Translation for "se verrouille" to spanish
Translation examples
Porte verrouillée de l’extérieur.
La puerta, cerrada por fuera y sin cerradura.
Elle était verrouillée, mais le verrou n’était pas une affaire ;
Estaba cerrada, pero la cerradura no era demasiado complicada;
Et je pensai à la porte sans serrure à verrouiller
y pensé en la puerta que no tenía cerradura
Si elle avait été verrouillée, il aurait cassé la serrure.
De haber sido así, habría forzado la cerradura.
La porte se referme derrière lui et se verrouille.
La puerta se cierra a sus espaldas y la cerradura traquetea.
— On a essayé d’ouvrir, mais c’était verrouillé.
–Primero probamos la cerradura y luego golpeamos la puerta.
Quelqu’un a dû la verrouiller de l’intérieur.
debe de haberse bloqueado la cerradura lateral.
Le verrou de Rakel. Il vérifia, la porte était verrouillée.
La cerradura de Rakel. Que la había comprobado, que había echado la llave.
La porte se referma avec un claquement. La serrure fut verrouillée.
La cerradura se encajó en su lugar. Los pasos se retiraron.
Pendergast tourna la poignée, mais la porte était verrouillée.
Pendergast accionó el tirador y se agachó para examinar la cerradura.
Ce qu’il y a, c’est que, si père a raison et que Kaleb est un téléporteur capable de se verrouiller aussi sur les gens, il peut venir trouver n’importe lequel d’entre nous. (Elle lissa les cheveux de Sahara et poursuivit.) Mais il ne s’est jamais montré agressif vis-à-vis de la meute.
El hecho es que, si padre está en lo cierto y Kaleb es un teletransportador que puede ir a la gente en lugar de simplemente a los lugares, entonces puede encontrarnos a cualquiera de nosotros.- Alisando el cabello de Sahara, continuó. – Sin embargo, él nunca ha mostrado ninguna hostilidad hacia la manada, y tú eres de la familia.
Le regard qu’il posa sur sa blonde compagne d’infortune était aussi admiratif et intense que s’il lui fût resté cent années à vivre. En entrant, il l’avait laissée tomber sans ménagement sur le sol pour aller verrouiller la porte ; elle s’était mise à genoux et mettait machinalement de l’ordre dans le flot de ses boucles dorées et ses vêtements dépenaillés.
Miró a su acompañante con una intensidad llena de admiración, como si aún le quedaran cien años de vida. La había arrojado al suelo con muy pocas ceremonias mientras cerraba la puerta, y ella se había puesto de rodillas y se había arreglado con gesto mecánico los revueltos cabellos y las pocas ropas que llevaba.
Et si je vous y accompagnais ? suggère-t-il. Désolée, ce n’est pas dans nos pratiques, nous ne montrons jamais nos appartements avant de les avoir vus nous-mêmes, j’ai ma matinée de libre, ce qui est très rare, insiste-t-il, et je dois me loger d’urgence parce que je n’ai pas où accueillir mes enfants, vous comprenez ? Par chance, la femme est elle aussi divorcée et a elle aussi des enfants, si bien que le désarroi d’Avner lui va droit au cœur et elle accepte, verrouille l’agence, prenons ma voiture, lui propose-t-elle et sur le trajet elle lui explique en lissant ses cheveux blond platine que les propriétaires sont des universitaires, qu’ils vont travailler à New York pour au moins deux ans, le semestre commence bientôt, ils sont donc très pressés, on va essayer de trouver un arrangement pour le prix et, après avoir fait le tour de ce qu’elle pouvait dire sur l’appartement que ni lui ni elle n’ont encore vu, elle se met à raconter son divorce, j’ai supplié mon mari pour qu’il s’installe à côté de chez nous afin de protéger les enfants, c’est tellement important pour eux, mais il ne pense qu’à lui, mon ex, il a acheté un appartement dans le nord du pays, les enfants ne peuvent y aller que le week-end, et c’est toujours très compliqué pour eux, ils loupent toutes les soirées, je vous félicite de penser autant aux vôtres, ajoute-t-elle avec admiration, je vais m’efforcer de vous trouver quelque chose qui soit le plus près possible de chez eux, où m’avez-vous dit qu’ils habitaient ?
Y ella contesta, no puedo darle la dirección exacta, le avisaré en cuanto lo haya visto. Permítame que la acompañe, sugiere, pero ella rehúsa, no es aconsejable, no solemos mostrarle al cliente algo que no hemos visto antes nosotros, pero él insiste, da la casualidad de que tengo esta mañana libre, no es algo que suceda con frecuencia y debo hallar un apartamento de inmediato, no tengo adónde llevar a mis hijos. De inmediato se entera de que también ella es una divorciada con niños por lo que su urgencia la conmueve y acepta, cierra la puerta de la oficina y le ofrece llevarlo en su automóvil, los dueños del apartamento son académicos, comenta mientras acomoda su cabello teñido de amarillo refulgente, deben viajar a Nueva York por un plazo mínimo de dos años, en breve comienza este semestre y necesitan alquilar su casa lo antes posible, supongo que serán bastante flexibles con el precio, y tras agotar el tópico del apartamento que aún no han visto, ella comienza a contarle acerca de su divorcio, le imploré a mi esposo para que se mudara cerca de mi casa, era tan importante para los niños, pero él solo pensaba en sí mismo, se compró un piso en un barrio apartado y los niños solo pueden verlo los fines de semana, lo cual no les resulta demasiado cómodo, se pierden todas las salidas, le felicito por tener en cuenta a sus hijos, agrega con genuino aprecio, haré lo imposible por encontrarle un apartamento lo más cercano que haya de donde viven sus hijos, ¿dónde me había dicho que era?
J’étais là dans l’incendie, submergé par des visions de visages écorchés et rongés par le feu, de membres desséchés et noircis, un millier d’yeux terrifiés dans lesquels le reflet des flammes dansait et palpitait… la fumée, une fumée aveuglante qui montait du plancher brûlant et craquant… et je sentis l’odeur des cheveux qui grillaient et des chairs qui cuisaient, esquivai les plafonds et les débris divers qui s’abattaient… j’entendis les gémissements et les hurlements pitoyables, si nombreux qu’ils se fondaient en une musique terrifiante qui me glaçait jusqu’à la moelle en dépit de la chaleur environnante… et ces pauvres êtres condamnés chancelaient près de moi – instituteurs et enfants affolés cherchant une issue mais trouvant les portes inexplicablement verrouillées, et maintenant, oh mon Dieu, chaque enfant que je voyais – ils étaient des dizaines – tout à coup s’embrasait, et je courais vers le plus proche, essayant d’étouffer ses flammes sous mon poids et de le sortir de là, mais j’étais un fantôme en ces lieux, insensible au feu et incapable d’influer sur le cours des événements, alors mes mains fantomatiques passaient au travers du garçon qui brûlait, à travers la petite fille vers laquelle je me tournais ensuite et tandis que leurs cris de terreur montaient, je hurlai moi aussi, j’aboyais et ululais de rage et de frustration, je pleurai et jurai et à la fin, tombai hors de l’enfer, dans l’obscurité, le silence, la profondeur, le calme d’un linceul de marbre.
Estaba en medio del fuego, con los niños moribundos, abrumado por visiones de rostros quemados y devorados por las llamas, miembros consumidos y ennegrecidos, un millar de ojos aterrados que reflejaban las llamas vacilantes y retorcidas… Humo, un humo enceguecedor que ascendía a través del suelo caliente y crujiente… Olí el cabello que ardía y la carne de los niños que se asaba. Esquivé techos que se desplomaban y otros restos… Oí los quejidos lastimeros y los gritos, tan numerosos y sonoros que su mezcla formaba una horripilante música que me congeló hasta el tuétano a pesar del fuego que me rodeaba… Aquellas pobres almas condenadas que se tropezaban conmigo, maestras y niños desesperados que buscaban la salida, pero que al llegar encontraban las puertas inexplicablemente cerradas y trabadas. Y entonces de repente, Dios santo, todos los niños que tenía a la vista —había docenas de ellos— se incendiaban. Yo corría hasta el que estaba más cerca y procuraba sofocarle las llamas con mi cuerpo, pero entonces me daba cuenta de que yo era como un fantasma en ese lugar: el fuego no me afectaba y tampoco podía cambiar lo que ocurría. Mis manos fantasmagóricas pasaron de un lado a otro del chico cubierto de llamas, atravesaron también a la pequeña cría hacia la que me volví luego y, a medida que aumentaban los gritos de dolor y de terror de la niña, yo también me puse a gritar, bramé y grité a voz en cuello de rabia y de frustración, me puse a llorar y a decir palabrotas y, finalmente, caí fuera de las llamas, hacia la oscuridad, el silencio, la profundidad, la quietud… como sí estuviera dentro de un sudario de mármol.
Au moment où il verrouille sa portière, il découvre qu’une feuille dorée s’est glissée sous un de ses essuie-glaces, une feuille d’automne en plein été, il se la passe délicatement sur la joue avant de la fourrer dans la poche de sa chemise et il franchit le seuil de son appartement avec sur le visage le souvenir de ce doux contact, frais et caressant, et dans les mains le sachet contenant des boîtes un peu huileuses. Il a beau se sentir porteur d’une grande nouvelle, son entrée ne suscite aucune réaction, personne n’est attentif à l’importance de cet instant unique, pas même Yotam, qui reste accroupi dans un coin du salon devant sa caisse de jouets, une odeur de fumée de cigarette provient de la terrasse, Salomé ne s’est pas encore désintoxiquée du cocktail téléphone-cigarette, guidé par son odorat, il l’aperçoit accoudée à la rambarde, elle lui tourne le dos, ne le remarque pas et elle explique au combiné que oui, mais c’est facile à dire, je sais que tu as raison, n’empêche que je n’en dors plus la nuit tellement ça m’inquiète, le vent anime ses cheveux et révèle furtivement une nuque charnue et attirante, couverte de longs poils noirs qui rappellent ceux d’une chienne, il tend la main pour les caresser mais elle fait une brusque volte-face, Avner, tu m’as effrayée, depuis combien de temps es-tu là, et qu’est-ce qui te prend, tu veux me masser à l’huile de vidange ? Elle se palpe la nuque comme si elle avait été piquée par un insecte, il lui tend son sachet, j’ai apporté à manger. Ma cocotte, je te rappelle, se hâte-t-elle de lancer dans le téléphone avant de lever vers lui ses yeux bleus pleins de reproches, dire que ces yeux-là, des années auparavant, le regardaient avec tant d’amour et d’émerveillement !
Al cerrar la puerta del coche distingue una hoja dorada sobre el parabrisas, bajo la goma del limpiaparabrisas, una hoja otoñal en mitad del verano, se la pasa con suavidad por la mejilla y se la guarda en el bolsillo de la camisa, la sensación al tacto es fresca y agradable como la caricia de una mano y permanece en su rostro al entrar en casa con las manos repletas de envases de comida. Creía que sería recibido como el portador de buenas nuevas pero nadie repara en él, nadie comprende la importancia de la ocasión, hasta el menor, concentrado en sus juguetes en un rincón de la habitación, se desentiende de su llegada, un olor de humo de cigarrillos invade la casa desde el balcón, Shlomith no ha podido aún quitarse el vicio del cigarrillo mientras habla por teléfono, él va en busca del olor y la encuentra apoyada contra la baranda, de espaldas a él, no se ha percatado de su presencia. Sí, tienes razón, le responde a su interlocutora telefónica, pero es algo sencillo de decir, estoy muy preocupada, no logro conciliar el sueño por las noches, el viento infunde vida a sus cabellos y descubre por un instante su nuca, carnosa y aun así atractiva, con un vello negro como si se tratara del lomo de una perra, cuando él extiende su mano para tocarla ella se sobresalta. Abner, me has asustado, le reprocha, ¿cuánto hace que estás ahí?, ¿qué es esto?, se palpa la nuca como si la hubiera picado un insecto, ¿me has untado con grasa del vehículo? Él le acerca la bolsa, traje comida y ella le dice rápidamente a su interlocutora, luego hablamos, lo mira con indignación, con aquellos mismos ojos que alguna vez lo contemplaron con amor y admiración.
Seulement s’il réussit à trouver une épingle à cheveux ou un truc du même genre pour les crocheter, il peut se libérer. Si elles sont verrouillées, pas possible.
Si logra hacerse con un alfiler para el pelo o algo parecido e intenta abrir la uña puede que incluso consiga liberarse.
– Je veux simplement que tu deviennes bon. » Halvorsen lança un coup d’œil à son aîné pour voir si celui-ci plaisantait. Ils descendirent de voiture. « Tu ne verrouilles pas ? s’étonna Harry.
—Solo quiero que te conviertas en un buen detective. Halvorsen miró a su colega veterano para asegurarse de que no le estaba tomando el pelo. Salieron del coche. —¿No vas a cerrar? —preguntó Harry.
—   Vous mentez. Je suis certain de l’avoir verrouillée. —   Je me suis servie d’une épingle à cheveux. —   Vous n’avez pas d’épingles dans vos cheveux. —   Très bien, Bonner, puisque vous êtes si malin, dites-moi alors comment j’ai fait ?
—No mientas. Yo mismo la cerré. —Abrí el cerrojo con una horquilla. —Ese pelo tuyo no ha visto una horquilla desde hace meses. —Vale, Bonner. Si eres tan condenadamente listo, ¿cómo crees tú, entonces que entré?
L'avant-bras verrouillé autour du cou de son adversaire, Peter l'emprisonna dans une étreinte maladroite, arracha le fusil à son étui et lui enfonça le canon sous la courbe de la mâchoire, entre ses longs cheveux d'argent.
Peter rodeó el cuello de su adversario con el antebrazo, tiró de él hacia sí, le arrancó la pistola de la funda y hundió el cañón en la curva de su mandíbula, debajo del largo pelo plateado.
Artémis franchit le battant verrouillé et trouva Acheron sur le sol, là où les gardes l’avaient précipité. Immobile, le dos ensanglanté, il n’essaya pas de se couvrir. Il ne gémit pas, ne se plaignit pas.
Artemisa atravesó la puerta cerrada y descubrió a Aquerón tirado en el suelo, en el mismo sitio donde lo habían dejado los guardias. Su pelo rubio, revuelto y manchado de sangre, le cubría las heridas de la espalda, que seguían sangrando. No hizo ademán alguno de cubrirse ni de llorar.
Sans se soucier de verrouiller la porte d’entrée, elle quitte son appartement et dévale les escaliers. Arrivée dans la rue, elle remonte la fermeture éclair jusqu’au menton, enfile le casque et y coince quelques mèches de cheveux blonds du bout des doigts.
Abandona el apartamento sin pararse a cerrar con llave la puerta principal, corre escaleras abajo, sale por la puerta, se sube la cremallera hasta la barbilla, se pone el casco y aparta con impaciencia algunos mechones de pelo rubio.
Rien pour le moment. (Hazel a dégainé sa spatha.) Mais ça ne saurait tarder. Aristophane lui a brûlé la politesse. Bien sûr, pour le chat, le combat devait tourner autour de lui. Avec un miaulement indigné et sans provocation apparente, l’énorme boule de fourrure rousse s’est jetée à la figure de Tarquin, a verrouillé les griffes avant dans les orbites du roi mort-vivant et s’est mise à labourer ses dents pourries avec les pattes arrière.
Nada aún. —Hazel desenvainó su spatha—. Pero eso está a punto de cambiar. Aristófanes atacó primero. Naturalmente, el gato haría de la pelea algo personal. Con un «miau» de ultraje y sin aparente provocación, el tambor gigante de pelo naranja se abalanzó sobre la cara de Tarquinio, le clavó las zarpas delanteras en las cuencas oculares y dio patadas con las traseras contra sus dientes podridos. El rey se tambaleó víctima del ataque sorpresa gritando en latín;
Il dut faire un effort pour s’en arracher et se précipiter vers la porte afin de la verrouiller avant que la chose puisse y entrer, mais il glissa dans une flaque d’eau savonneuse et, cette fois-ci, il dégringola complètement et se retrouva sur le dos, allongé sur le plancher de chêne, et ce qu’il vit, tandis que la porte s’ouvrait et que les bottes de moto s’avançaient vers l’endroit où il gisait, nu et les cheveux pleins de shampooing, fut le tableau accroché au mur, au-dessus de son lit, l’aquarelle représentant l’auto-virus tournant au ralenti, la portière côté conducteur ouverte.
Se puso en movimiento con un esfuerzo terrible y se volvió hacia la puerta del dormitorio, queriendo ponerla bajo llave antes que la cosa pudiera entrar, pero patinó en un charco de agua jabonosa y esta vez si se resbaló, cayó de espaldas sobre el piso de roble, y lo que vio mientras la puerta se abría y las botas de motociclista cruzaban la habitación hacia donde él estaba, desnudo y con su pelo lleno de shampoo, era el cuadro colgado en la pared sobre su cama, el cuadro del Virus del Camino holgazaneando delante de su casa con la puerta del lado del conductor abierta.
ce qu’il voulait dire, sans doute, c’était : Tu t’imagines trop de choses, Jonesy, ce qui était très probablement vrai. Oui, il imaginait certainement trop de choses, et il se retrouvait à présent juché sur un arbre, sous la première averse de neige de la saison, les cheveux hérissés et en bataille, l’index verrouillé sur la détente du Garand, ne l’écrasant pas davantage, comme il l’avait un instant redouté, mais ne la relâchant pas non plus, alors que l’homme était presque en dessous de lui, maintenant, la mire du Garand braquée sur la casquette orange, la vie de cet homme tenant au fil invisible qui reliait le canon du Garand à cette casquette, la vie de cet homme qui pensait peut-être en ce moment qu’il allait changer de voiture ou tromper sa femme ou acheter un poney à son aînée (Jonesy eut plus tard des raisons de savoir que McCarthy n’avait pensé à rien de tout cela, mais pas sur le moment, évidemment, pas pendant qu’il était dans l’arbre, le doigt crocheté à la détente de son fusil), qui ne se doutait de rien, comme Jonesy ne s’était douté de rien lorsqu’il s’était retrouvé sur un trottoir de Cambridge, son porte-documents à la main, un exemplaire du Boston Phoenix sous le bras, comme il ne s’était pas douté que la mort rôdait dans le quartier, sinon la Mort en personne, un personnage filant d’un train d’enfer, l’air de s’être échappé de l’un des premiers films d’Ingmar Bergman, cachant ses instruments dans les plis de sa robe de bure.
Probablemente quisiera decir otra cosa: «Tienes demasiada imaginación, Jonesy.» Y muy probablemente fuera verdad. Estaba claro que ahora imaginaba demasiadas cosas, ahora que estaba de pie en el árbol, expuesto a las primeras nieves de la temporada, con mechones de pelo rebelde y el dedo en el gatillo de la Garand, sin presionarlo (como temiera unos segundos) pero sin soltarlo, con el hombre tan cerca que casi estaba a sus pies, y la mira del arma en la parte superior del gorro naranja; con la vida del hombre puesta en un cable invisible entre la boca de la Garand y aquella cabeza cubierta con un gorro, la vida de alguien que quizá estuviera meditando si cambiaba de coche, engañaba a su mujer o le compraba un poni a su hija mayor (Jonesy, más tarde, dispondría de pruebas para saber que McCarthy no pensaba en ninguna de las tres cosas, pero no las tenía estando en el árbol con el índice convertido en gancho pétreo alrededor del gatillo de su escopeta). Alguien que ignoraba lo mismo que Jonesy al pisar el bordillo de la calle de Cambridge, con el maletín en una mano y en la otra un ejemplar del Pboenix de Boston: que tenía cerca a la muerte, quizá a la propia Muerte, un personaje apresurado, como salido de una de las primeras películas de Ingmar Bergman, algo con un instrumento escondido en los pliegues rasposos de la túnica.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test