Translation for "torter" to spanish
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J’espérais sincèrement parvenir à vous briser, vieil homme, et ainsi percer le secret des Talents des Smedry. Toutefois, vous n’avez pas tort.
De verdad que esperaba hacerte hablar con la tortura, viejo, y descubrir el secreto de los Talentos de los Smedry, pero tienes algo de razón: supuse que, cuando tuviera las lentes, seguro que te vencería.
Bob avait toujours été le plus généreux et le plus indulgent des hommes – le jour où elle avait foncé dans un arbre près du bureau de poste, emboutissant l’avant de leur vieux van et explosant le pare-brise, il ne s’était inquiété que de savoir si elle s’était blessée au visage – mais voudrait-il lui pardonner si elle le dénonçait à tort pour onze meurtres qu’il n’avait pas commis ?
Bob siempre había sido el más generoso e indulgente de los hombres —cuando ella estrelló el morro de su vieja furgoneta contra un árbol al borde del aparcamiento de la estafeta y el parabrisas se hizo añicos, únicamente le preocupaba que no se hubiera cortado la cara—, pero ¿la perdonaría si equivocadamente le acusaba de once asesinatos con tortura que no había cometido?
Ils auraient bien voulu s’assoupir mais leur conscience était là pour les tenir éveillés malgré eux. Petit à petit, ils en arrivèrent à penser qu’ils avaient eu tort de s’enfuir. Et puis, ils n’avaient pas que cela à se reprocher. Ils s’étaient bel et bien rendus coupables en emportant qui un jambon, qui un quartier de lard. Ils eurent beau se dire qu’ils avaient maintes et maintes fois dérobé des pommes ou des gâteaux, ils furent forcés de reconnaître que ce n’était là que du «chapardage» et non pas du vol qualifié.
Poco después se cernían sobre el borde mismo del sueño, pero sobrevino un intruso que no les dejó caer en él: era la conciencia. Empezaron a sentir un vago temor de que se habían portado muy mal escapando de sus casas; y después, se acordaron de los comestibles robados, y entonces comenzaron verdaderas torturas. Trataron de acallarlas recordando a sus conciencias que habían robado antes golosinas y manzanas docenas de veces; pero la conciencia no se aplacaba con tales sutilezas.
Il regarda les acacias qui ceinturaient l’énorme bâtisse, le vent glacial le fit frissonner ; n’avait-il pas eu tort de sortir si précipitamment ? Une nuit entière s’était écoulée entre les deux carillons, pourquoi donc pensait-il qu’il allait très vite les entendre à nouveau… À l’instant même où il se décida à faire demi-tour, rentrer chez lui et attendre sous la chaleur d’une bonne couverture, les « cloches » sonnèrent à nouveau… Il se précipita sur la place, devant le moulin, et réussit à élucider une partie du mystère : le son des cloches semblait venir d’au-delà de la route pavée (en amont d’Hochmeiss !…), maintenant non seulement il savait quelle direction prendre mais il était persuadé que ce carillon représentait bien un message sans équivoque, un appel, une promesse, n’était pas le fruit de son imagination maladive, ni d’un soudain accès de sensiblerie… Il se dirigea avec entrain vers la route pavée, la traversa et sans se soucier de la boue et des flaques d’eau, il avança en direction d’Hochmeiss, « le cœur empli d’attentes, d’espoir et de confiance »… Ce carillon, pensait-il, le dédommageait de toutes ses souffrances passées, du supplice d’avoir à témoigner en permanence, c’était une juste récompense pour sa coriace persévérance… S’il parvenait à déchiffrer plus précisément le contenu de cet appel, il deviendrait le détenteur d’un pouvoir unique, il serait capable de donner aux « choses humaines » un élan inconnu jusqu’à ce jour… Une joie enfantine s’empara de lui lorsque à la sortie du hameau d’Hochmeiss il aperçut la petite chapelle délabrée ; il ignorait qu’elle avait été détruite pendant la guerre et que la cloche n’avait depuis lors plus jamais donné aucun signe de vie, alors pourquoi tout à coup trouvait-il cela invraisemblable ?… Personne ne venait jamais par ici sinon quelques vagabonds à moitié fous, pour y passer une nuit… Il s’arrêta devant l’entrée de la chapelle, essaya d’ouvrir la porte mais il eut beau pousser de tout son corps, secouer, tirer, elle ne bougea pas.
Miró las acacias que rodeaban el gigantesco edificio, sintió un escalofrío por el viento gélido y cortante que soplaba y se preguntó si no había sido una estupidez ese improvisado paseo, si no se había precipitado, ya que había pasado casi toda una noche entre las dos «campanadas», de modo que no podía esperar que se repitieran enseguida… Estaba a punto de dar media vuelta y regresar a su casa, para esperar allí, bajo el calor de las mantas, a que algo sucediera, cuando volvieron a sonar las «campanadas»… Se dirigió a la explanada de delante del molino y por fin logró descifrar hasta cierto punto el misterio: las «campanadas» parecían venir del otro lado de la carretera («¡como si fueran de los antiguos terrenos de los Hochmeiss!»), y no sólo determinó aproximadamente la dirección, sino que se convenció de que esos toques eran un mensaje inequívoco, una voz de ánimo o una promesa, no el fruto de su imaginación enfermiza, no el juego engañoso de una repentina erupción de emotividad… Entusiasmado se puso en marcha rumbo a la carretera, la cruzó, y sin preocuparse ni por el barro ni por los charcos fue caminando hacia los terrenos de los Hochmeiss, «con el corazón lleno de expectativas, esperanza y confianza»… Le dio la sensación de que esas «campanadas» lo resarcían de todos los tormentos sufridos hasta aquel instante, de la tortura de ser tenido siempre por un payaso, de que eran el merecido premio por la perseverancia… Y si en un futuro conseguía entender mejor esa voz de ánimo, sin duda lograría, como poseedor de un poder especial, dar un impulso hasta entonces desconocido a «las cosas humanas»… Lo inundó una alegría casi pueril cuando al final de los terrenos de los Hochmeiss vio la ermita pequeña y ruinosa, y si bien no tenía noticia de que en aquel edificio minúsculo destruido durante la última guerra y sin señal de vida desde entonces quedara alguna «campana» o algo parecido, en aquel momento no se le antojó inconcebible… El hecho era que durante años nadie había frecuentado el lugar, salvo tal vez algún vagabundo que pernoctara allí en alguna ocasión… Se detuvo ante la entrada de la ermita, trató de abrir la puerta, pero, por mucho que lo intentara, tironeando de la manilla, empujando y apretando con el cuerpo, no se movió.
« Étant donné la tempête qu’il nous a fallu affronter, je ne m’attendais pas à voir grand-chose, mais j’avais tort. »
—Después de la tormenta en la que, al parecer, nos metimos, no creí que hubiéramos sacado nada. Pero me equivoqué.
N’avons-nous pas surmonté une terrible tempête en mer, un débarquement périlleux en Égypte, une séparation de plusieurs mois ? Et ne parlons pas de mon intention de disparaître dans le Nil quand j’avais cru à tort que tu t’étais noyée !
¿No hemos resistido a una terrible tormenta en el mar, a una costa rocosa en Egipto, a meses de separación e incluso a mi propio intento de arrojarme al Nilo cuando por error pensé que eras tú quien había encontrado tan aciago destino?
L’orage s’était désormais définitivement calmé et les derniers coups de tonnerre ne résonnaient plus que sur quelques collines au loin, comme un homme lance : « Ah, et puis encore un truc… » vingt minutes après avoir admis son tort dans la discussion.
La tormenta había cesado definitivamente, y los escasos truenos resonaban en las colinas más lejanas, como alguien que dije «Y una cosa más...», veinte minutos después de haber reconocido que había perdido el hilo de su argumentación.
Lisey s’était garée de telle manière que la BMW se trouve sous son ombre, même si  – l’adjoint Alston n’avait peut-être pas tort au sujet des orages attendus pour l’après-midi  – elle apercevait bel et bien des nuages s’amoncelant à l’ouest.
Lisey había aparcado de forma que el BMW quedara a su sombra, pese a que, en efecto, divisó nubes al oeste, de modo que el agente Joe Alston tal vez estuviera en lo cierto respecto a las tormentas de la tarde.
L’Asian Age disait la même chose : « Tournons la page. » Ailleurs, Outlook exprimait son bonheur à l’idée que l’Inde ait « essayé de réparer le tort d’avoir été le premier pays à interdire Les Versets sataniques et à soumettre leur auteur à la persécution et à toutes les souffrances qui ont suivi ».
The Asian Age coincidió: «Pasemos página». En otras partes, en Outlook, se expresaba la satisfacción de que la India lo hubiera «desagraviado un poco por haber sido el primer país en prohibir Los versos satánicos y someterlo posteriormente a persecución y tormento».
Cependant il n’avait pas obtenu l’information qu’il était venu chercher. Et non seulement il n’avait pas eu le courage d’avouer à son hôte ses propres torts dans toute cette histoire, mais il n’en avait même pas perçu la nécessité. Les nuages menaçants accumulés au-dessus de sa tête étaient passés de justesse sans l’atteindre. Mais quelque part, il pressentait que ce genre d’angoisse se renouvellerait souvent dans le futur, à toutes sortes d’occasions.
Aunque no llegó a averiguar todo lo que se proponía, se consoló pensando que al menos no se había visto obligado a revelar nada sobre su pasado. La tormenta que había amenazado con caerle encima se había alejado sin rozarle siquiera, pero tenía la impresión de que en el futuro se vería obligado a enfrentarse a situaciones parecidas.
Et à la grande surprise de Martin, elle éclata en sanglots qu’il fallut bien des baisers, bien des caresses pour apaiser. Et tout le temps lui revenait cette phrase de Kipling : Et la femme du colonel et Judy O’Grady sont sœurs par la peau. C’est vrai, se dit-il, quoique bien des lectures l’aient conduit à penser autrement. Il croyait – et cette erreur était imputable aux romans – que, dans les classes élevées, seules les demandes en mariage officielles avaient cours, que ce n’était guère que dans son milieu d’autrefois, que les jeunes gens et les jeunes filles s’obtenaient par le contact physique. Les romans avaient tort, la preuve en était là.
Y, ante la sorpresa de Martin Eden, Ruth estalló en una tormenta de lágrimas que, para calmarla, requirió más de un beso y muchas caricias. Mientras, el marino se decía que todas las mujeres eran hermanas bajo la piel, aunque las novelas le indujeran a creer lo contrario. Supuso, por culpa de éstas, que en las clases altas sólo se conseguía algo con una declaración formal. Era corriente, en el mundo del que Martin procedía, que los muchachos y las muchachas intentaran conquistarse por medio del contacto, pero esto resultaba inconcebible entre las personas distinguidas, situadas en lo alto. No obstante, las novelas se equivocaban.
atormentar
« Cette image est la première qui m’a tourmenté et effrayé toute ma vie. » Et l’auteur de Confession d’un Masque n’a sans doute pas tort de relier l’euphémisme mal expliqué à l’enfant avec la notion d’on ne sait quelle Terre à la fois dangereuse et divinisée {1}.
«Esta imagen es la primera que me atormentará y la que me ha aterrado toda la vida». Y el autor de Confesiones de una máscara probablemente no se equivoca al unir el eufemismo mal explicado al niño con la noción de no sabemos qué Tierra a la vez peligrosa y divinizada[1].
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