Translation for "sont récupérés" to spanish
Sont récupérés
Translation examples
Je ne sais pas si on les récupère un jour.
No sé si se recuperan.
Ils font une courte pause pour récupérer avant la bataille finale.
Hacen una pausa corta y recuperan fuerzas para la batalla definitiva.
En revanche, la feuille de papier qui a servi a camoufler le pistolet est récupérée.
Por el contrario, recuperan la hoja de papel que sirvió para camuflar la pistola.
Voilà donc ma suggestion : nous nous retirons le temps que vous descendiez récupérer... heu, disons... les objets volés.
Por lo tanto, aquí tiene mi propuesta: nosotros nos apartamos mientras ustedes bajan y recuperan, eeh… sus propiedades robadas.
« Bon, d’accord. On va y aller ensemble. » Herbert dit à Jody de récupérer l’arme avec laquelle il avait tiré du haut de l’arbre.
—Está bien —dijo—. Iremos juntos. Herbert le pidió que recuperan el revólver que había usado desde el árbol.
— Mais j’imagine que tant qu’ils sont peuplés de gens capables de générer de la magie, les mondes ne restent pas morts éternellement – et que s’il s’y trouve des Créateurs, ils doivent récupérer encore plus vite, non ? — Si.
—Supongo que mientras haya en ellos personas que generen magia, los mundos no permanecen muertos para siempre. Y los que contienen Creadores se recuperan más deprisa. —Así es.
Car tout cela en fait beaucoup, en fait énormément, de sang : 20 000 litres par jour qui coulent sur les pavés de La Villette, qu’on récupère dans la rigole centrale de l’échaudoir.
Pues todo esto provoca mucha, provoca muchísima sangre: 20.000 litros al día que corren por los pavimentos de La Villette, que se recuperan en el reguero central del peladero.
Un jeune homme a été vu pour la dernière fois en train de parler à un “grand Blanc bien bâti, peut-être même propriétaire d’une camionnette”, et ses cartes de crédit ont été récupérées auprès d’un escroc à cartes, à Saint Louis.
Uno de los jóvenes es visto por última vez «hablando con un tipo robusto, de raza blanca, posiblemente propietario de una furgoneta» y sus tarjetas de crédito se recuperan en Saint Louis.
Dans la voix de son père les personnages tendent à se mêler, échangent des noms, des pseudonymes et des professions qui correspondent rarement à leur vrai propriétaire ; soudain, le jumeau qui pour l’instant laisse passer la tempête, réfugié dans le garage de la maison d’un cousin, possède les traits, la moustache en brosse et les défauts d’un vieil ex-associé de son père aujourd’hui en prison pour détention d’une ligne téléphonique clandestine, et dans les méthodes qu’il utilise pour tenter de ramasser l’argent qu’il doit, on reconnaît trop les ruses que son père utilise pour faire la seule chose qu’il soit entraîné à faire, récupérer son argent, celui, sans aller plus loin, que ne lui verse pas le laboratoire pharmaceutique pour lequel il organise le voyage de fin d’année offert en prime à son personnel, et qui, alléguant des difficultés financières, lui paie avec six mois de retard les presque quatre-vingt-dix billets d’avion que son père a dû régler à une date bien précise à la compagnie aérienne. Ce qui est évident, de toute façon, c’est que son père se retrousse les manches, active des contacts dont il ne se vante pas, renonce à certains droits en échange d’une information et retrouve enfin le jumeau, et une fois qu’il est là, dans ce garage humide et mal éclairé où l’autre a monté – avec son marcel, sa barbe de plusieurs jours, ses paupières rouges et cet air d’abruti que confère l’enfermement : la même allure que celle des otages des organisations armées lorsqu’ils recouvrent la liberté quinze ans plus tard – une parodie de bureau avec une table et des chaises de jardin en plastique et un vieux téléphone en Bakélite, il écoute se glisser entre ses lèvres ce qu’il a craint d’entendre depuis le début : qu’il n’a pas l’argent, qu’il ne sait pas quand il l’aura et qu’il ne peut même pas lui assurer de l’avoir un jour.
En la voz de su padre los personajes tienden a confundirse, intercambian nombres, apodos y profesiones que rara vez vuelven a su portador original: de golpe, el mellizo que hoy capea el temporal refugiado en el garage de la casa de un primo tiene las facciones, el bigote cepillo y los vicios de un viejo ex socio de su padre que cae preso por tener una línea de teléfono clandestina, y en los métodos con que intenta reunir el dinero que debe resuenan demasiado los ardides que su padre pone en práctica para hacer lo único que está entrenado para hacer, levantar muertos, sin ir más lejos el que le deja la compañía farmacéutica a la que le organiza el viaje de fin de año con el que premia a su personal, que, aduciendo dificultades financieras, le paga con seis meses de atraso los casi noventa pasajes de avión que su padre ha debido pagar con estricta puntualidad a la compañía aérea. Lo que es evidente, de cualquier modo, es que su padre se arremanga, activa contactos de los que no se enorgullece, renuncia a ciertos derechos a cambio de información y da por fin con el mellizo, y una vez ahí, en ese garage húmedo y mal iluminado donde el otro, en musculosa, con la barba de días, los párpados enrojecidos y ese aire de embrutecimiento que da el encierro —el mismo aspecto con el que quince años atrás recuperan la libertad los rehenes de las organizaciones armadas—, ha montado una parodia de oficina con una mesa y unas sillas de plástico de jardín y un viejo teléfono de baquelita, escucha de sus labios lo que ha temido oír desde el principio: que no tiene el dinero, que no sabe cuándo lo tendrá, que ni siquiera puede asegurarle que lo tenga alguna vez. Empieza a clarear.
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