Translation for "s'emietter" to spanish
S'emietter
Translation examples
Ma belle confiance de la matinée commençait de s’émietter.
Todo mi aplomo de la mañana empezó a desmoronarse.
Pete sentit le cérumen de ses oreilles qui commençait à s’émietter.
Pete notó que la cera de sus oídos empezaba a desmoronarse.
Ce qui, avait-il prédit, était une quasi-certitude, parce que ses dents – datant de l’époque antérieure au fluor – allaient bientôt s’émietter comme du vieux plâtre. « Vous me remercierez plus tard, avait-il dit.
Y él pronosticaba que lo necesitaría, puesto que la dentadura de Wilma, al ser anterior a los tiempos de la fluorización, no tardaría en desmoronarse como yeso mojado. —En el futuro me lo agradecerá —afirmó el doctor Stitt.
Hackett nous informa que les murs de ce lieu glacial avaient été creusés à l’origine dans une pierre nue, recouverte ensuite au fil des siècles de toutes sortes de matériaux, des briques aux blocs de granit, tous maintenus en place par d’épaisses couches de ciment en train de s’émietter.
Hackett nos explicó que las paredes del gélido espacio habían sido talladas en un primer momento en la roca que afloraba naturalmente bajo el castillo y que, a lo largo de los siglos, había sido revestida de toda suerte de materiales, desde ladrillos a bloques de granito, todos ellos afianzados por medio de grandes pegotes de cemento que ahora empezaban a desmoronarse.
Et chaque fois que sa détermination menaçait de s’émietter et qu’il se disait qu’il était en train de s’enfuir sur une impulsion ridicule, vers une ineptie qui ne lui promettait aucun soulagement, et devant quelque chose à quoi il était impossible d’échapper, il ouvrait la brochure de la fac de médecine et relisait la carte de la page quarante-deux qui dressait l’emploi du temps quotidien de l’étudiant en première année de médecine.
Y cada vez que su decisión empezaba a desmoronarse, y se decía que estaba siguiendo un impulso ridículo, al huir, que no huía hacia nada que tuviera sentido ni prometiese alivio alguno, que huía de lo que no era posible huir… abría el catálogo de la Facultad de Medicina y releía el cuadro de la página 42, en que se recogía el horario de clases de un estudiante de primer año de Medicina.
       Émietter la lune pour en faire des étoiles ? Pourquoi ?
Desmenuzar la luna en estrellas. ¿Por qué?
Non, il préférait briser le petit cylindre en papier cartonneux et émietter le tabac dans le fourneau de sa pipe.
No, prefería romper el tubo de cartón y después desmenuzar el tabaco para introducirlo en su pipa.
Je vous admire. Mary leva les yeux sur lui, les baissa de nouveau et se mit à émietter un morceau de pain dans sa main.
La admiro. Ella le miró un instante, apartó la vista y empezó a desmenuzar un pedazo de pan que tenía en la mano.
Rosé ne put soutenir les regards qui la transperçaient et elle cacha son visage dans ses mains, mais lui les écarta avec la même délicatesse utilisée peu avant pour émietter ses gâteaux à la crème.
Rose no resistió las miradas que la traspasaban y escondió el rostro entre las manos, pero él se las apartó con la misma delicadeza empleada antes en desmenuzar los pastelillos de crema.
Je ne vous demande que d’accepter le fait (comme je l’ai moi-même accepté) qu’en fin de compte je vais m’émietter en (à peu près) six cent trente millions de particules de poussière anonymes qui seront nécessairement oubliées.
Os pido sólo que aceptéis (como lo he aceptado yo) que en su día me desmenuzaré en (aproximadamente) seiscientos treinta millones de partículas de un polvo anónimo y necesariamente olvidadizo.
Pas du bon bois ferme, mais le genre de vieux bois en décomposition que j’aurais trouvé à un endroit où des arbres s’étaient abattus, de cette sorte qui paraît toujours humide, que je pourrais émietter avec les doigts, un bois mou colonisé par de minuscules scarabées et cloportes, tous infectés par des champignons filamenteux.
No una madera maciza y buena, sino más bien muerta y podrida, como la de un árbol quebrado, de esa que siempre parece húmeda y se puede desmenuzar con los dedos, una madera blanda llena de bichos y hongos filiformes.
J’avais pour mission de suivre l’assaut, briser les mottes de terre de la pointe du coupe-papier, en détacher les racines pour les déposer dans le sac de toile, épierrer et émietter chaque motte et, enfin, ratisser la terre meuble à l’aide de la fourchette, transformée pour la circonstance en râteau ou en herse.
A mí me tocaba seguir adelante tras el asalto inicial, romper con la punta del abrecartas las gruesas glebas que mi padre había conseguido someter, arrancarles las raíces y echarlas al saco, separar las piedras y la grava, deshacer y desmenuzar una a una las glebas y, al final, usar el tenedor que habíamos cogido de la cocina como horca o rastrillo y peinar suavemente los cabellos de la tierra deshecha.
Et puis les Ángel, depuis deux ou trois générations, avaient quitté la campagne, avaient fait le saut vers les professions libérales et la ville, ils n’avaient plus besoin de labourer la terre avec leurs bras et d’émietter les mottes avec les doigts, mais ils s’entêtaient à garder cette racine, cet attachement aux arbres, à la bouse, à la charrue, au maïs, au caquètement des poules et aux grognements des porcs.
Que los Ángel, además, hacía dos o tres generaciones habían salido del campo, habían dado el salto a profesiones liberales y a la ciudad, habían recibido la bendición de no tener que labrar la tierra con los brazos ni desmenuzar los terrones con los dedos, pero seguían empeñados en mantener esa raíz, ese apego a los árboles, a la boñiga, al arado, al maíz, al cacareo de las gallinas y el gruñido de los cerdos.
Le cuisinier lui répétait d’en émietter la chair pendant la cuisson, sur quoi l’une de ses consœurs entonna Ta saucisse et ma figue sur l’air de Vaya con Dios, association improbable, que toute l’équipe des filles de cuisine reprit à l’unisson. La chef de chœur improvisée était celle que le cuisinier avait chargée de tester le levain pour la pâte à pizza, et il la tenait à l’œil.
El cocinero le repetía una y otra vez que desmenuzara la carne de la salchicha mientras la preparaba, ante lo que la esposa de otro trabajador de la serrería rompió a cantar. Entonó «¡Azótate la carne con una espátula y verás!», al compás de la improcedente pero popular melodía de la canción Vaya con Dios; las demás mujeres unieron sus voces a la suya. La cantante solista, entre las esposas de los trabajadores de la serrería, era la ayudante a quien el cocinero había encargado probar si la levadura estaba activa, para usarla luego en la masa de la pizza, y no le quitaba el ojo de encima a esa mujer.
La femme à la spatule, celle à qui il fallait rappeler d’émietter la chair à saucisse, devait être dans la confidence : elle reluquait le cuisinier, elle aussi, et comme Minnie au sandwich avait la bouche pleine, ce fut May à la spatule qui prit la parole. Elle était encore plus monumentale que sa consœur, et s’était mariée deux fois, de sorte qu’elle avait avec son second mari des enfants du même âge que ses petits-enfants du premier lit. Du coup, elle et son second mari en avaient perdu leurs repères naturels ; déboussolés, inconsolables, ils n’arrivaient pas à se remettre de l’incongruité de leur existence. Ce que le cuisinier trouvait contre nature, c’était plutôt sa déploration permanente. Elle avait des enfants du même âge que ses petits-enfants, et après ?
La ayudante de la espátula —aquélla a la que era necesario recordar que desmenuzara la salchicha en la plancha— parecía cómplice en la fechoría, porque tampoco ella perdía de vista al cocinero. Como la mujer que estaba comiéndose el bocadillo tenía la boca llena, habló primero la de la espátula. Se llamaba May; era más voluminosa que Dot y se había casado dos veces. Los hijos que May había tenido con su segundo marido eran de la misma edad que sus nietos —es decir, los hijos de los hijos del primer matrimonio—, y este fenómeno antinatural había desquiciado por completo a May y también a su segundo marido, hasta el punto de que ya no habían podido recuperarse lo necesario para ofrecerse consuelo mutuo en lo referente a la franca anormalidad de sus vidas.
Les troncs fragiles, fauchés par la tempête, s’étaient émiettés en tombant.
Los frágiles troncos, segados por la tempestad, se habían desmenuzado al caer.
Les hommes détachèrent leur coupe de leur ceinture et déballèrent leur repas de midi : des galettes plates, une pomme ou un oignon, un émiettement de sel gris sale venu du fond de leur sac. Les officiers partirent repérer les manches de lance ou les lanières de javeline défectueux, et prirent le pouls du moral des troupes. Ils sentirent une tension saine, comme celle d’un arc bandé : les hommes avaient perçu qu’ün grand moment était proche.
Todos los soldados empezaron a sacar sus copas y su comida para preparar el desayuno: pasteles aplastados para asar, una manzana o algún coco, sal parda e impura a causa de los desprendimientos de la piel curtida de las bolsas en que la transportaban. Los oficiales inspeccionaban las puntas de lanzas y flechas, las jabalinas y todas las armas de que disponían tratando de encontrarles algún defecto; cuando descubrían alguna en mal estado, dejaban caer sobre su portador todo el peso moral de que eran capaces.
Le papier recommence à pleuvoir, des contraventions froissées, des cigarettes émiettées comme en commando et des papiers du bureau et des avions fabriqués avec des cartes de scores, voletant au vent, surtout blancs, et Pafko retourne à sa place, en changeant d’allure pour lancer un petit coup de pied dans un gobelet en carton, et le geste constitue une forme de reconnaissance, en allusion à une certaine force concordante entre les joueurs et les fans, la façon dont il pousse le gobelet blanc, c’est un petit coup de pied très pro, sans la moindre acrimonie – un signe de respect pour les dispositifs retors du jeu, les schémas impossibles à cerner.
Vuelven a caer papeles, multas de tráfico arrugadas y colillas aplastadas y cuartillas de la oficina y boletos de apuestas con forma de avión, impelidos por el viento y en su mayor parte blancos, y Pafko regresa a su posición y modifica la zancada para darle una suave patada a un vaso de soda, y el gesto funciona como una forma de reconocimiento, como el atisbo de alguna fuerza concordante entre los jugadores y los aficionados, el modo en que golpea el vaso blanco, un leve toque profesional con el pie, sin la menor acritud: una muestra de respeto hacia los rebuscados mecanismos del juego, hacia esas rutinas imprevisibles.
desmigar
Lorsqu’elle mange, les coudes sur la table, elle remue délicatement ses doigts aux ongles laqués, comme s’il s’agissait d’instruments de précision : il faut la voir peler une pomme avec une minutie exaspérante, émietter le pain comme elle le ferait pour un oiseau.
Cuando come, con los codos sobre la mesa, mueve delicadamente sus dedos de uñas lacadas, como si se tratara de instrumentos de precisión, y hay que verla mondar una manzana con una minuciosidad exasperante, o desmigar el pan como si fuese a alimentar a un pájaro.
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