre : MCMXXXVII, pas tout à fait trente ans auparavant, mais une patine de romantisme bien particulière semblait situer les scènes plus loin dans le temps, captées à des moments du jour – tôt le matin ou à la tombée du soir – où il n’y avait personne aux alentours, où les petits bateaux au mouillage sautillaient sur les vagues et où ni voiture ni autocar n’était visible sur les rubans roses et ocre des routes.
El libro se había publicado antes de la guerra, «MCMXXXVII»; no tenía ni treinta años, pero una curiosa pátina de misterio anclaba las escenas a un pasado más remoto, pues capturaban momentos del día (las primeras horas de la mañana, el atardecer) en los que no había gente: solo se veían unos barquitos que cabeceaban, amarrados, pero ni siquiera un coche ni un autobús por las cintas rosa y beis de las carreteras. En la página opuesta siempre había un texto y a veces él lo observaba y lo analizaba distraídamente, sin proponérselo: las chimeneas que se elevaban, rectas, entre las palabras, línea tras línea, o ascendían por un párrafo como conductos diagonales; alguna que otra acumulación accidental de trazos ascendentes, trazos descendentes y comillas que formaban imágenes abstractas, nudos, bocas, anémonas de mar.
Quelque chose qui naissait dans la mer Rouge – ouverte en deux par la main de Dieu –, se multipliait dans la pensée du déluge universel, s'y perdait pour se retrouver ensuite dans la silhouette pansue d'une arche et immédiatement après se rattachait à la pensée des baleines – jamais vues mais souvent imaginées – et à partir de là recommençait à s'écouler, de nouveau à peu près clair, dans les quelques histoires parvenues jusqu'à lui de poissons monstrueux, de dragons et de villes sous-marines, en un crescendo de splendeur fabuleuse qui brusquement se racornissait sous les traits rudes du visage d'un de ses ancêtres – encadré pour l'éternité dans la galerie ad hoc –, lequel avait joué, disait-on, les aventuriers aux côtés de Vasco de Gama : dans ses yeux d'une méchanceté subtile, la pensée de la mer prenait une orientation sinistre, elle rebondissait sur d'incertaines chroniques d'hyperboles corsaires, se prenait les pieds dans une citation de saint Augustin qui voyait dans l'océan la demeure du Malin, revenait en arrière sur un nom – Thessala –, peut-être celui d'un navire naufragé, peut-être une berceuse chantant des histoires de guerres et de navires, frôlait l'odeur de certaines étoffes arrivées jusqu'à lui des pays lointains, et remontait finalement à la lumière dans les yeux d'une femme venue de l'outre-mer, rencontrée des années plus tôt et jamais revue, avant d'aller s'arrêter, au terme de ce périple mental, dans le parfum d'un fruit qui, lui avait-on dit, ne poussait qu'au bord de la mer, dans les pays du Sud : et en le mangeant on sentait le goût du soleil.
Era algo que nacía en el Mar Rojo —partido en dos por manos divinas—, se multiplicaba en el pensamiento del diluvio universal, allí se perdía para reaparecer después en el perfil abombado de un arca e inmediatamente se unía con la idea de las ballenas —jamás vistas pero a menudo imaginadas—, y de allí volvía a fluir, de nuevo con bastante claridad, en las pocas historias que habían llegado hasta él de peces monstruosos y dragones y ciudades submarinas, en una acumulación de esplendor fantástico que bruscamente se contraía en los rasgos ásperos del rostro de un antepasado suyo —enmarcado y perenne en la galería adecuada— que, según se decía, había sido aventurero junto a Vasco de Gama: en sus ojos sutilmente malvados, la idea del mar se adentraba por un camino siniestro, rebotaba sobre algunas inciertas crónicas de hiperbólicos corsarios, se enredaba en una cita de San Agustín que concebía el océano como la casa del demonio, volvía tras un nombre —Thessala— que tal vez fuera un barco naufragado, tal vez un ama de cría que contaba historias de navíos y de guerras, rozaba el olor de ciertas telas llegadas hasta allí desde países lejanos, y por último volvía a salir a la luz en los ojos de una mujer de ultramar, a la que había conocido muchos años antes y a la que nunca jamás había vuelto a ver, para acabar deteniéndose, al término de semejante periplo de la mente, en el perfume de un fruto que, según le habían dicho, crecía solamente a orillas del mar, en los países del sur; y al comerlo uno percibía el sabor del sol.
Il fallait remonter dans l’automobile et parcourir des routes et bifurquer sur des chemins, et au début Ignacio Abel était déconcerté par ces trajets faits au hasard dans des parages toujours inconnus, mais qui peu à peu prenaient l’allure beaucoup plus modeste de quelques itinéraires simples : prairies, bâtiments gothiques, zones de forêt, sentiers ruraux, églises, pavillons de salles de cours ou de dortoirs, terrains de sport, plus d’autres bureaux où il faisait si chaud que l’air était irrespirable, et de nouveau l’air frais avec l’odeur de la forêt et du gazon, l’automobile démarrant brusquement et Stevens regardant sa montre, un labyrinthe d’allées et venues qui se réduisait, et cela le rassurait, à un seul cadre, ou presque, le quadrilatère irrégulier autour duquel s’ordonnaient les principaux bâtiments du campus : autre Cité universitaire, non pas à moitié en projet et laissée en suspens puis abandonnée avant d’avoir vraiment existé, non pas construite sur la table rase de terrains désertiques et de pinèdes abolies, mais qui avait grandi peu à peu, au début comme les établissements des pionniers dans les clairières de ces forêts immémoriales, prenant ensuite une forme mi-aléatoire mi-organisée, avec en arrière-plan l’image des universités anglaises, tours gothiques, étendues de gazon et murs couverts de lierre : et toujours – remarquait Ignacio Abel, hôte récemment arrivé dans la lenteur qui est le propre du temps et dans cette retraite qui avait les attributs d’une île, convalescent des incertitudes et des cataclysmes espagnols – avec un calme qui était assorti aux cycles solennels du monde, au passage des saisons et au cours du fleuve si proche, à une accumulation progressive et non pas à des bouleversements aussi subits que des désastres, à la tranquille conscience d’une protection ou de privilèges dont il appréciait partout les signes, qui l’attiraient et auxquels il se sentait en même temps étranger.
Había que subir de nuevo al automóvil y que recorrer carreteras y desviarse por caminos que al principio provocaban en Ignacio Abel el desconcierto de travesías al azar por parajes siempre desconocidos y poco a poco cobraron la forma mucho más restringida de unos pocos itinerarios: prados, edificios góticos, zonas de bosque, senderos rurales, iglesias, pabellones de aulas o de dormitorios, campos de deportes, más oficinas de un aire tan caliente que se hacía irrespirable, de nuevo el aire fresco con olor a bosque y a césped, el automóvil arrancando con brusquedad y Stevens mirando el reloj, el laberinto de idas y venidas reduciéndose, tranquilizadoramente, a un solo escenario, o casi, el rectángulo irregular en torno al cual se organizaban los edificios principales del campus: otra Ciudad Universitaria, no medio en proyecto y dejada en suspenso y abandonada antes de haber llegado a existir, no erigida sobre una tabla rasa de campos desérticos y pinares abolidos, sino crecida poco a poco, al principio como asentamientos de pioneros en los claros de aquellos bosques inmemoriales, luego cobrando una forma entre azarosa y orgánica, con resonancias visuales de universidades inglesas, torres góticas, extensiones de césped y paredes de hiedra: y siempre —le parecía a Ignacio Abel, huésped recién llegado en la lentitud peculiar del tiempo, en la cualidad de retiro y de isla, convaleciente de incertidumbres y cataclismos españoles— con un sosiego que se correspondía con los ciclos solemnes del mundo, el tránsito de las estaciones y el curso del río tan cercano, la acumulación gradual y no los arrebatos tan súbitos como los desastres, la conciencia tranquila de una protección o de un privilegio cuyos signos él apreciaba en todas partes y a los que se sentía al mismo tiempo atraído y ajeno.
« Je n’ai jamais vu plus arriéré qu’à Damas !
—¡Aquí en Damasco son un atraso!
Vous songez à me demander des arriérés de loyer ?
¿Es que piensas reclamarme los atrasos por el alquiler?
Elle payait l’arriéré de sa vie trompée.
Pagaba los atrasos de su vida equivocada.
Simon et elle avaient des problèmes avec leur arriéré de loyer.
Simon y ella tenían problemas para pagar los atrasos del alquiler.
Avec mes papiers de débarquement, mes arriérés de paie, tout.
Con los documentos de desembarco, y los atrasos cobrados, y todo lo demás.
Ali veut de l’aide pour ses arriérés de loyers.
Ali ha venido a ver qué pasa con sus atrasos en el pago del alquiler.
Donc on m’a coincé et on m’a fait payer presque tous les arriérés.
Entonces me agarraron y me hicieron pagar casi todos los atrasos.
— C’est quelque colonel qui réclame un arriéré, dit le premier clerc.
—No, es algún coronel que reclamará atrasos —dijo el primer pasante.
Bersumée avait perçu brusquement ses arriérés de solde, trois mois plus tôt, mais rien depuis ;
Bersumée había recibido, de improviso, sus atrasos de sueldo, hacía tres meses;
Il se résolut à retourner au bureau pour payer ses arriérés et éloigner les huissiers.
Resolvió volver y comenzar así a pagar los atrasos, para quitarse de encima a los funcionarios del juzgado.
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