Translation for "secourable" to spanish
Translation examples
D’un Julius qui aurait été centurion humain et secourable.
Un centurión romano, humanitario y servicial.
On me conseille de n’être pas exagérément secourable.
No debo mostrarme demasiado servicial.
L’arrivée de cette voisine secourable soulagea beaucoup Margaret.
Esta vecina servicial fue un gran alivio para Margaret;
— Mais là c’est le baseball, dit Charlie, secourable. — Exactement.
—Pero esto es béisbol —dice Charlie, servicial. —Exactamente.
Des mains secourables ont attaché le parachute puis les sangles du siège.
Unas manos serviciales me colocaron el paracaídas y luego los arneses de seguridad.
Je soupire ton nom et en écrivant ces mots, j’aspire au son de ta voix, à ton visage secourable.
Respiro tu nombre y al escribirte echo de menos tu voz, tu rostro servicial.
Ses doigts glissent librement les uns contre les autres, lubrifiés par de secourables particules de carbone.
Sus dedos, lubricados por serviciales partículas de carbón, resbalan libremente uno contra uno.
Mais elle ne supportait pas de sentir leurs mains secourables s’appesantir sur ses épaules à cause d’Auschwitz et de Belsen.
Pero Amy no podía soportar que le pusieran las serviciales manos en los hombros, por culpa de Auschwitz y de Belsen.
Il fut très bon et secourable, à sa manière distante et impersonnelle, comme si tout le temps il eût pensé à autre chose.
Fue muy amable y servicial, con un aire distante, como pensando siempre en otra cosa.
— Et quand vous dites ma femme, expliqua le toujours secourable Vasco, vous voulez parler bien sûr de votre mère.
—Y cuando habla de su señora —aclaró el siempre servicial Vasco—, se refiere, naturalmente, a su madre.
Je répétai donc mon histoire. Toutes les fois que je reprenais mon souffle, le président faisait des commentaires secourables ou admiratifs. Quand j’eus terminé, il secoua la tête d’un air émerveillé.
Repetí nuevamente mi versión mientras el presidente realizaba útiles o elogiosos comentarios cada vez que me detenía para recuperar el aliento, y cuando terminé movió la cabeza con admiración.
Chris O’Toole, de l’Institut entomologique Hope, à Oxford, et une personne d’une patience infinie au bureau des renseignements de la section entomologique de la bibliothèque du musée des Sciences se sont montrés extraordinairement secourables et intéressants.
Chris O’Toole, del Instituto Entomológico Hope de Oxford, y alguien con mucha paciencia de la oficina de información entomológica del Museo de Ciencias me resultaron extraordinariamente útiles e interesantes.
Aouda leva des yeux hagards vers l'ouest et dit : « Les canons anglais. » Allenby faisait un bombardement de préparation, et ses bruits secourables conclurent le débat en ma faveur sans discussion.
Auda levantó sus hirsutos ojos hacia el oeste y dijo: «Los cañones ingleses.» Allenby estaba iniciando el ataque, y tan útiles sonidos cerraron el caso a mi favor y eliminaron toda disputa.
útil
C’est alors qu’une pensée secourable me vient à l’esprit.
Entonces, de repente, un pensamiento útil cruza por mi cabeza como un relámpago.
Paul la protégeait de son mieux et Alfons se révéla un ami secourable.
Paul, por supuesto, la protegía tan bien como sabía, y Alfons resultó ser un amigo muy útil.
Tuzzi, secourable, lui nomma l’un des plus jeunes écrivains qui fréquentaient le salon de Diotime.
Tuzzi sugirió, queriendo ser útil, el nombre de uno de los escritores más jóvenes que frecuentaban el salón de Diotima.
Les embargos secourables de Beaverbrook et Rothmere n’étaient pas levés que l’histoire était, en termes journalistiques, morte.
El plazo de silencio impuesto por Beaverbrook y Rothermere resultó sumamente útil y, antes de que este concluyera, la historia, en términos periodísticos, ya estaba muerta.
Pourtant j’admire Phémios, qui m’a aidée à aplanir des difficultés où la déesse Athéna ne s’était pas montrée particulièrement secourable.
Y sin embargo, admiro a Femio, quien me ayudó a solucionar incidentes en los cuales la diosa Atenea no se había mostrado particularmente útil.
Les Corinthiens ; un oracle peu secourable pour la journée. Comme petit déjeuner elle prend du muesli avec du yaourt et une demi-pomme en morceaux.
Primera a los Corintios, y no demasiado útil como augurio del día. Para desayunar toma músli, mezclado con yogur y con media manzana cortada a pedacitos.
Aussi improbable que cela parût, un éléphant secourable poussait un bus renversé pour le remettre sur la route que celui-ci avait de toute évidence quittée alors qu’il prenait un virage à trop grande vitesse.
Por improbable que pareciera, un útil elefante estaba empujando un ómnibus volcado para volver a ponerlo en la ruta; obviamente, el vehículo se había salido de ella al tomar una curva a demasiada velocidad;
Depuis la semaine dernière, la nuit avait dévoré une partie de la lune. Elle n’était pas aussi secourable qu’au moment où j’avais poursuivi le gobelin jusqu’au pavillon des autos-tamponneuses. Par ailleurs, les ombres m’offraient tout autant qu’aux gobelins un abri rassurant.
Desde la semana anterior, la noche le había arrancado algunos mordiscos a la Luna, de modo que ésta no era útil como lo había sido cuando perseguí al duende hasta los autos de choque. Por otra parte, las sombras de la Luna me garantizaban el mismo cómodo escondite que me hacía sentirme seguro frente a los duendes;
Dépourvu d’indulgence, mais attentif, curieux et même secourable.
Carente de indulgencia, pero atento, curioso y hasta caritativo.
S’il avait émigré avant ma naissance, s’il était venu s’installer à New York quand il avait trente et quelques années, quelque bonne âme secourable n’eût pas manqué de le découvrir et de le publier dans les meilleures revues.
Si hubiera emigrado antes de nacer yo, si se hubiera venido a Nueva York cuando tenía treinta y tantos años, alguna persona atenta lo habría descubierto y lo habría publicado en las mejores revistas.
C’était une hôtesse au goût sûr qui recevait sans pompe mais avec grâce et éclat : elle offrait à chacun une oreille attentive, une épaule secourable, un regard curieux, ébloui et bienveillant, des recettes de poisson inventives, un bol de bouillon fumant, les nuits d’hiver, des gâteaux au pavot qui fondaient dans la bouche et des torrents de thé brûlant que déversait le samovar.
Era una anfitriona de gusto refinado y recibía a sus invitados sin boato pero con dignidad y elegancia: les ofrecía a todos un oído atento, un hombro en que apoyarse, unos ojos curiosos y respetuosos, un corazón amable, los mejores pescados del lugar, platos de sopa sabrosa y humeante en las noches de invierno, pasteles de amapola que se deshacían en la boca y ríos de té hirviendo del samovar.
Par exemple son environnement professionnel – comme, admettait volontiers le sujet dépressif, elle s’en était maintes fois plainte auparavant, et avec une exhaustivité lassante – était absolument dysfonctionnel et toxique, et le climat émotionnel absolument non solidaire et non secourable qui y régnait rendait grotesque l’idée de créer des rapports un tant soit peu enrichissants, réciproques, avec ses collègues. Et les tentatives du sujet dépressif pour rompre son isolement émotionnel, tisser des liens au-dehors, entretenir et développer des amitiés attentives et nouer des relations au sein de sa communauté, via la fréquentation de groupes paroissiaux, de cours de nutrition ou de stretching holistiques, de fanfares de quartier ou d’ensembles à vent, s’étaient avérées si insoutenables, échangeait-elle, qu’elle avait été sur le point de supplier la thérapeute de retirer sa suggestion pleine de tact qu’elle fît de son mieux pour s’y livrer. Quant à l’idée de se galvaniser encore une fois pour s’aventurer sur le marché de la chair tout hobbesien de la « quête de l’âme sœur » et essayer pour la énième fois de trouver et d’établir des connexions saines, fonctionnelles et pleines d’attention avec des partenaires masculins, que ce fût dans le cadre d’une relation physique intime ou même tout simplement dans celui d’une amitié étroite et source de soutien – à ce moment du partage, le sujet dépressif sur son lieu de travail émettait un rire forcé dans le micro-casque du terminal de son box et demandait s’il était vraiment bien nécessaire, avec une amie la connaissant aussi bien que la connaissait le membre quelconque de l’Échafaudage émotionnel à laquelle elle était présentement en train de se confier, d’entrer dans le détail de pourquoi sa dépression réfractaire à tout traitement et ses problèmes, sévères, de confiance et d’estime de soi faisaient de cette idée un monstre de déni, une chimère d’envergure icarienne. Pour ne prendre qu’un seul exemple, confiait le sujet dépressif depuis sa station de travail, un incident traumatique était survenu au second semestre de sa troisième année d’université : assise toute seule sur la pelouse tout près d’un groupe d’étudiants mâles populaires et pleins d’assurance lors d’un match interuniversitaire de hockey sur gazon, elle avait distinctement entendu l’un des hommes dire en riant, au sujet d’une étudiante qu’elle connaissait vaguement, que la seule différence significative entre cette jeune femme et des toilettes publiques, c’était qu’après usage les toilettes ne s’obstinaient pas à vous suivre partout comme un chien. Le sujet dépressif était maintenant, en pleine session de partage avec son Échafaudage émotionnel, de façon aussi soudaine qu’inattendue, submergée de souvenirs d’une des premières séances avec la thérapeute, au cours de laquelle elle lui (c.-à-d. à la thérapeute) avait raconté cet incident pour la première fois : dans le cadre d’un de ces exercices élémentaires d’élucidation affective qui forment l’essentiel de cette inconfortable phase liminaire du processus de guérison, la thérapeute avait lancé au sujet dépressif le défi d’identifier si l’insulte qu’elle avait surprise lui (c.-à-d. au sujet dépressif) avait fait ressentir principalement de la colère, de la solitude, de la peur ou de la tristesse(9), (10). À ce stade du travail de deuil amorcé après que la thérapeute avait possiblement mis fin à ses (c.-à-d. à ceux de la thérapeute) jours, les sentiments de perte et d’abandon du sujet dépressif étaient devenus si intenses et si accablants, avaient à ce point débordé ses mécanismes de défense résiduels, que par exemple, lorsque telle ou telle amie à l’autre bout du pays avouait qu’elle (c.-à-d.
La persona deprimida hizo hincapié en que decía aquello muy en serio: sonara o no melodramático, la valoración brutalmente honesta de ella que pudiera hacer una persona objetiva pero realmente allegada le parecía, en aquel momento, una cuestión casi literalmente de vida o muerte. Porque estaba asustada, le confesó la persona deprimida a su amiga de confianza y convaleciente, asustada hasta un extremo sin precedentes por lo que había empezado a ver, descubrir y comprender acerca de sí misma durante el proceso de sufrimiento que había seguido a la muerte repentina de una psiquiatra que durante casi cuatro años había sido su confidente más íntima y de más confianza, su fuente de apoyo y de afirmación y —sin menoscabo en ningún sentido para ninguna de las integrantes de su Sistema de Apoyo— su mejor amiga en el mundo. Porque lo que había descubierto ahora, confesó a larga distancia la persona deprimida, durante sus importantes Minutos de Silencio diarios,[8] en medio del proceso de sufrimiento por aquella muerte, cuando se quedaba en silencio, se concentraba y miraba en su interior, era que no podía percibir ni identificar ningún sentimiento real dentro de sí misma hacia la psiquiatra, es decir, hacia la psiquiatra como persona, una persona que había muerto, una persona que solamente alguien obcecado en asumir una actitud de denegación podría no ver que probablemente se había quitado la vida ella misma, y por tanto una persona que, tal como postuló la persona deprimida, posiblemente había sufrido a su vez cantidades de agonía emocional, aislamiento y desesperación comparables o tal vez —aunque aquella era una posibilidad que solo podía contemplar a un nivel «mental» o puramente intelectual y abstracto, según confesó la persona deprimida a su auricular— incluso superiores a los de la propia persona deprimida. La persona deprimida explicó que la implicación más aterradora de aquello (es decir, del hecho de que ni siquiera cuando se concentraba y miraba en las profundidades de su propia conciencia conseguía localizar ningún sentimiento real hacia la psiquiatra como ser humano autónomo y válido) era que toda su angustia y desesperación tras el suicidio de la psiquiatra en realidad la tenían por objeto a ella misma, es decir, a su propia pérdida, a su propio abandono, a su propia pena, a su propio trauma, a su dolor y a su supervivencia afectiva primaria. Y, tal como la persona deprimida explicó que iba a asumir el riesgo adicional de revelar, resultaba todavía más aterrador el hecho de que aquella serie absolutamente devastadora de descubrimientos, en lugar de suscitar en ella algún sentimiento de compasión, empatía o lástima dirigida hacia la psiquiatra como persona, habían hecho al parecer —y llegado a este punto la persona deprimida esperó con paciencia a que a su amiga especialmente disponible y de confianza se le pasara un ataque de náuseas a fin de poder asumir el riesgo de explicarle aquello— que aquellos descubrimientos absolutamente devastadores, por horribles que resultasen, suscitaran y crearan en la persona deprimida todavía más sentimientos centrados en ella misma. Llegado este punto de la explicación, la persona deprimida hizo una pausa para jurarle solemnemente a su amiga a larga distancia enferma de gravedad, víctima de frecuentes ataques de náuseas pero aun así cariñosa y atenta, que no había ningún elemento de autoexcoriación tóxica o patéticamente manipuladora en aquello que ella (es decir, la persona deprimida) estaba confesando y de lo que se estaba desprendiendo con total sinceridad, sino nada más que un miedo profundo y sin precedentes: la persona deprimida sentía miedo de sí misma, de su propio yo, por decirlo de algún modo —es decir, de su «personalidad», de su «espíritu» o, por decirlo de algún modo, de su «alma», es decir, de su capacidad para sentir una empatía humana fundamental así como compasión y generosidad—, tal como le explicó a aquella amiga tan generosa que sufría neuroblastoma. Estaba preguntándolo sinceramente, dijo la persona deprimida, honesta y desesperadamente: ¿qué clase de persona podía no sentir nada en apariencia —y subrayó la palabra «nada»— por nadie más que por sí misma? ¿Tal vez no sentir nada nunca?
Durant la nuit passée à Palga, la brise secourable qui les avait aidés à quitter Mailand s’était muée en vent fort et autoritaire.
En algún momento de la noche, en Palga, la provechosa brisa que los había ayudado a escapar de Mailand había dado paso a un vendaval despótico.
En plein débat sur la responsabilité individuelle, Venters, comme il savait le faire en de telles occasions, apporta sa contribution personnelle. Secourable et éclairante, comme d’hab.
A lo largo de este debate sobre la responsabilidad personal, Venters, como siempre hacía en tales ocasiones, aportó su acostumbrada contribución provechosa e iluminadora.
Stannall sourit légèrement et il y eut un long intervalle pendant lequel un flot de murmures excités emplit la salle. Je me demandai qui avait inclus cette phraséologie secourable dans le document et si elle avait toujours existé. Stannall leva la main et les conseillers se turent.
Stannall sonrió débilmente y hubo excitados murmullos por parte de los consejeros. Me pregunté quién habría deslizado aquella provechosa fraseología en el documento, o si esa información estaba allí desde el principio. Stannall alzó una mano y los murmullos cesaron.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test