Translation for "terne" to spanish
Similar context phrases
Translation examples
Sa vie était terne ;
Su vida parecía aburrida;
Mais au moins la vie n’était jamais terne.
La vida nunca era aburrida.
peut-être était-ce parce que j’étais terne moi-même.
Puede que fuera porque yo misma era una aburrida.
Vous avez l’esprit terne, sans imagination.
Tenéis unas mentes aburridas, carentes de imaginación.
Mon jardin en novembre n’est pas forcément terne.
Mi jardín no es forzosamente aburrido en noviembre.
Non, la réalité est hélas beaucoup plus terne.
Lamentablemente, la realidad es mucho más aburrida.
Une vie terne et ennuyeuse l’attendait…
Una vida de aburrido destierro estaba a punto de comenzar.
La conversation est agréable, ou ennuyeuse, ou terne ;
La conversación suele ser agradable, irritante o aburrida.
J’aurai tout le temps d’être terne et barbante plus tard.
Ya tendré muchos años para ser sosa y aburrida.
Bref, une collection terne, ennuyeuse, songea-t-elle.
Una colección más bien tediosa.
Ainsi passèrent des années ternes et lentes, dans la lourdeur de l’été ardent et le recueillement de l’hiver.
Así pasaron años tediosos y lentos, en el sopor del ardiente verano y el recogimiento del invierno.
Leur tranquillité et leur grisaille resplendissaient ainsi que les pensées palpitantes et rouge sang d'une âme vivante emprisonnée dans une enveloppe terne.
Éstas destellaron, salidas de su quietud y su gris destino como los palpitantes y vitales pensamientos de un alma apasionada aprisionada en el tedioso caparazón de su entorno.
Il n’était pas plus tôt en train d’arpenter ce pays ennuyeux, en faisant semblant de s’intéresser à des châteaux désaffectés et des églises ternes (trois mois !), que j’ai commencé à lui manquer.
Se puso a recorrer ese tedioso paisaje campestre, fingiendo que le interesaban los castillos abandonados y las iglesias más cochambrosas (¡tres meses!), y entonces comenzó a echarme de menos.
Quoi qu’il en soit, celle de Beechwood abritait cette petite cachette pivotante, bourrée d’histoires qui, de toute évidence, avaient autrefois été dévorées, en doses contrôlées, avant le début d’une terne ou terrifiante maturité.
Y, sin embargo, en la biblioteca de Beechwood existía una pequeña colección de obras que un día habían sido como una dosis autorizada que se ingiere antes de la llegada de la tediosa o terrible madurez.
Salman Rushdie ! » La blague faisait fureur et s’il s’était résigné à participer à un programme de protection de témoins et à mener une vie terne dans un endroit obscur sous une fausse identité, cela aussi aurait été acceptable.
¡Salman Rushdie!»: ese era un chiste popular, y si él hubiese accedido a someterse a una especie de programa de protección de testigos y vivido sus tediosos días en un lugar oscuro con un nombre falso, eso, también, habría sido aceptable.
de son côté Grammaticus – au dire de Perowne – considère son gendre comme une sorte d’ouvrier qualifié, un de ces médecins ternes et incultes dont il se méfie de plus en plus depuis que l’âge le rend susceptible d’avoir besoin d’eux. Il y a un autre sujet sensible, qui n’est bien sûr jamais abordé.
Grammaticus, por su parte —presume Perowne—, le considera a él un comerciante más, un facultativo inculto y tedioso, de una clase de hombres y mujeres de los que desconfía tanto más cuanto más crece con la edad su dependencia de ellos. Hay otra cuestión le la que, naturalmente, nunca hablan.
Depuis qu’il est à Troie, il sait – au moins par intermittence – qu’il ne rentrera pas chez lui. À d’autres les joyeuses retrouvailles, les embrassades, les festins. À d’autres les lendemains interminables et lassants, à élever les enfants ternes d’une épouse ennuyeuse, les heures passées à écouter des paysans se plaindre de leurs voisins, à juger des procès mesquins, jusqu’à ce qu’avec l’âge viennent la faiblesse physique, la vieillesse, la fragilité et la mort.
Desde que llegó a luchar a Troya ya se sabe —aunque no siempre se recuerda— que no volverá a casa. No le será dado asistir a bienvenidas jubilosas, al abrazo ni al banquete. Ni le será dado engendrar, en la monotonía de los años venideros, niños y más niños con una mujer tediosa; ni pasarse horas dando audiencia a labradores que se quejan del vecino, ni arbitrar en disputas de poca monta, hasta que, con el paso de los años, llegue la decadencia física, la vejez, la decrepitud y la muerte.
Peut-être faut-il recourir ici à la dernière phrase que prononce à la fin de La Promenade au phare la pauvre Miss Briscoë, dont la terne existence s’est usée à peindre d’assez médiocres toiles qu’elle ne parvient jamais à finir : « Après tout, murmure-t-elle, en pensant à sa vie si triste et cependant si peu déçue, après tout, j’ai eu ma vision »… Ce mot va rejoindre sur un mode moins épique le dernier monologue de Bernard dans Vagues.
Tal vez haya que recurrir aquí a la última frase que, al final de Al Faro, pronuncia la pobre Miss Briscoë, cuya tediosa existencia ha transcurrido pintando unos cuadros bastante mediocres que jamás consiguió terminar: «Después de todo, murmura pensando en su vida tan triste y sin embargo tan poco frustrada después de todo, yo he tenido mi visión»… Esta palabra se unirá, en un tono menos épico, al monólogo de Bernardo en Las olas.
Sa voix était basse et terne.
Su voz era baja y sorda.
Elle lève sur lui un regard terne, sans bouger, comme sourde à ses paroles, inébranlable.
La perrilla lo mira con ojos apagados, sin moverse, como sorda a sus palabras, impasible.
Les sons se précipitaient, ternes quand ils devaient être aigus, aigus quand ils auraient dû être ternes, et sa voix s'élevait, s'abaissait sans le moindre rapport avec les mots. « Avez-vous été malade. Petite Sœur ?
Los sonidos surgían atropellados, sordos donde deberían ser agudos y agudos donde deberían ser sordos, y los altibajos de su tono de voz nada tenían que ver con sus palabras. —¿Ha estado enferma, Pequeña Hermana?
Le bruit assourdissant devint un bégaiement terne, hésita, toussa et s’arrêta.
El estruendo bajó de nivel hasta convertirse en una especie de tartamudeo ahogado, vaciló, y acabó deteniéndose después de un par de sordas toses.
Rauque et grave, elle exprimait toutes choses avec la même brusquerie furtive, une voix terne et impersonnelle qui aurait pu appartenir à quelqu’un faisant profession d’appeler des noms.
Era áspera y bastante profunda, y emitía todas sus declaraciones con una brusquedad igualmente inesperada, una voz sorda, abrupta e impersonal que podría haber pertenecido perfectamente a alguien cuyo trabajo consistiera en gritarles a los demás.
Les yeux gris et gourds d’Inger Vogel s’approfondissent en verdissant encore plus, la peau autour de son cou et de ses aisselles qui à l’instant avait une texture spongieuse et terne sous les mains de Jim prend soudain une apparence élastique et vivante.
Los ojos sordos y moteados de Inger Vogel se vuelven azules y profundos y la piel del cuello y los antebrazos, que tan mate y esponjosa le ha parecido al tacto hace un instante, resulta de repente viva y elástica.
Peut-être était-ce le départ de ses parents, peut-être seulement la sourde et méchante mélancolie qui traînait maintenant sur tout le paysage et, à quelques pas, brouillait le contour des choses de teintes sombres et ternes.
Acaso se debiera a la despedida de sus padres, acaso tan sólo a la sutil, sorda melancolía que pesaba ahora sobre toda la naturaleza y esfumaba las formas de los objetos situados a pocos pasos de distancia, al tiempo que los cubría con pesados colores, faltos de brillo.
Il y avait le fumet moisi et terne de vieux bois verni du dortoir, et les bruits nocturnes dans les boxes, les pets puissants et les grincements spéciaux des ressorts de lit, accentués pour l’effet, et la sonnerie dans le hall, dans le creux du mal de tête, le matin à sept heures moins le quart.
En los dormitorios, se percibía un tufo mohoso y sordo de madera vieja barnizada; ruidos nocturnos en las alcobas — fuertes explosiones gástricas y chirridos de resortes en las camas—; la campana del vestíbulo, que a las 6,45 A. retumbaba en el vacío de un dolor de cabeza;
Il apparut bientôt que l’avocat avait lui-même rallié la meute, et l’homme roux revint chaque fois plus essoufflé de ses courses, plus débiteur et trempé, l’humeur terne et sourde, le regard coupé du monde comme si les verres de ses lunettes étaient dépolis.
Al poco tiempo resultó que el propio abogado se había sumado a la jauría, y el hombre pelirrojo regresó de sus diligencias cada vez más ahogado, más deudor y hundido, de humor empañado y sordo, y mirar aislado del mundo como si los cristales de sus gafas estuvieran esmerilados.
Il revoyait, dans le petit salon, le visage étroit du vieux Hans Lorenz en train de se pencher, songeur, sur le pourtour dédoré de la coupe baptismale, ce legs stable et mouvant ; il avait la bouche ouverte, car ses lèvres formaient le préfixe « arrière » aux sonorités ternes et dévotes qui lui rappelaient des lieux où l’on adoptait une démarche déférente oscillant vers l’avant.
Veía la estrecha cabeza del viejo Hans Lorenz inclinándose sobre la concha dorada de la jofaina bautismal —aquella pieza atávica que se transmitía invariablemente de padres a hijos—, con la boca redondeada, pues sus labios formaban el prefijo alemán «ur», ese sonido sordo y piadoso que evocaba vagamente los lugares donde se comportaba solemne y reverencialmente.
embotado
Ils sentaient encore parfois leurs anciennes identités, ternies peut-être, moins vives, et leur orgueil moins vivace.
A veces todavía percibían las viejas identidades, quizá con la lucidez un tanto embotada, el orgullo debilitado;
Ils avaient des aspects très différents : l’un paraissait vigoureux, il était luisant et il avait l’œil vif, l’autre avait une fourrure terne et pelée, et ses prunelles étaient hagardes et injectées de sang.
Parecía que el estado de salud de las dos ratas difería radicalmente: una estaba limpia, lustrosa y con los ojos brillantes; la otra tenía el pelo descuidado y ralo, y los ojos embotados y enrojecidos.
Non, ce ne pouvait être un fou, l'homme qui connaissait la langue à tel point, dont les gestes si doux faisaient si peu de bruit, et dont les yeux ressemblaient si peu aux gros yeux ternes des autres sahibs.
Era imposible que fuese tonto un hombre que hablaba ese lenguaje tan a la perfección, un hombre que se movía tan fina y silenciosamente, y cuyos ojos eran tan distintos de los ojos inexpresivos y embotados que tienen los demás sahibs.
Elle regarda les maisons, les voitures et les affiches, tous de couleur terne, désespérément terne ;
Contempló los edificios y los coches y las vallas publicitarias, todo mate, un mate decepcionante;
Le soleil était gros et terne.
El sol era grande y mate;
Alentour le paysage est gris et terne.
Alrededor el paisaje es gris y mate.
Les dalles du sol terne semblaient chatoyer également.
Las baldosas mate parecían resplandecer.
Une très brillante, l’autre d’un gris assez terne.
Una, muy brillante, y la otra, que parece gris mate.
Chieko avait un kimono d’un violet terne.
Chieko llevaba crepé de seda violeta mate.
Ses cheveux sont ternes, son visage terreux.
Su cabello carece de lustre, su cutis es mate y descolorido.
Les feuilles ont un côté terne et un côté brillant.
Las hojas tienen un lado mate y un lado brillante.
Mais il ne s’agissait plus d’un cylindre gris terne.
Excepto que no era el cilindro gris mate que todo el mundo había visto antes.
Observe le plafond crème terne. Marsha.
Mira hacia el techo color crema mate. Marsha.
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