Translation for "soulever" to spanish
Translation examples
Pitt, en queue de cortège, était obligé de naviguer dans le nuage de poussière soulevé par les autres voitures et balayé par le vent.
Yendo en último lugar, Pitt se vio obligado a conducir casi a ciegas a través de la nube de polvo que levantaban los coches de delante y que el viento cargado de arena se encargaba de aumentar.
Amélia suivait les actions de son unité avec une fidélité et une passion de warboy. (Elle ne l’eût jamais admis – selon lui, pour lui éviter de s’inquiéter – mais elle se trahissait souvent en posant des questions qu’elle n’eût pu soulever avec les seuls renseignements des actualités.)
Amelia seguía las acciones de su unidad con la obsesiva intensidad de un chico bélico (nunca lo admitía, Julián suponía que por evitar aumentar su ansiedad, pero a menudo se le escapaba y hacía preguntas que nadie que se limitara a ver los noticiarios hubiera planteado).
mssmâ A peu près tous les deux ans, une vague d’indignation provoquée par le gaspillage que cause cette frénésie de consommation soulève certains hommes ; le cliché de la femme-victime est si fortement enraciné dans leur conscience qu’ils restent frappés de cécité devant une preuve aussi évidente de leur exploitation par la femme. A les entendre, c’est elle qui se trouve manipulée, et cela par la publicité ; sa naïveté et sa bonne foi — pourquoi pas sa bêtise ?
De cuando en cuando se propaga regularmente entre los varones una oleada de indignación por esa costosa provocación del consumismo femenino, pues el cliché de la mujer-víctima-de-la-explotación-masculina está tan arraigado en su consciencia que siguen siendo ciegos incluso ante una prueba tan fehaciente como esta de que los explotados son ellos. Dicen los varones que la publicidad manipula a las mujeres y abusa vergonzosamente de su ingenuidad y su credulidad (quieren decir: su estupidez) para aumentar las ventas.
Tong se tourna alors pour repousser son assaillant en se servant de son arme comme d’une matraque. Trop tard. Son agresseur avait déjà fait un pas en avant, lui faisant perdre l’équilibre. Tong vacilla, essaya de reprendre son équilibre, mais il ne fit que donner de l’élan à l’autre, qui en profita pour le soulever complètement en le faisant tourner. En un brusque mouvement chancelant vers l’avant, il balança Tong par-dessus bord.
Entonces, Tong intentó girarse para repeler a su atacante golpeándolo con la pistola como si fuera una porra, pero sus movimientos llegaron demasiado tarde: su adversario había dado un paso adelante haciéndole perder el equilibrio. Tong intentó echarse hacia delante para no perder pie, pero solo logró aumentar el impulso de su captor, que este aprovechó para alzarlo y hacerlo girar. Entonces, con una increíble cabriola, lo levantó en el aire y lo arrojó por la borda.
Eh bien, expliqua Pedro Orce, cette bataille se déroula lorsque les communautés d’Espagne se soulevèrent contre l’empereur Charles Quint, un étranger, pas tant parce qu’il était étranger, en ces temps-là il était tout à fait banal pour les peuples de voir débarquer chez eux un roi qui parlait une autre langue, l’affaire ne concernait que les maisons royales qui jouaient leurs pays, et ceux des autres, ne disons pas aux dés ni aux cartes, mais selon les intérêts de la dynastie, avec leurs trocs d’alliances et leurs trucs de mariages, c’est pourquoi il est faux de dire que les communautés s’étaient soulevées contre le roi intrus, et n’allez pas non plus vous imaginer que ce fut la grande guerre des pauvres contre les riches, qui peut croire que tout cela, et bien d’autres choses encore, est aussi simple qu’on le dit, le fait est que les nobles espagnols n’appréciaient pas du tout, mais alors pas du tout, qu’on distribuât de nombreuses charges aux étrangers qui accompagnaient l’empereur, l’une des premières décisions des nouveaux seigneurs fut d’ailleurs d’augmenter les impôts, remède infaillible pour financer les dépenses et les aventures, ainsi la première ville rebelle fut Tolède et les autres suivirent son exemple, Toro, Madrid, Avila, Soria, Burgos, Salamanque et bien d’autres encore, mais les motivations des uns n’étaient pas les motivations des autres, elles coïncidaient parfois, oui messieurs, mais elles étaient aussi en contradiction, et s’il en allait ainsi avec les villes, c’était encore pire avec les habitants, certains chevaliers défendaient uniquement leurs intérêts et leurs ambitions, c’est la raison pour laquelle, suivant la direction d’où venait le vent et le profit, ils changeaient de camp, et comme, à chaque fois, le peuple se trouvait mêlé à tout ça, il défendait ses propres positions, bien sûr, mais aussi et surtout les raisons des autres, il en va ainsi depuis que le monde est monde, et encore, si le peuple ne faisait qu’un ce serait parfait, mais ce n’est pas le cas, et il est bien difficile de faire entrer cette idée dans la tête des gens, sans parler du fait qu’on le trompe bien souvent ce peuple, combien de fois ses députés, chargés de les représenter au Parlement, une fois arrivés là, subornation ou menace, votent le contraire de ce qu’ont voulu leurs mandants, ce qui est extraordinaire c’est qu’en dépit des divergences et des contradictions, les communautés aient été capables d’organiser des milices et de partir en guerre contre l’armée du roi, inutile de dire qu’il y eut des batailles gagnées et d’autres qui furent perdues, et c’est ici, à Villalar, qu’ils ont perdu la dernière, pourquoi, pour les mêmes raisons que d’habitude, erreurs, incompétence, trahisons, soldats lassés d’attendre leur solde et qui désertent, la bataille a eu lieu, les uns l’ont gagnée, les autres l’ont perdue, on n’a jamais réussi à savoir avec exactitude combien d’habitants de la commune sont morts ici, d’après les calculs modernes ça ne doit pas faire beaucoup, certains ont dit deux mille, d’autres assurent qu’ils ne furent pas plus de mille et même moins de deux cents, on ne sait pas, on ne le saura jamais, à moins qu’un jour quelqu’un ait l’idée de retourner la terre de ce cimetière pour compter les crânes enterrés, car compter les autres os ne pourrait qu’augmenter la confusion, trois des chefs des communautés ont été jugés dès le lendemain, condamnés à mort et décapités sur la place de Villalar, ils se nommaient Juan de Padilla, de Tolède, Juan Bravo, de Ségovie, et Francisco Maldonado, de Salamanque, voilà la bataille de Villalar, qui, si elle avait été gagnée par ceux qui l’ont perdue, aurait changé le destin de l’Espagne, avec un clair de lune comme celui qu’on a maintenant, comment imaginer ce qu’ont dû être la nuit et le jour de la bataille, il pleuvait, les champs étaient inondés, on se battait dans la boue, d’après les calculs modernes il n’est pas mort grand monde, d’accord, mais on a envie de dire que ces quelques morts des guerres d’autrefois ont plus pesé dans l’histoire que les centaines de milliers et les millions de morts du vingtième siècle, seul le clair de lune est resté le même, il éclaire aussi bien Villalar qu’Austerlitz ou Marathon, Ou Alcácer Quibir, dit José Anaiço, Quelle est cette bataille, demanda Maria Guavaira, Si on l’avait gagnée au lieu de la perdre, je n’imagine pas comment serait le Portugal d’aujourd’hui, répondit José Anaiço, J’ai lu dans un livre que votre roi don Manuel a participé à cette guerre, dit Pedro Orce, Dans les manuels dont je me sers, il n’est pas dit qu’à cette époque les Portugais étaient en guerre contre l’Espagne, Ce ne sont pas des Portugais de chair et d’os qui sont venus, mais cinquante mille croisés que votre roi avait prêtés à l’empereur, Ah bon, répliqua Joaquim Sassa, cinquante mille croisés pour l’armée royale, les communautés ne pouvaient que perdre, les croisés sont toujours vainqueurs.
Pues esta batalla, explicó Pedro Orce, ocurrió cuando las comunidades de España se levantaron contra el emperador Carlos Quinto, extranjero, pero no tanto por ser extranjero, que en los siglos de antiguamente lo más común de la vida era que vieran los pueblos cómo les entraba por la puerta un rey hablándoles en otra lengua, el negocio era todo entre casas reales que se jugaban los suyos y otros países, no voy a decir que a los dados o a la baraja, sino por intereses de dinastías, con trucos de alianzas y cosas de casamientos, por eso no vamos a decir que se alzaran las comunidades contra el rey intruso, y tampoco vamos a imaginar que fue la gran guerra de pobres contra ricos, ojalá todas las cosas, éstas y las demás, fueran tan sencillas como explicarlas, el caso es que a los nobles españoles no les gustaba nada, pero nada, que a los extranjeros del emperador les hubiesen sido distribuidos tantos cargos y oficios, y una de las primeras resoluciones de los nuevos señores fue elevar los impuestos, es remedio infalible para costear lujos y aventuras, ahora bien la primera ciudad rebelde fue Toledo, y luego siguieron otras el ejemplo, Toro, Madrid, Ávila, Soria, Burgos, Salamanca, y más y más, pero los motivos de una no eran los motivos de la otra, algunas veces coincidían, claro, pero otras se contradecían, y si era así con las ciudades mucho más lo era con las personas que las habitaban, había caballeros que sólo defendían sus intereses y ambiciones, y por eso cambiaban de campo conforme soplaba el viento y venía el beneficio, pues bien, como siempre acontece, el pueblo estaba metido en esto por sus propias razones pero sobre todo por las ajenas, es así desde que el mundo es mundo, aunque si el pueblo fuese todo uno, estaría bien, pero el pueblo no es todo uno, ésta es una idea que cuesta mucho meterle en la cabeza a la gente, sin hablar de que los pueblos viven generalmente engañados, tantas veces llevaron sus procuradores un voto a cortes y, llegados allí, por soborno o amenaza, votaron los diputados lo contrario de la voluntad de quien los mandó, la maravilla es que a pesar de tanto descontento y contradicción, fueran las comunidades capaces de organizar milicias e ir a la guerra contra el ejército del rey, ni que decir tiene que hubo batallas ganadas y perdidas, aquí en Villalar fue donde se perdió la última, y por qué, lo de siempre, errores, incompetencias, traiciones, gente que se cansó de esperar la soldada y se marchó, se dio la batalla, unos la ganaron, otros la perdieron, nunca llegó a saberse cuántos comuneros murieron, aquí, por las cuentas modernas no fueron muchos, hay quien dice que dos mil, hay quien jura que no pasaron del millar, y hasta que fueron sólo doscientos, no se sabe, no se sabrá, salvo si a alguien un día se le ocurre remover estas tierras cementeriales y contar los cráneos enterrados, que contar los demás huesos no iba a servir más que para aumentar la confusión, tres de los capitanes de las comunidades fueron juzgados al día siguiente, condenados a muerte y decapitados en la plaza de Villalar, se llamaban Juan de Padilla, toledano, Juan Bravo, segoviano, y Francisco Maldonado, salmantino, ésta fue la batalla de Villalar, que si hubiera sido ganada por quien la perdió podría haber cambiado el destino de España, con una luna como ésta quién puede imaginar lo que habrá sido la noche y el día de la batalla, llovía, los campos estaban inundados, combatían hundidos en el barro, sin duda para las cuentas modernas fue poca la gente que murió, pero a uno le dan ganas de decir que la poca gente muerta en las guerras de antiguamente pesa más en la historia que los centenares de miles y millones del siglo veinte, lo que no cambia es la luna, tanto cubre Villalar como Austerlitz o Maratón, o, O Alcazarquivir, dijo José Anaiço, Qué batalla fue ésa, preguntó María Guavaira, Si también ésa se hubiese ganado en lugar de perdido, no puedo imaginar cómo sería hoy Portugal, respondió José Anaiço, Una vez leí en un libro que vuestro rey Manuel entró en esta guerra, dijo Pedro Orce, En los libros por los que yo enseño no se habla de que los portugueses anduvieran en guerra con España en esa época, No vinieron portugueses de carne y hueso, vinieron cincuenta mil cruzados que vuestro rey prestó al emperador, Ah, bueno, dijo Joaquim Sassa, cincuenta mil cruzados para el ejército real, por eso perdieron las comunidades, los cruzados ganan sIempre.
Elle s’enfle et se soulève.
Se extiende y aumenta.
Il la voyait entre les planches se soulever sous ses pieds.
Podía ver el aumento de la misma entre las tablas bajo sus pies.
— Votre pèlerinage soulève un tollé général, Votre Sainteté. Les gens en ont peur.
Aumenta el descontento y las protestas contra vuestra peregrinación, Su Santidad. La gente la teme.
L’homme sentit son estomac se soulever, sa gorge se révulser, mais il ravala sa bile.
El hombre sintió que sus nauseas iban en aumento y se le revolvía el estómago, pero contuvo las arcadas.
Soneji savait que la vague de rage et de fureur qui était en train de se soulever en lui pouvait se révéler dangereuse.
La tremenda ira y la furia que iban en aumento en su interior eran peligrosas, y Soneji lo sabía.
L’herbe amplifiait les spasmes qui me serraient la gorge et qui finirent par me soulever le cœur avec la puissance d’un orgasme.
La marihuana aumentó los espasmos de mi garganta hasta el punto de convertirlos casi en orgasmos de tan fuertes.
Espérant que la force décuplée de ma prothèse serait suffisante, j’assurai une prise basse et essayai de le soulever au-dessus de ma tête.
Esperando que fuese suficiente el aumento de fuerza proporcionado por la armadura, lo agarré y procuré alzarlo sobre mi cabeza.
Soulevé par ce brusque regain de puissance, le vaisseau se déporta de l’autre côté et Thorne l’entendit heurter l’appareil voisin avec un bruit de tôle froissée.
Con el súbito aumento de la potencia, la nave dio un bandazo hacia el lado contrario, y Thorne oyó un crujido al embestir la nave contigua.
Peu à peu, j’employai plus de force et j’éprouvai une satisfaction sans surprise quand elle se laissa soulever. Elle était, naturellement, terriblement lourde, mais ne devait pas peser, à mon avis, plus de trois cents livres.
Aumenté gradualmente la fuerza y sentí una gran satisfacción desprovista de toda sorpresa, al conseguir levantarla. Era, por supuesto, sumamente pesada y tuve que afirmarme muy bien y recurrir a todas mis energías.
(Il activa les écrans des analyseurs de la capsule.) Elle soulève des particules jusqu’à deux mille mètres, elles restent en suspension dans l’atmosphère et la poussière continue à tomber du ciel longtemps après.
Aumentó el brillo de las pantallas de los aparatos analíticos de la estación—. Eleva partículas a una altitud de dos mil metros, de forma que quedan suspendidas en la atmósfera, y mucho después de que la tormenta haya pasado, continúa cayendo polvo del cielo.
Une vague d’euphorie le soulève.
Una ola de euforia vuelve a elevar su ánimo.
— Non, pas pour soulever des masses comme celle-ci.
—No el suficiente para elevar masas como ésta.
La litière fut de nouveau soulevée, et la foule s’écarta pour lui permettre de poursuivre son chemin.
La litera se volvió a elevar, y la multitud se apartó para dejarla pasar.
Au centre se trouvait un pont hydraulique assez puissant pour soulever une voiture.
En el centro del suelo había un gato hidráulico capaz de elevar un coche entero.
Il eut la force de le soulever de quelques millimètres avant que les têtes des clous le bloquent.
Consiguió reunir fuerzas para elevar el pie unos milímetros antes de que las cabezas de los clavos le impidieran levantarlo más.
« On utilise des appareils de levage et des treuils pour soulever des pierres jusqu’en haut des échafaudages.
-Utilizamos mecanismos para levantar pesos, y ruedas giratorias para elevar piedras hasta los andamios más altos...
— Peut-être. — Est-ce qu’une seule de ces cales pourrait soulever le ber sous la coque ? — Impossible.
— Tal vez. — ¿Podría elevar una cuña cualquiera la basada situada debajo del barco? — Imposible.
Une fois déchargé, le wagon s’envolait sans le moindre bruit, comme soulevé par un coup de vent qui l’aurait emporté dans les airs.
Cuando las vagonetas habían descargado los materiales volvían a despegar sin el menor ruido, como si el viento las elevara en el aire.
La première des trente ceintures prévues, dont chacune était capable de soulever un millier de tonnes, avait été placée sans encombre.
Acababan de instalar el primero de los treinta cinturones planeados, cada uno capaz de elevar mil toneladas.
— Il… il a soulevé ma chemise de nuit.
—Me… ha subido el camisón.
Alors nous nous étions embrassés, ses mains avaient soulevé mon tee-shirt et… Non.
Nos habíamos besado y sus manos me habían subido la camisa y… no, no, ahora no.
là, sa coque avait été soulevée et engagée sur des rouleaux de halage au ras du rivage ;
desde allí, habían subido su casco sobre unos rodillos alineados con la orilla;
Debout dans l’entrebâillement de la porte, Miles regardait sa poitrine se soulever lentement.
Miles permaneció de pie en la puerta, observando la rítmica subida y bajada de su pecho.
Était-ce la réalité ? L’avais-je traînée là-haut et renversée sur le lit, avais-je soulevé son pull ? À Ingvild ?
¿Era verdad? ¿La había arrastrado hasta allí, la había tumbado en la cama y le había subido el jersey por encima del pecho? ¿A Ingvild?
Il se souleva peu à peu, et je parvins à voir deux yeux qui risquaient un regard à travers la fente créée par le couvercle soulevé.
Era subida poco a poco, y pude observar como dos ojos escudriñaban a través de la ranura.
Je flottais à l’intérieur de cette voix, j’en étais tout entouré, soulevé par sa persistance, entraîné par le flot des syllabes, leur montée et leur chute, par les vagues.
Yo flotaba dentro de aquella voz, estaba rodeado de ella, sostenido por su persistencia, llevado por el flujo de sílabas, las subidas y bajadas, las olas.
Je m’éclipse, fonce à mon bureau, soulève les énormes volumes poussiéreux que j’ai remontés de la Réserve, deux sous-sols et cinquante mètres en ascenseur plus bas.
Paso a mi oficina y recojo los enormes tomos polvorientos que he subido del archivo que hay a dos sótanos y un trayecto de cincuenta metros en ascensor por debajo del nivel de la calle.
« Mon père avait l’habitude de faire ça avec moi », avait-il dit, sans déployer d’efforts particuliers pour tenir cette enfant de vingt kilos debout sur ses mains. Puis il l’avait soulevée plus haut. « Tu peux atteindre le plafond ? », avait-il demandé.
—Me lo hacía mi padre —explicó Jeremy sin apenas esforzarse, con una niña de dieciocho kilos subida a las manos. La aupó más alto—. ¿Tocas el techo?
Un instant, elle la vit à califourchon sur l'engin, le chiton rose garance soulevé très haut par le vent, ses cuisses nues lui enserrant solidement les hanches.
Por un instante, Rosie casi la vio allí sentada, con el dobladillo de la túnica subido, los muslos desnudos apretados alrededor de las caderas de él. Aquella oleada de calor volvió a invadirla, esta vez con más fuerza.
Je devais essayer de soulever la tête. Je l'ai soulevée.
Tenía que levantar la cabeza como fuera. Y la levanté.
Mais cette statue, il faudra la soulever ?
¿Tendremos que levantar la estatua?
— Je vais soulever la grue.
—Yo levantaré la grúa.
Je peux vous soulever ?
¿Te puedo levantar del suelo?
Pas de doigts pour soulever ses hanches comme il en avait soulevé d'autres.
No habría dedos para levantar sus caderas como había levantado otras.
J’allai jusqu’à soulever le matelas.
Llegué a levantar el colchón.
Soulever les pieds, quel effort.
Un esfuerzo, levantar los pies.
Je peux soulever un camion.
Puedo levantar camiones.
 Pourquoi est-ce que tu ne soulèves pas le loquet ?
—¿Tanto te costaba levantar la aldaba?
– Il s'agit de soulever une pierre.
—Se trata de levantar una piedra.
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