Translation for "s'étreindre" to spanish
Translation examples
Il se leva, s’étira, étendit les bras comme pour étreindre le ciel tout entier.
Se levantó, se desperezó y extendió los brazos como para abarcar todo el cielo.
Elle écarta les bras comme si elle voulait l’étreindre tout entier. Maintenant c’est mieux.
Abrió los brazos como si quisiera abarcar todo el pueblo. Ahora es mejor.
Loustalot se leva, étendit les bras comme s'il voulait étreindre toute la douleur du monde.
Loustalot se levantó, extendió los brazos como si quisiera abarcar todo el dolor del mundo.
L’antique robot se tourna vers Hari et écarta les bras comme pour étreindre l’immensité d’une vision magnifique.
El robot se volvió a mirar a Hari y extendió los brazos como para abarcar la magnitud de una visión magnífica.
— En Afrique, d’où nous venons tous, chacun a droit à son comptant de femmes, à autant d’entre elles que ses bras peuvent étreindre.
—En África, de donde venimos todos, cada uno tiene derecho al número de mujeres que sus brazos puedan abarcar.
On peut tendre les bras et étreindre tout Manhattan dans la joie de la solitude, ou tout aussi bien aller au diable si l’on préfère.
Puedes extender los brazos y abarcar todo Manhattan en medio de una dulce soledad, o puedes irte al infierno si te apetece».
C’était une femme gaie, douce et chaleureuse, qui me serrait contre son sein et caressait mes boucles dorées d’une main si imposante qu’elle semblait étreindre toute ma tête entre ses doigts.
Era una persona hecha para la risa, el afecto y la dulzura, y me estrechaba entre sus pechos y acariciaba mis bucles dorados con una mano tan enorme que parecía abarcar toda mi cabeza.
Sa grande force et sa grande faiblesse, c’était la bonté, une bonté qui n’avait pas assez de bras pour caresser, pour donner, pour étreindre, une bonté de créateur, éparse, sans résistance, comme l’engourdissement d’un nerf de la volonté, une lacune dans l’énergie, presque un vice.
La bondad era su gran fuerza y su gran debilidad: una bondad cuyos brazos no daban abasto para acariciar, dar y abarcar; una bondad de creador, dispersa, sin firmeza, como si tuviera embotado uno de los nervios de la voluntad, semejante a un fallo de la energía, casi un vicio.
Les ennemis luttaient maintenant pour les aires sensorielles, pour les aires motrices, ils avançaient pouce par pouce vers l’homoncule difforme projeté sur les hémisphères cérébraux, ils envahissaient mes souvenirs et mes pensées, ils soumettaient mes champs visuel et logique, dans un assaut contre le mur qui avait à présent des dizaines de millions de spires et qui tournait en cravachant, ténia impitoyable, pour étreindre au centre du centre de mon esprit le petit pois de la glande pinéale dont les sages disent qu’elle est le siège de l’âme.
Los enemigos luchaban ahora por las zonas sensoriales, por las motoras, conquistaban pulgada a pulgada el homúnculo deforme de mis hemisferios cerebrales, invadían mis recuerdos y mis pensamientos, sometían mi espacio visual y lógico, en un asalto de la muralla que tenía ahora decenas de millones de espirales y que se retorcía restallando, como una tenia implacable, para abarcar, en el centro del centro de la mente, el guisante de mi glándula pineal que, según los entendidos, es la sede del alma.
De mon énorme étonnement quand Goia m’a parlé de la famille Boole et des cinq filles prodigieuses du grand mathématicien, et du trouble que le jeune homme blond, amoral et génialoïde, ami de Lewis Carroll, produisit dans cette famille, brisant sa géométrie logico-mathématique, faisant voler en éclats ses principes victoriens et inoculant leurs esprits de la folie télescopique de la quatrième dimension : des mondes dans des mondes, du profond à l’élevé, alignés sur une spirale asymptotique d’une majesté que le pauvre ganglion incarcéré dans nos crânes ne pouvait étreindre.
Sobre mi sorpresa cuando Goia me habló de la familia Boole y de las cinco hijas prodigiosas del gran matemático, y sobre la perturbación que este joven rubio, amoral y genialoide, amigo de Lewis Carroll, había provocado en esa familia, destejiendo su geometría lógico-matemática, lanzando por los aires sus principios Victorianos e inculcando en sus pensamientos la locura telescópica de la cuarta dimensión: mundos en mundos, desde las profundidades a las alturas, enlazados en una espiral asintótica de una grandeza que el pobre ganglio encarcelado en nuestros cráneos no podía abarcar.
Qui vient ensuite t’étreindre et t’embrasser ?
¿Quién da abrazos y besos después?
Elle ouvrit les bras pour étreindre Underhill.
Abrazó a Underhill. Underhill, asombrado, se apartó.
Elle mit fin au baiser pour m’étreindre avec force.
Apartó sus labios de los míos y me abrazó con fuerza.
Comme les bras d’un père Pour étreindre et réconforter.
los brazos de un padre, abrazo y consuelo.
Anna fut incapable de se retenir. Elle alla l’étreindre.
Anna no pudo resistirse, se le acercó y lo abrazó.
Nous n’avons pas le temps de nous étreindre, je le vois au tressaillement de son sourire.
No hay tiempo para un abrazo, lo advierto en el leve temblor de su sonrisa.
Il était bien content que ses amis soient du genre à étreindre et à embrasser.
Se alegró de que sus amigos fueran aficionados a los abrazos y los besos.
Nous avions déjà cessé de nous étreindre, mais il me sembla le sentir frissonner.
Deshacíamos ya el abrazo, pero me pareció sentirlo estremecerse.
Mais elle parut le reconnaître et s’approcha même de lui pour l’étreindre rapidement.
Pero ella pareció reconocerlo y, de hecho, se acercó y le dio un breve abrazo.
Martin s’assit par terre avec précaution pour étreindre son fils.
Martin se sentó en el suelo con cuidado y abrazó a su hijo.
Elle eut l’impression d’étreindre de la pierre.
Era como abrazar a una piedra.
Thies se laissa étreindre.
Thies se dejó abrazar.
Jamais personne pour l’étreindre.
Nunca nadie que la abrazara.
Toucher, étreindre, parler sans s’arrêter.
Tocar, abrazar, hablar sin parar.
Anonoei se précipita sur son fils pour l’étreindre.
Anonoei corrió a abrazar a Enopp.
Je veux étreindre la beauté ; elle m’échappe ;
Quiero abrazar la belleza, pero se me escapa;
Un temps pour s’étreindre, et un temps pour se séparer
tiempo de abrazar, tiempo de separar,
— Pardonne-moi, murmura-t-il en se laissant étreindre.
—Perdóname —susurró él, y se dejó abrazar—.
Kendra avait envie d’étreindre Raxtus.
A Kendra le dieron ganas de abrazar a Raxtus.
En fait, elle se jeta sur son rejeton pour l’étreindre.
De hecho, se precipitó en el interior para abrazar a su vástago.
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