Translation for "struensée" to spanish
Struensée
  • struensee
Similar context phrases
Translation examples
struensee
Je voudrais voir Struensee, fût-il couvert de sang ;
Yo querría ver a Struensee, acaso ensangrentado;
Et on en trouva un, allemand, qui s’appelait Friedrich Struensee.
Encontraron a un alemán que se llamaba Friedrich Struensee.
Ce doit être Struensee, le grand ministre, comme on le murmure au palais.
Debe de ser a Struensee, el gran ministro, como se murmura en el Palacio Real;
Ils choisissent pour elle un cheval docile et, dans le parc de Bernstorff à la beauté sans limites, Struensee la prend par la main et accepte de lui apprendre à monter.
Eligen para ella un caballo dócil, y en la imperturbable belleza del parque de Bernstorff Struensee la coge de la mano y acepta ser su instructor.
C’est une scène entre Struensee et la reine (elle s’appelait Caroline Mathilde, elle avait vingt ans, était anglaise et, en apparence, avait autant de charme et de personnalité qu’une aubergine.
Se trata de una escena entre Struensee y la reina. (Se llamaba Carolina Matilde, tenía veinte años, era inglesa, y aparentemente tenía el encanto y el carácter de una berenjena.
Parmi les nombreuses passions de Struensee, il y avait les promenades à cheval, et à un certain point, la reine remise ses airs hautains et lui accorde le privilège d’être son moniteur d’équitation.
Struensee, entre otras pasiones, tenía la de montar a caballo, y la reina en un momento dado, dejando a un lado su soberbia, le concede el privilegio de enseñarle a montar.
Pour écouter les morts, pour les faire parler et répéter ce qu’ils disent, il faut du sang – celui de Struensee a été versé il y a vingt ans, il coule encore, le sang coule toujours.
Para escuchar a los muertos, para hacerles hablar y repetir lo que dicen, hace falta sangre —la de Struensee fue vertida hace veinte años, mana todavía, la sangre siempre mana.
De l’autre côté de la porte on entend des coups, puis la voix de l’homme de haute taille qui dit à Struensee d’aller, de nuit, chez le roi George d’Angleterre, et qu’ainsi peut-être la folie de Christian VII passera en lui.
Al otro lado de la puerta se oyen algunos golpes, luego la voz del hombre más alto que le dice a Struensee que vaya, por la noche, a ver al rey Jorge de Inglaterra, tal vez de esa forma le pase a él la locura de Cristián VII.
Peut-être n’avais-je pas tout à fait compris la force utopique et la folie visionnaire qu’avaient les idées des Lumières avant qu’Enquist ne me raconte la fulgurante révolution danoise de Struensee, qu’il ne me montre de si près la réalité d’un pays qu’on retourne comme un gant en l’espace de quelques mois, au moyen d’une décharge électrique d’idéaux insensés de liberté, de rationalité et de nature : un spectacle sublime et grotesque.
Es posible que nunca haya entendido de verdad la fuerza utópica y la locura visionaria de las ideas de la Ilustración hasta que he leído este relato de Enquist sobre la efímera revolución danesa de Struensee, hasta que no me ha hecho ver tan de cerca la realidad de un país al que, en pocos meses, le dieron la vuelta como a un calcetín, bajo la sacudida eléctrica de los temerarios ideales de libertad, racionalidad y naturalidad.
Struensee, ce doit être lui, grand et aveuglé dans cette lumière, comme dans ce bal où tout a soudainement pris fin, les lumières brillaient, d’innombrables torches et flambeaux brûlaient – « Silence ! » criait-il, mais qu’est-ce que vous pouvez comprendre, vous autres, de ce soir-là, dans la salle les globes de cristal allumés tremblaient oscillaient et tournaient, Caroline Matilda, la reine, était le feu des yeux derrière un masque, perles de feu noir flamboyant comme les torches, le vin dans les coupes avait des lueurs d’incendie – moi je serrais les mains, je les abandonnais, j’en prenais d’autres, tout le monde voulait me serrer la main, laissez-moi tranquille, docteur –, le lustre au-dessus de moi était un globe, le monde que je faisais tourner entre mes mains, moi, le tout-puissant ministre, seigneur et maître du roi, de son État et de son lit… Les yeux de Caroline Matilda brillaient fulguraient et fuyaient, étoiles filantes, son regard m’enveloppait, je ne me suis presque aperçu de rien quand les gardes se sont emparés de moi et m’ont emmené, je croyais que c’étaient des gentilshommes déguisés comme les autres, je criais : « Comment osez-vous, vous le paierez de votre tête !
Struensee, debe de ser él, grande y cegado en aquella luz, como en aquel baile donde todo se acabó de pronto, las luces estaban encendidas, ardían las teas y las antorchas. «¡Silencio!», gritaba, pero qué es lo que podéis entender vosotros de aquella tarde, en la sala los globos de cristal encendidos temblaban se tambaleaban y mecían, Carolina Matilda, la reina, era el fuego de los ojos detrás de una máscara, perlas de fuego negro encendidas igual que las antorchas, el vino ardía en las copas —yo apretaba unas manos, las soltaba, cogía otras, todos querían darme la suya, déjeme en paz, doctor—, la lámpara que había encima de mí era un globo, el mundo que hacía girar entre mis manos, yo, el todopoderoso ministro, el señor del rey, de su Estado y de su cama… Los ojos de Carolina Matilda resplandecían, asaeteaban y huían como cometas, me envolvían, casi no me di cuenta cuando los guardias me cogieron y se me llevaron de allí, creía que eran caballeros con sus disfraces como los demás, gritaba: «¡Cómo os atrevéis, lo pagaréis con vuestra cabeza!
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test