Translation for "s'ébrouer" to spanish
Translation examples
Il entendit son père s’ébrouer.
Oyó un bufido de su padre.
Son ébrouement réveilla les deux dormeurs.
Su bufido despertó a los dos durmientes.
Kelpie regimbe, s’ébroue, trépigne.
Kelpa se remueve, da un bufido, patea.
Elle s’ébroue, fâchée d’avoir gaffé. — Bon.
La mujer suelta un bufido, enfadada por haber metido la pata. —Está bien.
Un bruissement, un craquement, l'ébrouement d'un cheval surpris.
Un crujido, un chasquido, un bufido como el de un caballo asustado. Giró rápidamente, asustada.
Mais que fait Tamarka près de la palissade ?… Ces ébrouements, ces froissements de branches ?… Elle broute les amandiers.
¡Qué le vamos a hacer, Tamarka está en la cerca!… Un bufido, el chasquido de las ramas… ¡está royendo el almendro!
Le cheval s’est ébroué, il a levé la tête brièvement, puis il s’est remis à brouter la pelouse.
El caballo lanzó un bufido, alzó la cabeza un instante y se puso a pastar de nuevo en nuestro jardín—.
Ils mirent pied à terre dans un fracas d’armes et d’armures, les ébrouements et les piétinements des chevaux affamés à bout de forces.
Desmontaron entre el entrechocar de las armas y las armaduras, y las patadas y los bufidos de caballos cansados y hambrientos.
Le silence n'était rompu que par l'ébrouement des che vaux et le cri des animaux nocturnes, attirés par les feux du campement.
El silencio fue roto por el bufido de los caballos y la llamada de los animales nocturnos atraídos por los fuegos del campamento.
Ils n’en avaient pas fait plus de cent quand ils entendirent tout près craquer des brindilles et un animal s’ébrouer doucement.
No habían dado más de cien cuando escucharon cerca el crujido de ramitas que se rompían, seguido por un suave bufido.
Peu après, nous entendîmes un cheval s’ébrouer et des armes tinter.
Y poco después oímos el bufar quedo de un caballo y un leve tintineo de armas.
Dans le ciel, où pas un nuage ne daigne s’ébrouer, d’infinitésimales étoiles tournent en rond, pareilles à des prières en quête de bon Dieu.
En el cielo, donde ni una nube se digna bufar, giran infinitesimales estrellas como plegarias en busca de un buen Dios.
Brusquement, il entendit le cheval s’ébrouer, étonnamment près, puis le vit surgir à deux coudées de sa cachette. Le cheval fit un écart et le chevalier poussa un grognement de surprise.
De repente, oyó al caballo bufar, asombrosamente cerca, y finalmente apareció a una yarda de distancia de donde él se encontraba. El animal le vio un instante antes de que William le viera a él. Dio un respingo y el jinete lanzó un gruñido de sorpresa.
C’est sûr que. Cohérent. Bon, d’accord, mais essayons d’attraper la ficelle par le début de la pelote, il se trouve qu’on entre habituellement dans les hôpitaux en tant que malade mais on peut aussi y arriver comme accompagnateur, c’est ce qui t’est arrivé il y a trois jours, et plus précisément à l’aube d’avant-hier quand une ambulance a emporté Sandra, et toi avec elle, toi avec sa main dans la tienne, toi la voyant inconsciente et en plein délire, toi ayant juste le temps de mettre dans un sac quatre ou cinq choses toutes inutiles, toi avec juste ce que tu avais sur le dos, ce qui est bien peu en août en Provence, pantalon, chemise et espadrilles, toi résolvant en une heure le problème de l’hôpital et de l’ambulance et Sandra s’y refusant alors un médecin avec une piqûre calmante, soudain les amis de ton petit village dans les collines aidant les infirmiers à mettre Sandra dans l’ambulance, vagues arrangements pour le lendemain, téléphone, souhaits, la double porte blanche se refermant, capsule ou crypte, et Sandra sur le brancard délirant doucement et toi à chaque cahot contre elle parce que la voiture doit descendre un chemin plein de pierres avant d’atteindre la route, le milieu de la nuit avec Sandra et deux infirmiers et une lumière qui est déjà une lumière d’hôpital, tubes, flacons, et une odeur d’ambulance perdue en pleine nuit dans les collines jusqu’au moment où elle rejoint l’autoroute, où elle s’ébroue comme pour prendre son élan et se lance à toute vitesse avec le double son de sa corne, le même qu’on a entendu tant de fois du dehors avec la même contraction de l’estomac, le même refus.
Claro que. Coherente. Bueno, de acuerdo, pero intentemos agarrar el piolín por la punta del ovillo, ocurre que a los hospitales se ingresa habitualmente como enfermo pero también se puede llegar en calidad de acompañante, es lo que te sucedió hace tres días, y más precisamente en la madrugada de anteayer cuando una ambulancia trajo a Sandra y a vos con ella, vos con su mano en la tuya, vos viéndola en coma y delirando, vos con el tiempo justo de meter en un bolsón cuatro o cinco cosas todas equivocadas o inútiles, vos con lo puesto que es tan poco en agosto en Provenza, pantalón y camisa y alpargatas, vos resolviendo en una hora lo del hospital y la ambulancia y Sandra negándose y médico con inyección calmante, de golpe los amigos de tu pueblito en las colinas ayudando a los camilleros a entrar a Sandra en la ambulancia, vagos arreglos para mañana, teléfonos, buenos deseos, la doble puerta blanca cerrándose cápsula o cripta y Sandra en la camilla delirando blandamente y vos a los tumbos parado junto a ella porque la ambulancia tiene que bajar por un sendero de piedras rotas hasta alcanzar la carretera, medianoche con Sandra y dos enfermeros y una luz que es ya de hospital, tubos y frascos y olor de ambulancia perdida en plena noche en las colinas hasta llegar a la autopista, bufar como tomando empuje y largarse a toda carrera con el doble sonido de su bocina, ese mismo tantas veces escuchado desde fuera de una ambulancia y siempre con la misma contracción del estómago, el mismo rechazo.
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