Translation for "tremblent" to spanish
Translation examples
Je sens mes propres lèvres qui tremblent.
Siento temblar mis propios labios.
Ses mains tremblent que c’en est dingue.
Sus manos empiezan a temblar como si se hubiera vuelto loco.
Le désir, dans la défaite, fou, ils en tremblent.
El deseo, en la derrota, loco, les hace temblar.
Tous les humains tremblent devant les dieux, mais pas toi.
Todos los humanos se echan a temblar delante de los dioses, pero tú no.
Il n'y a pas un instant où vos amis ne tremblent pour vous !
ni un solo instante vuestros amigos dejan de temblar por vos;
— Quand il regarde, les vallées tremblent, récita Vintar.
—«Cuando él observa, los valles se echan a temblar —citó Vintar—;
Il faut dire que depuis que mes mains tremblent, tout m’est devenu plus difficile.
Desde que me empezaron a temblar las manos todo me cuesta mucho más.
Les traits d’Éri bavent légèrement, tremblent un peu.
La silueta de Eri Asai empieza a desdibujarse, a temblar ligeramente.
Partout dans le pays, les collaborateurs tremblent dans leurs chaussures hideuses, et la Stasi le sait.
Por todo el país, los colaboradores se han echado a temblar y la Stasi lo sabe.
 Combien grande est la Fondation devant laquelle tremblent même les cruels serviteurs du Mulet !
–¡Qué grande es la Fundación, cuando hace temblar incluso a los crueles servidores del Mulo!
Tes oreilles en dégoulinent ; tes mains en tremblent.
Se te sale todo eso por las orejas y te entran temblores de manos.
A les lèvres et les paupières qui tremblent lorsqu’il parle.
Al conversar presenta temblor en los labios y en los párpados.
Les énormes bajoues tremblent d’approbation ou de satisfaction.
Las mejillas enormes experimentan un temblor de asentimiento, o tal vez de satisfacción.
À le voir, si ce n’était ses doigts qui tremblent légèrement, on croirait même qu’il partage l’opinion de Thomas Vasseur.
Si no fuera por el ligero temblor de sus dedos, podría parecer que comparte la opinión de Thomas Vasseur.
Ça se voit à la manière dont ses mains tremblent. Il a dû lire dans mes pensées, et je reconnais qu’il est futé, parce qu’il me dit :
Tenía cierto temblor en las manos que lo delataba. Al parecer leyó mis pensamientos. Hay que reconocer que es sagaz. Me dijo:
Dans ce visage figé, seules tremblent les joues et la bouche, comme tremble tout le corps, sous l’effet d’un mystérieux tressaillement intérieur.
Sólo las mejillas y la boca tiemblan, igual que el resto del cuerpo, sacudido por un misterioso temblor interno.
Plus rares sont ceux qui s’y aventurent à pied – surtout des junkies aux yeux jaunes, au teint cireux, dont les mains tremblent comme celles des vieux, mais aussi des petites bourges en tailleurs chics, venues des beaux quartiers, qui battent la semelle avec les précédents chaque mardi et aussi, depuis peu, chaque samedi.
Pero también aparecen algunos a pie, desde los drogatas con la cabeza ida, los ojos amarillos, la piel de gallina y los temblores de los viejos, hasta la señorita abogada con su traje caro, la que llega del centro para esperar pacientemente con los demás todos los martes y, últimamente, también los sábados.
Et le Chanteur a plus de tifs, le Chanteur est au lit, il se fait faire une injection par un Blanc qu’a le swastika imprimé au fer rouge sur le front, une balle m’arrache le doigt et me marque comme le Christ la paume gauche, j’ai pas mal, juste une petite brûlure, mon corps a deux douzaines de petites brûlures mais l’air s’engouffre, j’entends mon corps siffler, Trevor et Lloyd font la danse des balles, ils battent bras et jambes, se retournent, tressautent et hurlent et toussent et tremblent comme des épileptiques, les balles les font rebondir et moi aussi je rebondis et saute, c’est comme des pétards de très loin, ma nuque crache du sang, je peux plus ouvrir la bouche, l’ange de la Mort est assis sur l’épaule du Chanteur, c’est un Blanc, je l’ai déjà vu, ça me revient maintenant, je l’ai vu se tenir sur une scène comme Seaga et Manley et promettre aux pauvres de bonnes choses, puis ma nuque craque, je me vois faire la danse des balles comme si j’étais au théâtre depuis un fauteuil en hauteur qui s’élève de plus en plus, planant au-dessus de la chaussée, de la mer et des sept voitures qui arrivent, et ça grouille comme des mouches, les flics débarquent et s’avancent à pied, et ils tirent un deux trois coups, sur moi à terre qui m’enfonce dans l’asphalte, et un autre policier tire deux balles, prends ça connard, tu fais moins le fier maintenant, et un autre et un autre et un autre, bang bang bang bang, relève-toi et flingue-nous, qu’est-ce que t’attends, le caïd, et la police dit dans le talkie-walkie, devine à qui on vient de régler son compte, et d’autres flics arrivent pour participer et celui-ci vise ma nuque, bang, et celui-là ma rotule, bang, et celui-là mes couilles, bang, et comment ça se fait qu’il y ait aucune voiture, mais la police avait barré la route de loin, ils savaient que je passerais par là, y a un indic dans le ghetto, il les a prévenus et Trevor a perdu sa figure, et Lloyd, sa poitrine et son bide ont éclaté, et ma tête se fend et mon cœur bat encore et un autre flic se penche et dit, ça c’est pour Sebert, avant de tirer en plein dans mon cœur qui éclate et qui meurt, ensuite il se redresse et retourne à sa voiture et les autres en font autant tandis que je poursuis mon ascension, mais je suis toujours sur la route et je les vois former une colonne, les voitures de police me laissent et s’éloignent en faisant miauler leurs sirènes pour qu’on s’écarte sur leur passage et elles roulent comme un seul animal, un serpent, jusqu’au quartier où se trouvent les bureaux du ministère de la Sécurité et ils cernent l’endroit, ils défilent en rond tout en rigolant très fort et je peux voir tout d’en haut, et d’en bas, et ce qui est arrivé y a dix ans, Peter Nasser avec le premier gun, 1966 quand j’ai secouru Josey Wales et quand j’ai tué ce collégien par erreur, et ce qui se passe dans un endroit grisâtre comme si je pouvais quelque chose et changer la situation si je criais assez fort, qu’il ampute l’orteil, allez, coupe-le, écoute pas ce Rasta débile qui fait rien que te sucer le sang à travers le chalice, coupe-le et te laisse pas toucher par le nazi, mais le Blanc qui se tient de l’autre côté de la route, ce Blanc je le connais, et je le connais pas, et il regarde le petit marais à travers les broussailles en bordure de route, et dans ce marais le troisième larron nage, pas de sang, pas de blessure, tant mieux, les crocodiles le choperont pas, et il nage, nage, nage, et un bateau de pêche le repère et vient le récupérer, et il grimpe à bord tout tremblant et gueulant qu’il faisait rien de mal et le pêcheur s’éloigne, et je suis plus dans le gully à faire la justice, j’étais pas là-bas du tout, c’était y a plus d’un an et tout était y a plus d’un an et tout ce qui se déroule entre la balle tirée dans ma tête et celle tirée dans mon cœur en une seconde, toutes les dernières choses que j’ai faites dans ma vie me reviennent comme alors et je les revis l’une après l’autre et aussi toutes en même temps, mais voici Trevor qui se vide toujours de son sang, et Lloyd avec le râle de la mort dans son gosier et me voici, gentlemen.
Y el Cantante ya no tiene pelo, el Cantante está en una cama al Cantante le está clavando una aguja un tío que tiene un signo alemán de Hitler ardiéndole en la frente una bala me arranca un dedo y me hace una marca en la palma izquierda como si yo fuera Cristo no me hace daño solo me quema un momento en mi cuerpo ya hay dos docenas de pequeños incendios pero me está atravesando el aire, escuchen cómo me silba el cuerpo Trevor y Lloyd están haciendo la danza de las balas con sacudidas sacudidas sacudidas y zarandeos y convulsiones y gritos y toses y temblores como si les hubiera cogido epilepsia las balas les hacen brincar a ellos y me hacen brincar a mí y dar saltitos disparos como petardos desde lejos mi cuello habla sangre no puedo abrir la boca el ángel de la muerte sentado en el hombro del Cantante el ángel es un hombre blanco lo veo ya sé que ahora lo veo plantado en un escenario como si fuera Seaga y Marley y prometiéndole cosas buenas a los pobres y luego se me rompe el cuello me veo a mí mismo bailar la danza de las balas como si estuviera viendo una obra de teatro desde un palco alto cada vez más alto, en las alturas de la autopista y del mar y muy por encima de los siete coches que se acercan y todos se arremolinan como moscas todos los policías salen y se nos acercan y me pegan dos o tres tiros más a mí que ya estoy en el suelo hundiéndome en el asfalto y otro policía me pega dos tiros más, dime algo, maricón, ya no eres tan duro ¿eh? y luego otro poli y otro poli y otro poli y otro bang bang bang venga levántate y dispáranos ahora maricón de pistolero de mierda y un policía dice por el walkie talkie adivina a quién acabamos de liquidar y vienen más policías y todo el mundo les está rindiendo tributo y hay uno que me apunta al cuello y pum y otro me apunta a la rodilla y bang y otro me apunta a las pelotas y bang y cómo es que no pasa ningún coche ni uno pero es porque la policía ha cortado la carretera a bastante distancia de aquí ya sabían que yo estaba viniendo por aquí alguien del gueto es un maldito soplón y les ha dicho que yo estaba viniendo por aquí y Trevor tiene la cara toda comida y Lloyd tiene el pecho y la barriga abiertos en canal y yo tengo la cabeza partida y el corazón me sigue latiendo y otro policía se agacha y me dice esta es por Sebert y me dispara en todo el corazón y el corazón me revienta y se me muere y luego él se levanta y regresa a su coche y los demás policías vuelven también a sus coches y yo me elevo más y más pero sigo tirado en el asfalto y puedo ver todos los coches de policía en fila arrancando y marchándose y se largan con las sirenas puestas para que la gente se tenga que apartar de su camino y se alejan como si fueran un solo animal una serpiente de sirenas hasta llegar a la manzana donde están las oficinas del Ministerio de Seguridad y se ponen todos a dar vueltas a la manzana vueltas y vueltas y vueltas y vueltas sin dejar de reírse a carcajadas y yo veo todo lo que me rodea y todo lo de encima y lo de debajo y lo que pasó hace diez años Peter Nasser con la primera pistola 1966 cuando acogí a Josey Wales y cuando maté a aquel colegial por error y lo que pasó en un sitio gris como si yo pudiera hacer algo para cambiar todo aquello si grito con la fuerza suficiente encoge la punta del pie salta encoge la punta del pie no hagas caso a ningún idiota de mierda de rastafari que te chupará la sangre usando la pipa de la maría encoge la punta del pie y no hagas el nazi te toca pero el blanco está plantado al otro lado de la carretera el blanco yo lo conozco y no lo conozco y él está mirando por entre los árboles del arcén una ciénaga pequeña y en la ciénaga el chofer está nadando sin sangre del disparo por suerte porque así no lo seguirán los cocodrilos y el men nada y nada y nada hasta que lo ve un bote de pesca y pone el motor en marcha para ir a recogerlo y cuando él se sube al bote tiembla y berrea que lo único que él estaba haciendo era conducir el taxi así que el pescador se aleja con su barca y yo ya no estoy en el barranco ya no estoy emitiendo el fallo yo no estaba en el barranco para nada de eso ya hace un año y todo esto ha pasado entre el disparo que me han pegado en la cabeza y el que me han pegado en el corazón en un instante así que todas las últimas cosas que hice en la vida se despliegan al mismo tiempo pasando entonces y pasando ahora y pasando una detrás de la otra pero también todas al mismo tiempo pero ahí está Trevor que sigue sangrando y está Lloyd con la muerte borboteándole en la garganta y estoy yo, caballeros. Estoy yo. Alex Pierce
Je sais bien, maintenant, comment tremblent les poules, comment elles se faufilent dans les églantiers, sous les murs, comment elles se glissent dans les cyprès, comment elles frémissent, en allongeant ou rentrant leur cou, comment elles clignent leurs pupilles effrayées.
Ahora sé bien cuanto pueden estremecerse las gallinas, como se acurrucan bajo el escaramujo, bajo los muros, se cuelan entre los cipreses y se quedan quietas temblando, estirando y encogiendo el cuello, sus pupilas asustadas se estremecen.
C’est fini. C’est, sans doute, parce qu’elle a achevé son oeuvre qu’Élise se sent vide, que ses genoux tremblent, que ses mains, qu’elle a dû frotter à la pierre ponce après tous ces gros travaux, ont d’involontaires frémissements.
Ha terminado. Y, sin duda porque ha terminado su obra, Élise se siente vacía, sus rodillas tiemblan, sus manos, que ha tenido que frotar con piedra pómez después de tan dura actividad, muestran involuntarios estremecimientos.
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