Translation for "s'affubler" to spanish
Translation examples
Elle aimait s'affubler de vêtements en vinyle et fréquenter les boîtes de nuit où on donnait des spectacles, auxquels elle participait parfois elle-même.
Le gustaba vestirse como un fantoche, con ropa de charol, y frecuentar clubes que ofrecían performances en las que incluso actuaba de vez en cuando.
Ils se laissent séduire par les idées nouvelles, c’est tout : on enfile de grandes bottes et on se met à fusiller les gens, on s’habille en blanc et on se met à lyncher les gens, on s’affuble de jeans à fleurs et on se met à jouer de la guitare aux gens.
Se dejaban llevar por nuevas ideas, como calzar botas de caña alta y matar gente a tiros, o vestirse con sábanas blancas y linchar a la gente, o ponerse vaqueros teñidos descoloridos y tocarle la guitarra a la gente, y ya está.
[14] Le MET, toujours disposé à se battre pour les droits des personnes de format différent, ne se laissait pas rebuter par le fait que la plupart des lutins et des gnomes ne tenaient aucunement à s’affubler de chapeaux pointus à clochettes alors qu'ils connaissaient d’autres passe-temps beaucoup plus intéressants auxquels se livrer.
[12] La CEI siempre estaba dispuesta a luchar por los derechos de los diferentemente altos, y no la disuadía el hecho de que a la mayoría de los duendes y gnomos no les interesaba lo más mínimo vestirse con sombreritos puntiagudos con cascabeles cuando había cosas mucho más interesantes que hacer.
Je me sentais godiche dans l’accoutrement dont m’avait affublé Madame.
Me sentí como un estúpido en el atuendo que me hizo vestir la Dama.
Afin de ne pas s’affubler d’un uniforme sans épaulettes, le tsar captif ne quittait plus la tunique tcherkesse qui, par chance, en était réglementairement dépourvue.
A fin de no vestir un uniforme sin charreteras, el zar cautivo no se quitaba nunca la guerrera cherquesa, que, por suerte, estaba desprovista reglamentariamente de aquéllas.
— Pas de tables où s’asseoir, constata-t-il d’une voix lugubre en lissant le pourpoint noir chamarré d’argent, court et serré à la taille, dont l’avait affublé Yennefer.
—No hay mesas —afirmó el hecho con voz triste, acariciándose el caftán negro, corto, galoneado en plata y ceñido por un cinturón que Yennefer le había hecho vestir.
Simkin avait ôté aux deux hommes les déguisements dont il les avait affublés pour emprunter le Couloir, et le Major portait ce qui devait être l’uniforme de ses pareils, supposa Vanya.
Simkin había hecho desaparecer los disfraces que los dos hombres habían usado en el Corredor, y el mayor volvía a vestir lo que para Vanya debía ser el uniforme militar de los suyos.
Elle m’avait remplacé par Donald Morgan, un étudiant de troisième année, grand et maigre, toujours affublé d’un blazer impeccable. Donald briguait la succession de Gil à la présidence de l’Ivy Club.
Me había sustituido por un estudiante de primero llamado Donald Morgan, un hombre alto y nervudo que llevaba blazer aun cuando bastara con una camisa de vestir, y que ya se estaba jactando de ser el sucesor de Gil como presidente del Ivy.
Quand Evert repassa chez moi quelques jours plus tard, il portait de nouveau son uniforme, mais j’eus le sentiment qu’il changeait d’opinion à son sujet. Comme chaque fois qu’il était affublé de kaki informe, il se vautra et s’affala dans une attitude rebelle, mais il lui arriva aussi de se lever pour se planter tout droit devant le feu en rejetant les épaules en arrière, comme si, à la réflexion, le rôle de soldat valait – tout juste – la peine d’être endossé. « Comment va Jill ? me demanda-t-il.
Unos días más tarde, Evert regresó a mis habitaciones. Volvía a vestir uniforme, pero intuí que estaba empezando a cambiar de opinión respecto al ejército. Aunque iba encorvado y adoptaba posturas desgarbadas con las que expresaba su rebeldía, algo habitual en él cuando llevaba puesta aquella ropa caqui tan poco elegante, ahora se enderezaba de vez en cuando; se quedaba de pie ante la chimenea encendida y echaba los hombros hacia atrás, como si, al fin y al cabo, el papel de soldado no estuviera tan mal. —¿Cómo está Jill? —me preguntó.
À présent les parents endimanchés, le père comme toujours sorti d’une boîte – chaque semaine il s’achète une nouvelle cravate, et ses cols de chemises sont des engins meurtriers, tranchants comme des rasoirs sous l’effet du repassage, on est ou on n’est pas un homme à femmes, faut soutenir sa réputation –, la mère comme toujours sortie d’une poubelle, affublée de composantes vestimentaires divergentes qui refusent absolument d’aller ensemble et n’ont jamais été assorties même dans leur jeunesse, les parents donc rendent visite à une tante lointaine qui a toujours trouvé le regard de Rainer inquiétant, il a quelque chose de perçant mais aussi de sournois, cette tante le croit capable de tout. Ce qui réjouirait Rainer s’il l’entendait.
Ahora los padres van de visita en ropa festiva, el padre como siempre hecho un brazo de mar -todas las semanas se compra una corbata nueva y sus camisas parecen herramientas mortíferas, planchadas como láminas cortantes, al fin y al cabo es un don Juan y tiene fama de ello-, la madre, como salida del cubo de la basura, con prendas de vestir discordantes, que no pegan ni con cola y que nunca pegaron, ni siquiera cuando estaban nuevas; así pues, los padres van a visitar a una tía lejana, a quien la mirada de Rainer siempre resultó inquietante, tiene algo punzante y a la vez algo alevoso; la tía le cree capaz de cualquier cosa. le alegraría oír esto.
Ou simplement d’une gamine à l’esprit dérangé, affublée de vieux vêtements empruntés à son frère ?
¿O en realidad parecía una chavalilla con algún tornillo suelto, jugando a disfrazarse con las ropas viejas de su hermano?
Il est laborieux de revêtir cette triple épaisseur de vêtements superposés, de s’affubler du magasin d’accessoires que l’on porte comme un brocanteur, d’organiser le circuit d’oxygène, le circuit de chauffage, le circuit de communications téléphoniques entre membres de l’équipage.
Es trabajoso ponerse este triple espesor de trajes superpuestos, disfrazarse con toda una tienda de accesorios que uno lleva, como un ropavejero, organizar un circuito de oxígeno, el circuito de calefacción, el circuito de comunicaciones telefónicas entre los miembros del equipo.
Tom fit montre d’une curiosité insatiable. Il lui posa mille questions, lui demanda quelles étaient ses matières scolaires favorites, pourquoi M. Hall était vache de leur donner des devoirs à faire le vendredi ce que Debra Gilhooly avait fait pour que tout le monde la considère comme une chieuse finie, et lui fit raconter par le menu ce qui s’était passé quand Pepsi et elle avaient voulu se déguiser en Spice Girls pour Halloween (Quilla s’était écriée que Mme Robichaud faisait ce qu’elle voulait, mais que pour rien au monde elle n’autoriserait sa fille de neuf ans à s’affubler d’une minijupe, de chaussures à plate-forme et d’un bustier ultra-court pour aller récolter des friandises de maison en maison). Trisha en avait été mortifiée, et Tom lui dit qu’il le comprenait très bien.
Por lo visto, Tom quería saber todo sobre ella: sus clases favoritas en la escuela, por qué pensaba que el señor Hall era malvado si ponía deberes los viernes, por qué Debra Gilhooly era tan desagradable, cómo se les había ocurrido a Pepsi y a ella la idea de disfrazarse de Spice Girls el último Halloween, cuando mamá había dicho que la madre de Pepsi podía hacer lo que quisiese, pero que su hija de nueve años no iba a salir por ahí con minifalda, tacones altos y un top. Tom comprendía perfectamente la vergüenza padecida por Trisha.
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