Translation for "sécreter" to spanish
Sécreter
Translation examples
Ne dis plus rien. Ne fais plus rien. Fiche-moi la paix. Ma glande d’angoisse s’est mise à sécréter.
No digas nada más. No hagas nada más. Déjame en paz. Mi glándula de angustia se ha puesto a secretar.
Le hêtre a eu très mal et il s’est mis à sécréter une sève toxique qui a failli les empoisonner toutes.
El haya lo pasó muy mal y empezó a secretar una savia tóxica que a punto estuvo de envenenarlas a todas.
puis il s’arrêtait de nouveau, comme s’il ne pouvait sécréter qu’une parcelle de pensée à la fois.
luego, volvía a detenerse, como si no pudiera secretar sino una partícula de pensamiento de una sola vez.
Si j’avais été écrivain, j’aurais écrit des livres de fiction, dix ou quinze romans déjà, sans plus d’efforts que pour sécréter l’insuline ou faire transiter quotidiennement la nourriture entre les deux orifices de mon appareil digestif.
Si hubiera sido escritor, habría escrito libros de ficción, tendría ya diez, quince novelas sin mucho más esfuerzo del que hago para secretar insulina o para favorecer el tránsito diario de los alimentos entre los dos orificios de mi aparato digestivo.
Tu ne fais qu’ajouter une vieille de plus au cortège de vieilles qui m’a poursuivi toute ma vie, Inés-vieille, Inés-laide, qui te mets ainsi à portée de ma main, mais ce n’est pas Inés-laide, Inés-Peta que je veux, c’est seulement Inés lumineuse, inaltérable, telle est l’Inés que je veux, celle que tu retiens dans les photographies des malles rangées dans tes cellules, Inés faisant du cheval à la Rinconada, Inés en robe de bal couleur tango, Inés avec un chapeau qui lui enveloppe la tête en dégageant sa nuque et son long cou, Inés en manteau de fourrure, Inés au bras de don Jerónimo se promenant sur le paddock du Club hippique, Inés en vis-à-vis avec misiá Raquel qui n’a jamais été jolie, Inés… enfin, je te connais belle, Inés au fond de tes malles fermées à clé, dans les vêtements que tu as portés et que tu gardes dans cette Maison, qui ont touché le corps d’Inés-belle et que je touche, mais cette Inés n’a vu que mes yeux allumés de témoin une nuit dans son parc, et, depuis les opérations de Crisóforo Azula, je crois qu’elle ne me voit sûrement plus, tiens, voilà quelques pesos de pourboire pour toi, Mudito, nous allons ranger ce sac en crocodile, cette lampe en porcelaine, ce tapis de Tabriz, ces deux miniatures montées sur velours, ce saut-du-lit en nylon molletonné qui est très chaud et tout neuf, nous allons ranger tout ce que j’ai gagné cette nuit au canodrome contre les vieilles, dans ma cellule je ne peux pas, Peta, laisse-moi, va le chercher, lui, et étripe-le, car c’est par sa faute que nos destinées ont pris la forme monstrueuse qu’elles ont adoptée pour survivre… moi à balayer ta chambre, et toi en train de prier à genoux sur le carreau devant une croix de petits bouts de bois attachés avec des lacets que tu as faite l’autre jour pour rivaliser avec ton ancêtre, par l’ancêtre d’Inés, mais celle de cette femme qui prie pendant que je balaie sa cellule, et que j’aime, car Peta est la seule femme au monde que j’ai aimée, je ne mérite qu’un pourboire, car mon père m’a affirmé que je n’avais point de visage et que je n’étais personne, il me l’a appris quand j’étais petit, c’est pourquoi il ne me reste que toi, mais je ne puis le permettre ; avant que les greffes du Dr Azula aient poussé, que leurs tissus se soient unis complètement à ta chair et que les glandes aient commencé à sécréter leur jus, quand tu seras encore Inés bien que laide et déguenillée, je prendrai possession de toi, le souvenir de ta beauté m’appartiendra, et après m’être servi de ce qu’il en reste, j’en ferai ce que je voudrai, je t’écorcherai pour exhiber ta peau, la vraie peau ensanglantée de la chienne jaune, et alors tu n’existeras plus, ni toi ni toi, aucune de vous deux, vous disparaîtrez toutes deux au fond du couloir le plus profond, fuis, Peta, cherche l’autre, que veux-tu faire de mon sexe flétri, laisse-moi tranquille, laisse-moi m’anéantir, laisse les bonnes vieilles m’emmailloter, je veux être un imbunche dans le sac de ma propre peau, dépouillé de la faculté de me mouvoir, de désirer, de lire et d’écrire, ou encore de me souvenir, si tant est que je trouve en moi quelque chose dont me souvenir, et de t’entendre prier à genoux devant la petite croix de bouts de bois et de lacets, de me voir obligé à me demander quelle peut bien être cette femme que je connais, qui est cette femme, elle est si changée, la pauvre misiá Inés, elle qui est si brave, elle est bien au bout de son rouleau, c’est une sainte, une des dames les plus pieuses et les plus charitables qu’il y a, et bonne pour de bon, elle ne se peint pas les ongles ni ne fume comme un homme, comme misiá Raquel, elle se soucie de nous qui sommes pauvres et malades, il n’y a qu’elle qui se souvienne de nous pour nous protéger, ça fait près d’un an que misiá Raquel nous a promis une aumône en mémoire de la Brígida et, comme vous voyez, rien n’est venu, non, ce n’est pas qu’elle soit méchante, elle a d’autres soucis, plein d’enfants et de petits-enfants, tandis que misiá Inesita ne s’habille plus à la mode ni rien, et tu égrènes ton rosaire lourd d’indulgences, car le saint Père l’a béni, et tu as les yeux fermés.
Sólo sumas una vieja más a la comitiva de viejas que me ha perseguido toda la vida, Inés-vieja, Inés-fea, poniéndote así al alcance de mi mano, pero no es la Inés-fea, la Inés-Peta, la que quiero, es Inés sola, luminosa, inalterable, ésa es la Inés que quiero, la que guardas en las fotografías de tus baúles que conservas en tu celda, Inés montando a caballo en la Rinconada, Inés con traje de baile de macramé color tango, Inés con un sombrero que le ciñe la cabeza y le despeja la nuca y el cuello alto, Inés con un manto de pelo, Inés paseando del brazo de don Jerónimo por el paddock del Club Hípico, Inés en vis-à-vis con misiá Raquel que nunca fue bonita, Inés… en fin, te conozco Inés bella en el fondo de tus baúles con llave, en la ropa que has usado y que guardas en esta casa, que ha tocado el cuerpo de Inés bella y que yo toco, pero esa Inés sólo vio mis ojos encandilados de testigo una noche en su parque y después de las operaciones de Crisóforo Azula creo que ni siquiera me ve, toma unos pesos de propina, Mudito, vamos a guardar esta cartera de cocodrilo, esta lámpara de porcelana, esta alfombra de Tabriz, este par de miniaturas montadas en terciopelo, esta bata de levantarse de nylon acolchado que es muy abrigadora y está nueva, vamos a guardar todas las cosas que esta noche les gané a las viejas en el canódromo, en mi celda, no puedo, Peta, déjame, anda a buscarlo a él y desentráñalo porque él tiene la culpa de que nuestros destinos hayan tomado las formas monstruosas que han tomado para poder sobrevivir… yo barriendo tu dormitorio, tú rezando de rodillas en el suelo frente a una cruz de palitos amarrados con tientos que hiciste el otro día para emular a tu antepasada, no a la antepasada de Inés, de esa mujer que reza mientras barro su cuarto y que amo porque la Peta es la única mujer en el mundo que he amado, no merezco más que una propina porque mi padre me aseguró que no tenía rostro y no era nadie, eso me lo enseñó desde niño, por eso no me quedas más que tú, pero no puedo permitirlo, antes de que los injertos del doctor Azula crezcan y sus tejidos se unan completamente a tu carne y las glándulas comiencen a secretar sus jugos, cuando todavía —aunque fea y zaparrastrosa— sigas siendo Inés, yo me apoderaré de ti y el recuerdo de tu belleza será mío y haré lo que quiera con él después de usar lo que quede, te desollaré para exhibir tu pellejo, el verdadero pellejo ensangrentado de la perra amarilla y entonces no existirás ni tú ni tú, ninguna de las dos, las dos desaparecerán en el fondo del pasillo más profundo, huye, Peta, busca al otro, para qué quieres mi sexo lacio, déjame tranquilo, déjame anularme, deja que las viejas bondadosas me fajen, quiero ser un imbunche metido adentro del saco de su propia piel, despojado de la capacidad de moverme y de desear y de oír y de leer y de escribir, o de recordar si es que encuentro en mí alguna cosa que recordar, y de oírte rezando arrodillada frente a la crucecita de palos y tientos, verme obligado a preguntarme quién será esa mujer que conozco, quién es esa mujer, tan cambiada que está la pobre misiá Inesita, tan buena, tan concluida que está, es una santa, una de las señoras más piadosas y más caritativas que hay, y buena de veras, no se pinta las uñas ni fuma como hombre como misiá Raquel, se preocupa de nosotras que somos pobres y enfermas, sólo ella se acuerda de nosotras para protegernos, hace casi un año que misiá Raquel ofreció una limosna en recuerdo de la Brígida, y ya ven, nada, no, no es que sea mala, es que está preocupada de otras cosas, tantos hijos y nietos, mientras que misiá Inesita ya ni se viste a la moda ni nada, y tú desgranas tu rosario pesado de indulgencias porque te lo bendijo el Santo Padre, y tienes los ojos cerrados.
nous retrouverons un lieu secret.
nos volverá a ocultar.
Nous ne cherchons pas à garder des secrets.
No estamos intentando ocultar nada;
On a le sentiment d’un homme qui cherche à dissimuler un secret. — Un grand secret.
Parece que hubiera intentado ocultar un secreto.
Pourquoi ? Parce qu’elle cachait un secret.
¿Por qué debía sospechar, si no tenía nada que ocultar?
 Ils ont deux raisons de garder le secret.
Tienen dos razones para ocultar el cohete.
secrete
J’ai un secret à vous vendre. – Un secret? – Un secret.
Tengo un secreto que venderos. —¿Un secreto? —Un secreto.
Secret, tout a été secret.
Secreto, todo había sido secreto.
Ce n’est pas un secret, nous avons tous des secrets.
No es ningún secreto que todos tenemos secretos.
C’est un secret. Le secret d’Hécube.
Secreto. Es el secreto de Hécuba.
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