Translation for "trainait" to spanish
Trainait
  • estaba pasando el rato
  • estaba colgando
Translation examples
estaba pasando el rato
Ce jour-là, il traînait dans le trou familial, sa mère étant partie travailler à l’usine de traitement de l’eau, son père à une réunion avec le groupe de maintenance du réseau qu’il supervisait.
Él estaba pasando el rato en el hueco de su familia mientras su madre trabajaba en la planta de tratamiento de aguas y su padre asistía a una reunión del grupo de mantenimiento de la red eléctrica que supervisaba.
estaba colgando
Par eux, il se vengeait de la patte folle qu’il traînait derrière lui depuis l’âge de douze ans.
Se vengaba en ellos de la pata de palo que llevaba colgando desde los doce años.
Avec un bruit d’enfer, il s’éloignait du garage dans sa Ford T qui traînait derrière elle le tuyau de la pompe, arraché.
Se marchaba de la gasolinera en su Ford T con la manguera del surtidor colgando a rastras de su depósito.
Était-il devenu un vieil homme, qu’on traînait de force, malgré ses coups de pied et ses hurlements, pour l’installer dans un foyer, un mégot accroché au coin de la bouche ?
¿Sería un anciano ahora, un tipo al que arrastraban pataleando y chillando hasta una vivienda adaptada, con un pitillo colgando de los labios?
Et comme involontairement mes yeux se tournaient vers la funèbre armoire, je m’aperçus, avec un dégoût mêlé d’horreur et de colère, que le clou était resté fiché dans la paroi, avec un long bout de corde qui traînait encore.
le haría daño!» Y como involuntariamente se volviesen hacia el armario mis ojos, eché de ver con repugnancia, mixta de horror y de cólera, que el clavo se había quedado en el tablero, con un largo trozo de cuerda colgando todavía.
Il flottait dans l’air des odeurs de cigarette et d’ouzo, d’après-rasage Sportsman et de quelque chose de plus âcre, un combustible peut-être. Un canapé canné de style Louis XV couvert de taches laissait échapper la moitié de son rembourrage, qui traînait sur le sol tel un pénis de taureau.
La vivienda olía a tabaco y ouzo, loción para después del afeitado Sportsman y algo más acre y combustible quizá, y había un sofá de mimbre estilo Luis XV cubierto de manchas con la mitad del relleno del asiento colgando hasta el suelo como el vergajo de un toro.
Elle persévérait, préparait des gâteaux, se traînait (le goitre tremblotant) sur le ferry, puis restait assise là, le cœur brisé, à tenir la main de sa fille, alors même que Lucy criait ses insanités, prouvant ainsi à quiconque avait des yeux pour voir que l’amour maternel était une chose magnifique, éclatante, tenace, que le démon ne pouvait pas entamer.
Perseveraba, horneaba sus bizcochos, recorría aquel largo trayecto (con el bocio colgando) hasta el ferri y se sentaba, desolada, sosteniendo la mano de su hija, incluso cuando Lucy gritaba aquellas terribles palabras, demostrando a quien quisiera verlo que el amor de una madre era algo hermoso, luminoso e implacable contra lo que el diablo nada podía hacer.
Mais toutes les fois qu’il ouvrait les yeux c’était de nouveau la nuit et la lune, on le portait le long d’un escalier, la tête renversée en arrière, et là-haut il y avait les bûchers, les rouges colonnes de fumée aromatique, et tout à coup il vit la pierre rouge, brillante de sang frais qui ruisselait, et le va-et-vient des pieds du sacrifié que l’on traînait par terre jusqu’à l’escalier nord où on le ferait rouler.
Y cada vez que se abrían era la noche y la luna mientras lo subían por la escalinata, ahora con la cabeza colgando hacia abajo, y en lo alto estaban las hogueras, las rojas columnas de humo perfumado, y de golpe vio la piedra roja, brillante de sangre que chorreaba, y el vaivén de los pies del sacrificado que arrastraban para tirarlo rodando por las escalinatas del norte.
Le trafiquant contre lequel il avait accumulé tant de colère et dont il savait seulement que c’était un Galicien, ancien maçon au chômage, se traînait par terre enchaîné et menotté, parce qu’il n’avait pas de jambes, et sans l’aide du consul il se hissa laborieusement sur une chaise, dans des halètements obstinés et le bruit des fers. En le voyant en face de lui, petit, disproportionné, les cheveux longs et sales comme ceux d’un loubard de village des années soixante-dix, les jambes de son pantalon de prisonnier vides et pendantes sous la table, se contorsionnant pour saisir une cigarette et l’allumer de ses mains menottées, le consul avait ressenti une pitié qui le désarmait, une miséricorde navrée pour les excès imprévisibles de la malchance, de la bêtise et de la rouerie humaines. 16
El traficante contra quien él había venido acumulando tanta ira, del que sólo sabía que era gallego y ex albañil en paro, se arrastraba encadenado y esposado por el suelo porque no tenía piernas, y sin ayuda del cónsul se encaramó laboriosamente a una silla, entre jadeos obstinados y estrépito de hierros, y al verlo ante sí, pequeño, desmedrado, con el pelo largo y sucio, como de macarra aldeano de los años setenta, con las perneras vacías del pantalón de presidiario colgando bajo la mesa, contorsionándose para sacar un pitillo y encenderlo con las manos esposadas, lo que el cónsul sintió fue una lástima que lo desarmaba, una desolada misericordia hacia los extremos impredecibles de la mala suerte y la insensatez y la trapacería humanas. 16
Mon Dieu, c’est vraiment… » Sa voix traînait, et les mots qui s’apprêtaient à exprimer une indiscutable et éternelle vérité restaient suspendus dans le silence, frétillant dans le vide comme un morceau de corde effilochée pendue là. Il laissait simplement cette phrase en suspens et me regardait de ses yeux bleus, couleur d’eau glacée – le genre d’yeux et de regard que ta conscience a vers trois heures du matin –, puis, contrairement à ta conscience, il esquissait un vague sourire presque confus, timide, qui adoucissait sa mâchoire carrée et sa bouche droite, un sourire qui semblait dire : « Ah, je n’y peux rien, ce n’est pas ma faute si je te regarde ainsi, mon vieux, je suis comme ça. » Puis le sourire s’effaçait, Adam se retournait vers le piano et posait ses doigts sur les touches. Tôt ou tard, il se fatiguait de jouer et se laissait tomber dans un des fauteuils élimés de son salon. Parfois, se rappelant les règles de l’hospitalité, il m’offrait un verre, se versait pour lui-même un mélange plus pâle qu’un soleil d’hiver, et on buvait à petites gorgées sans rien dire.
Pero las palabras se apagaban, quedaban truncadas sus expresiones sobre lo que iba a ejecutar. La sentencia quedaba colgando y retorciéndose en el aire como un trozo de soga deshilachada, y me miraba con sus ojos azules, profundos y serenos, unos ojos abstractos —esa clase de ojos y ese aspecto que tiene nuestra conciencia a las tres de la mañana— y después, a diferencia de nuestra conciencia, comenzaba a sonreír, no mucho, sino una especie de amago de sonrisa, casi apologética, que seguía el curso de su boca derecha y de su mentón cuadrado y parecía decir: «Diablo, no puedo remediarlo si parezco así, compañero; es simplemente mi manera de mirar las cosas». Luego desaparecería la sonrisa y, vuelto de nuevo hacia el piano, ponía sus manos sobre las teclas. Más tarde o más temprano consideraba que ya era suficiente la música y la abandonaba para dejarse caer en una de las sillas ajadas. O me recordaba que bebiese, o se servía él mismo algo, más pálido que la claridad solar en invierno, pero muy fuerte.
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