Translation for "t'épargner" to spanish
T'épargner
Translation examples
evitarte
Voilà pourquoi je me cache ici… pour t’épargner ce spectacle…
Por eso me encierro aquí… para evitarte el espectáculo…
Pour t’épargner cette agonie, j’ai décidé d’en finir maintenant.
Para evitarte esa agonía, he decidido acabar ya.
Et nous avons été tentés de vous mentir à cet égard pour vous épargner des craintes et des hésitations et faciliter votre décision.
Y hemos estado tentados de mentirte sobre el asunto, para evitarte el temor y la duda y facilitar tu decisión.
J’essayais de t’épargner, Lucy, mais tu n’arrêtes pas de me coincer avec ton horaire ! — Mon horaire !
Trataba de evitarte preocupaciones, Lucy, ¡pero tú no dejas que haga las cosas a mi ritmo! —¿Tiempo?
— Je mourrais mille fois pour t’épargner la moindre douleur, dit-il d’une voix tremblante.
—Habría muerto un millón de veces —dijo con voz trémula— para evitarte el más mínimo daño.
« Vous savez, ma chère Clara, que je suis venue ici pour vous épargner toute espèce d’embarras.
—Ahora, Clara, querida mía, yo he venido aquí, como sabes, para evitarte todas las preocupaciones que pueda.
Sois persuadé que j’aurais tout fait pour t’épargner ce que j’ai dû subir, si cela m’avait été permis !
Ten la seguridad de que habría hecho todo cuanto me fuera posible hacer para evitarte lo que yo he debido sufrir, si esto me hubiese sido permitido.
— Je voulais plutôt croire qu’elle te l’avait donnée par souci de miséricorde, ou peut-être par pure commodité… pour t’épargner une mort violente.
—Estaba pensando en que te lo dio por compasión, o quizá por simple conveniencia… para evitarte una muerte más violenta.
Sinon, je t’aurais suivie partout, jour et nuit. — Ah oui ? Pourquoi ? — Pour t’épargner… – d’un geste du bras, il montra ses travaux – tout ça !
De haberlo sospechado, te habría vigilado día y noche. —¿De veras? ¿Por qué? —Para evitarte todo esto —dijo señalando lo que había estado haciendo.
Devant les sœurs et les autres Champions, nous jouons à ce petit jeu pour t’épargner des humiliations, mais entre nous, il n’y a pas de malentendu.
No estoy siempre a tu entera disposición, aunque sigamos ese juego delante de las hermanas y los otros Guardianes para evitarte sonrojos, pero tú y yo sabemos a qué atenernos.
perdonarte
Je ne peux pas vous épargner.
No puedo perdonarte la vida.
Ce n’est pas parce que tu es jeune qu’il va t’épargner.
Y no va a perdonarte porque seas tan joven.
souviens-toi de cela, misérable, et t’épargner en ce moment, c’est encore servir les desseins de Dieu. — Ouf!
¡Acuérdate de esto, miserable, y perdonarte en este momento es servir aún los designios de Dios! —¡Uf!
Simon Lovelace viendra te régler ton compte en personne quand il verra qu’on lui a volé son Amulette. Ce n’est pas parce que tu es jeune qu’il va t’épargner.
Simón Lovelace vendrá en persona en tu busca cuando descubra que le han robado el Amuleto.Y no va a perdonarte porque seas tan joven.
Au moment même où je tendais les bras pour l’étreindre, elle se redressa soudain, et changea brusquement d’attitude. Elle allongea la main et la posa sur ma tête ; il me sembla que, de cette main, des ondes se dégageaient qui faisaient tomber mon exaltation en même temps qu’elles me rappelaient à la raison, au sentiment des convenances et aux vertus domestiques. — Ce badinage libertin a suffisamment duré, dit-elle d’un ton un peu sévère : écoute, Holly, tu es un homme bon et honnête et je voudrais t’épargner ;
Luego, de súbito, cuando yo extendía ya los brazos para estrecharla, se irguió y un rápido cambio se produjo en ella. Alargando la mano la posó sobre mi cabeza y pareció que algo brotaba de ella que enfriaba mi ardor, devolviéndome el sentido común y el sentimiento del decoro y las virtudes domésticas. —Basta ya de este juego licencioso —dijo con un toque de severidad—. Escucha, Holly. Eres un hombre bueno y honesto, por eso estoy dispuesta a perdonarte;
Non. Ce n’est qu’un malheureux petit sapin, épargné on ne sait comment, et penché sur le terrain par la pression de l’air brûlant.
No. No es más que un infeliz y pequeño abeto, salvado no sé cómo e inclinado sobra el terreno por la presión del aire ardiente.
Lors de ma fête de bar-mitsva, la famille, les amis de mes parents ainsi que de parfaits inconnus m’ont tendu des enveloppes pleines de bons d’épargne.
En mi fiesta de bar mitzvá, familiares, amigos de mis padres y completos desconocidos me entregaron sobres con bonos de ahorro.
Les enveloppes provenaient toutes d’une succursale de la Wells Fargo Bank de Sherman Oaks, chacune contenant un relevé de compte épargne au nom de McCage Incorporated.
Los sobres eran todos ellos de una sucursal del Wells Fargo Bank de Sherman Oaks, y cada uno contenía un extracto de una cuenta de ahorro a nombre de McCage Inc.
Allez… Je vous épargne tout ça… Vous les connaissez par cœur, ces parenthèses chaleureuses et toujours un peu déprimantes que l’on appelle la famille et qui vous remémorent de temps à autre comme il est court, le chemin parcouru…
Venga… Os lo ahorro… Los conocéis de sobra esos cálidos paréntesis siempre un poco deprimentes a los que se llama la familia y que os recuerdan de vez en cuando lo corto que es el camino recorrido…
— Entre ça, tes préjugés sur la musique qu’on écoute en Europe de l’Est et ton obstination à m’appeler « camarade », tu ne m’as pas épargné. J’éclatai de rire à mon tour. — J’exagérais un peu avec le « camarade » et la musique. J’avais presque oublié le surnom que je lui avais donné. Il ne lui allait plus du tout.
—Oye, me encantaba burlarme de ti por eso. Soltó una risilla entre dientes. —Ya. Entre eso, tus estereotipos sobre la música de Europa del Este y el tema del «camarada», tenías material de sobra. Me reí también. —Lo de «camarada» y la música fue un poco pasarse de la raya —casi había olvidado el apodo que me había inventado para él. Ya no le pegaba—.
Quand Nene pénétra à nouveau dans l’étude de la Calle Lauria, il avait sur lui toute une série d’enveloppes contenant des factures, qu’il avait délicatement extirpées de ma boîte à lettres (« Certains ont encore les doigts habiles, chef, pour vous servir quand vous voudrez, et je viens de vous épargner un effort »), un numéro de Playboy, quelques convocations judiciaires au titre de témoin (« J’y vais ou j’y vais pas ?
Cuando el Nene entró de nuevo en el despacho de la calle de Lauria llevaba una serie de sobres que contenían facturas que había sacado limpiamente del buzón («uno aún tiene los dedos finos, jefe, para lo que guste mandar, y así le he ahorrado un trabajo»), un Playboy, un par de citaciones judiciales para acudir como testigo («¿Voy o no voy?
Pendant ce temps, son jeune frère BENJAMIN TROTTER, treize ans, élève à l’école King William, se convertit au christianisme après une étrange expérience quasi mystique : un jour qu’il a oublié d’apporter son maillot de bain, Benjamin, terrifié, prie pour que lui soit épargnée l’humiliation de devoir nager nu devant ses camarades.
Mientras tanto, su hermano menor BENJAMÍN TROTTER (de trece) va al colegio King William y se convierte al cristianismo tras una curiosa experiencia casi religiosa: un día, tras haberse olvidado de llevar el bañador al colegio, y aterrorizado ante la idea de que el profesor de Educación Física le haga nadar desnudo delante de sus compañeros, Benjamin reza para salvarse de semejante humillación, y su plegaria es atendida cuando descubre inmediatamente un bañador de sobra en una taquilla vacía.
Tu regardais les cendres continuer à s’élever et à danser à travers une multitude d’images du passé, replongeant et puis remontant dans l’air, et les cendres se sont élevées au-dessus d’un jeune couple, les yeux au ciel, et puis la femme a dévisagé l’homme et il avait une fleur à la main et les cœurs battaient fort en s’ouvrant lentement et les cendres sont tombées en travers de leur premier baiser et puis sur un jeune couple poussant un bébé dans sa poussette au Farmer’s Market et finalement les cendres ont virevolté à travers un jardin et ont été chassées en direction du stuc rose de la première – et unique – maison qu’ils avaient achetée ensemble, dans une rue appelée Valley Vista, et puis les cendres ont tourbillonné dans un couloir et derrière les portes se trouvaient les enfants, et les cendres ont croisé des ballons dans l’air et ont soufflé doucement sur les flammes des bougies dansant délicatement sur le gâteau acheté chez le pâtissier sur la table de la cuisine le jour de ton anniversaire, et elles ont gravité autour de l’arbre de Noël qui était au centre de la salle de séjour et ont fait pâlir les petites lumières colorées suspendues à l’arbre, et les cendres ont suivi le vélo de course sur lequel tu pédalais quand tu avais cinq ans, et puis elles ont dérivé vers le toboggan jaune et mouillé sur lequel tes sœurs et toi jouiez, et elles ont flotté dans l’atmosphère et atterri sur les frondaisons des palmiers entourant la maison et un verre de lait que tu tenais, enfant, et ta mère en robe de chambre te surveillant pendant que tu nageais dans une petite piscine d’eau claire et une pellicule de cendres se déposait à la surface, et ton père te jetait dans la piscine et tu éclaboussais joyeusement tout autour, et on entendait une chanson pendant qu’une famille roulait vers le désert (Someone Saved My Life Tonight, dit l’écrivain) et les cendres tachaient les Polaroïds de ta mère et de ton père, jeunes parents, et tous les endroits où nous sommes allés en famille et la petite piscine continuait à faire de la vapeur derrière eux avec l’odeur des gardénias montant dans l’air de la nuit, vacillant dans la chaleur, et il y avait un petit golden retriever, un chiot, adorable, bondissant à côté de la piscine, extatique, courant après le Frisbee, et les cendres ont recouvert les Lego qui étaient étalés devant toi et le matin il y avait ta mère qui faisait au revoir de la main et t’appelait doucement, et les cendres continuaient à tournoyer dans l’espace avec des enfants qui leur couraient après, et elles ont couvert de poussière les touches du piano sur lequel tu jouais et le jeu de backgammon sur lequel ton père et toi vous affrontiez, et elles ont atterri sur le rivage à Hawaï dans une photo des montagnes partiellement cachées par le reflet sur l’objectif et elles ont assombri un coucher de soleil orange au-dessus des dunes ondulées de Monterey et elles se sont mises à pleuvoir sur les tentes roses d’un cirque et une grande roue à Topanga Canyon et elles ont noirci une croix blanche qui se dressait sur une colline à Cabo San Lucas, et elles se sont cachées à l’intérieur des pièces de la maison de Valley Vista et derrière la rangée de portraits de famille, dérivant sur tous les rendez-vous annulés et les avions ratés, les désirs non exaucés et les déceptions confirmées, et très vite elles ont recouvert tous les miroirs dans toutes les pièces où nous vivions, nous cachant nos propres imperfections au moment où les cendres ont circulé dans nos veines, et elles ont suivi le garçon sombre qui s’est enfui, le fils qui a découvert ce que tu es, et tout le monde était trop jeune pour comprendre que notre vie se repliait sur elle-même – c’était tellement idiot et touchant de penser à un moment donné que, d’une certaine façon, nous serions tous épargnés, mais les cendres ont continué à progresser et recouvert une ville entière avec un nuage s’éloignant poussé par le vent et ne cessant de monter et les images ont commencé à devenir plus petites et je pouvais voir la petite ville où il était né alors que les cendres passaient au-dessus des montagnes du Nevada, se mélangeant à la neige qui tombait là et qu’elles traversaient une rivière, et puis j’ai vu mon père marcher vers moi – il était de nouveau enfant et il souriait et il m’offrait une orange qu’il tenait des deux mains, tandis que les chiens de chasse de mon grand-père couraient de l’autre côté de la voie ferrée après les cendres se déposant sur leur pelage, et les cendres se sont mises à déteindre dans les images et ont dérivé vers sa mère pendant qu’elle dormait et ont recouvert le visage de mon fils qui rêvait de la lune et dans son rêve elles en assombrissaient la surface en volant au-dessus d’elle, mais après leur passage la lune était plus brillante que jamais, et les cendres sont tombées en pluie vers la terre, virevoltantes, scintillantes à présent, et bientôt ont été absorbées au sein d’une vision de lumière dans laquelle les images ont commencé à se désagréger.
Te quedaste mirando cómo las cenizas subían y danzaban entre una multitud de imágenes del pasado, cayendo en picado para remontar después el vuelo, y las cenizas se elevaron por encima de una pareja joven que miraba al cielo y luego la mujer miró al hombre y el hombre le ofreció una flor y sus corazones latieron abriéndose poco a poco y las cenizas cayeron sobre su primer beso y luego sobrevolaron a una pareja joven paseando a un bebé en un cochecito por el Mercado de los Granjeros y al final las cenizas viraron por un jardín y se arrastraron hacia el estuco rosa de la primera —y única— casa que habían comprado como familia, en una calle llamada Valley Vista, y luego las cenizas recorrieron arremolinadas un pasillo detrás de cuyas puertas había niños y volaron entre los globos y apagaron suavemente las velas que ardían delicadamente sobre el pastel comprado que había en la mesa de la cocina el día de tu cumpleaños, y giraron alrededor del árbol de Navidad que se erguía en el centro del salón y oscurecieron las luces de colores que lo decoraban, y las cenizas siguieron la bici sobré la que pedaleabas por la acera cuando tenías cinco años y luego se colaron por el Slip’n’Slide amarillo en el que jugabas con tus hermanas y flotaron en el aire y aterrizaron en las hojas de las palmeras que rodeaban la casa y en un vaso de leche que sostenías en tu mano infantil y en tu madre en bata mirándote nadar en una piscina clara e iluminada y una película de ceniza se extendió sobre la superficie del agua, y tu padre peleaba contigo en el agua y tú amerizabas contento salpicándolo todo, y mientras la familia atravesaba el desierto en coche sonaba una canción («Someone Saved My Life Tonight», dice el escritor) y las cenizas salpicaron las Polaroid de tus padres de jóvenes y de todos los lugares a los que fuisteis cuando erais una familia y el vapor de la piscina iluminada seguía elevándose detrás de ellos junto con el aroma de las gardenias que se mezclaba con el aire nocturno, bamboleándose en el calor, y había un pequeño golden retriever, un cachorrito, saltando afable por los bordes de la piscina, eufórico, tratando de cazar un Frisbee, y las cenizas cubrieron las piezas del Lego esparcidas delante de ti y luego, por la mañana, tu madre se despidió con la mano y su voz dulce y las cenizas siguieron girando perseguidas por niños y cubrieron las teclas del piano que tocabas y el tablero de backgammon con el que jugabais tu padre y tú y se posaron en la playa en Hawai sobre una fotografía de las montañas tapada en parte por el destello de la cámara y oscurecieron una puesta de sol anaranjada sobre las rizadas dunas de Monterrey y llovieron sobre las tiendas rosas de un circo y una noria en Topanga Canyon y ennegrecieron una cruz blanca clavada en una colina del cabo San Lucas, y se escondieron en las habitaciones de la casa de Valley Vista y la hilera de retratos familiares, extendiéndose por todas las promesas anuladas y los vínculos perdidos, los deseos insatisfechos y los desengaños conocidos y los miedos confirmados y todos los portazos y las reconciliaciones que nunca ocurrieron, y pronto cubrieron todos los espejos de todas las estancias que habitamos, ocultándonos nuestras imperfecciones aun cuando las cenizas corrían por nuestras venas, y siguieron al chico de nuestra progenie que huyó, el hijo que descubrió lo que eres, y todo el mundo era demasiado joven para comprender que nuestra vida estaba plegándose sobre sí misma —era una tontería muy conmovedora pensar que de algún modo se nos ahorraría todo eso—, pero las cenizas siguieron avanzando y cubrieron una ciudad entera con una nube arrastrada por el viento y continuaron ascendiendo y las imágenes empequeñecieron y pude ver la ciudad en que había nacido mi padre cuando sobrevolaron las montañas de Nevada mezcladas con la nieve que allí caía y cruzaron el río y entonces vi a mi padre caminando hacia mí —volvía a ser niño y sonreía y me ofrecía una naranja con ambas manos mientras los perros cazadores de mi abuelo perseguían las cenizas por las vías del tren ensuciándose el pelaje— y las cenizas empezaron a derramarse sobre las imágenes y pasaron por encima de su madre dormida y mancharon la cara de mi hijo que soñaba con la luna y en cuyo sueño las cenizas oscurecían la superficie lunar al pasar volando pero en cuanto se alejaron la luna brilló como nunca y las cenizas llovieron en remolinos, rutilantes, y pronto las devoró una luz en la que empezaron a desmoronarse las imágenes.
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