Translation for "résiderait" to spanish
Résiderait
  • residiría
  • residen would
Translation examples
residiría
Le couple résiderait à Jérusalem.
La pareja residiría en Jerusalén.
Je ne pouvais même pas lui écrire, elle ne savait pas encore où elle résiderait en Palestine, ni pour combien de temps.
Ni siquiera podía escribirle, ella no sabía aún dónde residiría en Palestina, ni durante cuánto tiempo.
Au printemps 1773, il décida de quitter Kirkcaldy pour Londres, où il résiderait les trois années suivantes.
En la primavera de 1773, decidió dejar Kirkcaldy y trasladarse a Londres, donde residiría los siguientes tres años.
il semblait aussi qu’en parlant de Rosings, il cherchât à lui faire entendre que lorsqu’elle reviendrait dans Kent, ce serait au château et non à Hunsford qu’elle résiderait.
pero lo más extraño fue que al hablar de Rosings y del escaso conocimiento que tenía ella de la casa, pareció que él suponía que, al volver a Kent, Elizabeth residiría también allí.
Lorsque les deux hommes émergèrent finalement de la pièce lambrissée, le directeur les conduisit dans le dortoir des garçons où résiderait Yoav et tint à ouvrir les rideaux pour leur faire admirer la vue sur le parc boisé.
Cuando por fin los dos hombres salieron del estudio con paredes revestidas de madera, el director los acompañó hasta el dormitorio masculino donde residiría Yoav, e insistió en descorrer las cortinas para mostrarles las vistas al parque arbolado.
Je l’écoute et voilà qu’il se lance dans un cours magistral, monté sur estrade, on ne peut plus sûr de lui, d’où il ressort, si je le comprends bien, que la vraie nature du « ça » résiderait dans l’éternel conflit entre la connaissance telle qu’elle se conçoit et l’ignorance telle qu’elle se vit : l’incapacité absolue des professeurs à comprendre l’état d’ignorance où mijotent leurs cancres, puisqu’ils étaient eux-mêmes de bons élèves, du moins dans la matière qu’ils enseignent !
Le escucho y he aquí que se lanza a una clase magistral, subido a una tarima, absolutamente seguro de sí mismo, de la que se deduce, si le comprendo bien, que la verdadera naturaleza del «ello» residiría en el eterno conflicto entre el conocimiento tal como se concibe y la ignorancia tal como se vive: la incapacidad absoluta de los profesores para comprender el estado de ignorancia en el que se cuecen sus zoquetes, puesto que ellos mismos eran buenos alumnos, al menos en la materia que enseñan.
Il les appelait ainsi, les docteurs pontifiants… un diagnostic estampillé par la sécurité sociale du lieu et riche en anamnèses et descriptions, écoute bien, le diagnostic disait… homme à l’aspect émacié et à barbe longue, œil qui de temps en temps devient trouble comme s’il était embué par des humeurs bilieuses qui rendent la cornée jaunâtre, il jure souvent à voix basse, ne répond en général pas aux questions, pas même les plus élémentaires, comme s’il était ailleurs, il traverse donc en silence la visite médicale et toujours en se taisant il prend ses affaires et s’en va sans se retourner, et quand par hasard il se retourne c’est pour lancer un geste bizarre qui ressemble plus à un allez-vous-faire-foutre qu’à un salut, il refuse les médicaments qui ont redonné le sourire à des millions de personnes et que l’État lui fournirait gratuitement même s’il est aisé, à la première tentative d’examen psychologique il a déclaré que, sic, il est inutile de lui casser les roustons avec l’enfance parce qu’il en a eu une on ne peut plus heureuse, il se souvient d’un grand-père anticlérical passionné d’astronomie, il se souvient de son initiation survenue à quinze ans avec une paysanne pas mieux identifiée de la ferme, femme déjà mûre et qui fut une merveille, il dit que le problème n’est pas en amont mais en aval, il a insisté pour qu’on lui prescrive du laudanum, que nous ne lui avons évidemment pas prescrit, et au légitime refus médical il a répondu avec superbe, en ricanant… Voilà le diagnostic des Abdéritains, rendu scientifique par le timbre, cher Damagète… je sens aujourd’hui que tu es mon Damagète, et je voudrais t’appeler ainsi, sans doute les auras-tu lues, ces pages qui traitent de la folie, car Tristano se trouvait dans cet état, exactement tel que le décrit Damagète, compressé entre l’hilarité et la furie, qui sont les extrêmes que la vie nous présente à certains moments, ce qui revient à dire entre la porte et le mur, sans qu’il y ait le moindre interstice entre les deux extrêmes, car dans celui-ci résiderait la virtus, et de la virtus Tristano n’en avait pas, ou n’en trouvait pas.
Así los llamaba Tristano, como los habitantes de la patria de Demócrito, a aquellos doctores que adoctrinaban… un diagnóstico con el sello del sistema sanitario local, provisto de anamnesis y descripción, escúchame bien, el diagnóstico decía… hombre de aspecto demacrado y barba crecida, un ojo que de vez en cuando se enturbia, como si estuviera empañado por humores biliosos que vuelven la córnea amarillenta, no es raro que blasfeme en voz baja, por lo general a las preguntas no responde, ni siquiera a las más elementales, como si estuviera en otra parte, transcurre pues en silencio la sesión médica y, sin abandonar su silencio, coge y se marcha dándonos la espalda, y si por casualidad se vuelve lanza un gesto extravagante que más parece de choteo que de despedida, rechaza fármacos que han devuelto la sonrisa a millones de personas y que el estado podría proporcionarle gratuitamente, aunque sea pudiente, ante la primera tentativa de examen psicológico declaró que, sic, es inútil tocarle los cataplines con la infancia, porque la tuvo tan feliz que más feliz es imposible, recuerda a un abuelo anticlerical aficionado a la astronomía, recuerda su iniciación, que tuvo lugar a los quince años con una no mejor identificada campesina de la granja, mujer ya madura, y que fue una maravilla, dice que el problema no está río arriba sino río abajo, insistió en que se le prescribiera láudano que obviamente no le prescribimos, y ante este justificado rechazo médico, reaccionó con soberbia, riendo socarronamente… Este es el diagnóstico de los Abderitas, sellado como científico por la póliza estatal, querido Damageto… hoy siento que eres mi Damageto, y quisiera llamarte así, habrás leídas esas páginas que tratan de la locura, porque Tristano se hallaba así, exactamente como escribe Damageto, atrapado entre la hilaridad y la furia, que son los extremos que la vida nos presenta en determinados momentos, que es como decir entre la espada y la pared, no habiendo entre los dos extremos ni un intersticio, porque en este residiría la virtus, y virtus Tristano no tenía, o no la encontraba.
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