Translation for "rossé" to spanish
Translation examples
Une 504 décapotable, 6 cylindres en V, rose et bosselée, dangereuse comme un brochet, fendait la foule des journalistes et des policiers.
Un 504 descapotable, seis cilindros en V, rosa y abollado, peligroso como un lucio, hendía la, muchedumbre de periodistas y policías.
Le vieillard, assis au bord de son lit, se rendait la joue toute rose en la ratissant avec un rasoir jetable dont il rinçait la lame de temps en autre dans une cuvette en alu qu’il serrait entre ses cuisses.
Skinner estaba sentado en el borde de la cama y se enrojecía la cara con una afeitadora desechable, enjuagando la hoja en un abollado cuenco de aluminio que acunaba entre las piernas.
Dans la lumière rosée et givrée, son haleine fumait et une goutte étincelait comme une pierre précieuse fraîchement taillée au bout de son pauvre vieux nez abîmé.
Caminaba con aire decidido hacia la ciudad, el aliento le echaba humo y una gota en la punta de su pobre y abollada nariz brillaba como una joya recién tallada a la luz escarchada y teñida de rosa del sol.
Ce fut ainsi qu’il se retrouva assis sur un banc, non loin du fleuve, sur la terrasse d’une taverne minable appelée la Rose de l’Eldar, en train de boire de l’infusion dans une chope ébréchée attachée à son siège par une chaîne.
Y razón por la que ahora se encontraba sentado en un banco, en el exterior de una tabernucha de mala muerte llamada La Rosa del Eldar, cerca de la ribera, bebiendo en una de aquellas tazas de latón abolladas que estaban sujetas con cadenas al banco.
Le matin, son sang était bondé de voyageurs, les journaliers du glucose, les éboueurs lactiques et uréiques, les livreurs hémoglobineux transportant leur cargaison d’oxygène fraîchement brassé dans leurs camionnettes cabossées, les contremaîtres sévères comme l’insuline, les cadres moyens enzymiques et supérieurs épinéphriques, les flics leucocytes et les urgentistes, de coûteux consultants arrivant dans leurs limousines roses, blanches et jaune canari, tous empruntant l’ascenseur aortique et se dispersant dans le système.
Por la mañana, la sangre iba repleta de transeúntes, peones de la glucosa, obreros de saneamiento láctico y ureico, repartidores de hemoglobina transportando oxígeno recién producido en sus camionetas abolladas, capataces severos como la insulina, mandos intermedios enzimáticos y epinefrina jefe, leucocitos policías y trabajadores de la Oficina de Medio Ambiente, carísimos consultores desplazándose en sus limosinas de color rosa y blanco y amarillo canario, todos ellos agolpándose en el ascensor de la aorta para luego dispersarse por las arterias.
- Oui, m'dame, avait répliqué Dave. Il était en train de bricoler avec les chaînes qui pendaient des poulies scellées dans le plafond, hissant un corps nu, rose, d'une des grandes cuves de formaldéhyde rosé, lui aussi. Un robuste crochet d'acier était planté dans chacune des oreilles du macchabée, parce que c'était ainsi qu'ils parvenaient à tirer les corps des petites piscines qui parsemaient le sol de la salle du temps où Edgar Alian Pogue travaillait là-bas. - Mais elle est pas dans le monte-charge, avait argumenté Dave en jetant un regard insistant à la civière.
–Sí, señora -repuso Dave mientras manejaba las cadenas y poleas, levantando un cuerpo desnudo y rosado de un tanque de formalina rosa, con un gancho de hierro en cada oreja porque así es como levantaban los cadáveres del tanque cuando Edgar Alian trabajaba allí-. Pero no está en el montacargas. – Dave miró expresamente la camilla. Estaba rayada y abollada, con las juntas oxidadas, estacionada en medio de la sala con un sudario de plástico traslúcido encima. –Sólo te lo recuerdo porque acabo de pensarlo.
Pendant que Le Noir fouillait tout de fond en comble, tous les coffres, les boîtes, et jusqu’au panier à linge sale, moi, je ne touchais à rien, et me contentais de regarder les serviettes, le peigne en ébène, un pagne de hammam dégoûtant, un flacon d’eau de rose, une espèce de jupe indienne à motifs ridicules, les manteaux de clergé et une grosse blouse de femme toute rapiécée et sale, un plateau en cuivre, tout cabossé, le mobilier de mauvais goût — un train bien mesquin eu égard aux affaires que brassait Olive — et les tapis crasseux. Soit il était affreusement pingre, soit il avait un vice qui lui coûtait fort cher...
Mientras Negro registraba cuidadosamente todos los baúles y cajas llegando incluso al fondo de las cestas de la ropa sucia, yo, sin tocar nada, le echaba una ojeada a las toallas de Bursa de Aceituna, a su peine de ébano, a sus sucios lienzos para los baños, a sus frascos de agua de rosas, a un ridículo faldellín de tela estampada de la India, a sus chalecos, a una túnica abierta, pesada y sucia, a una fuente de cobre medio abollada, a sus muebles descuidados y baratos, teniendo en cuenta el dinero que ganaba, y a sus asquerosas alfombras.
Le pâté de maisons, très long, n’est qu’un seul et même mur avec des portes à intervalles réguliers, du mauve, du lilas, du rose, du jaune, des zones de couleurs différentes autour de chaque porte marquant les différentes maisons, des plantes, un banc, le robinet qui goutte, le bac à laver en bois, la balayette végétale, la dame qui a acheté une cuisinière à butane, le bégonia dans la théière bosselée, chaque porte ouvre sur un monde différent et la rangée de noyers sans feuilles le long du trottoir sur lequel arrivent Gina avec le Géant qui marchent ensemble en riant, et elle lui demande un Coca-Cola qu’il lui achète, et la Gina jette des prospectus dont on ne peut distinguer les couleurs dans la lumière trompeuse d’une heure comme celle-ci, et la Gina tourne sous la pluie de prospectus qui tombent, pour rattraper les papiers qu’elle a elle-même lancés, pour le plaisir de tourner parmi des papiers multicolores.
La cuadra larguísima es una sola pared con puertas a intervalos regulares, malvalilarrosalimón, trechos de colores distintos alrededor de cada puerta marcan las casas distintas, plantas, un banco, la llave de agua que gotea, la artesa, la escobilla de rama, la señora que compró cocina a gas licuado, la begonia en la tetera abollada, cada puerta revela un mundo distinto, y la fila de nogales sin hojas a lo largo de la vereda por donde vienen la Gina con el Gigante caminando juntos y riéndose y ella le pide una coca-cola que él le compra y la Gina tira volantes de colores que no se distinguen a la luz engañosa de esta hora y la Gina gira entre la lluvia de volantes que caen, para atrapar los papeles que ella misma ha tirado por el placer de girar entre papeles multicolores.
suggéra Isabelle en lui tendant son appareil rose.
—preguntó Isabelle, mientras le ofrecía su maltratado móvil rosa.
A partir de là, je consacrai toute mon attention à dorloter mes pauvres petits pieds tout roses et si tendres, si malmenés.
De allí en adelante dediqué toda mi atención a mimar mis pobres, maltratados, tiernos y rosados pies.
Il y avait des bobines faites d’un bel acier, des cylindres de cire rose avec des étiquettes de papier aux couleurs passées, d’autres bobines encore, en plastique transparent celle-ci autour desquelles étaient enroulées de fins rubans de couleur marron.
Había rollos de fino cable de acero, cilindros rosas de cera con etiquetas de papel maltratadas por el tiempo, amarillentos rollos de plástico transparente de cinta marrón de seis milímetros…
Car c’était une des hontes les plus vives qu’il eût subies dans sa vie, une honte bien plus grande que celle d’être maltraité par un vendeur de mobylettes ou rossé par des caïds de province : la honte de se déclarer, lui-même, incapable de faire son métier.
Era una de las vergüenzas más lacerantes que pudiera haber sufrido en su vida, una vergüenza mucho más grande que la de haber sido maltratado por un vendedor de motos o castigado por los guapos de provincia: la vergüenza de haberse declarado incapaz de realizar su trabajo.
Retirée dans ma chambre, j’attends avec une impatience modérée la retraite du visiteur pour qui nul huis n’est clos, et qui déjà pousse sous ma porte un singulier hommage de pétales flétris, de graines vannées finement, de sable, de papillons molestés… Va, va, j’ai découragé d’autres symboles… Et je n’ai plus quarante ans pour détourner le front devant une rose qui se fane.
Espero con moderada impaciencia, recluida en mi cuarto, la retirada del visitante para el que no hay puerta cerrada, y empuja ya bajo la mía un singular homenaje de pétalos marchitos, de simientes finamente aventadas, de arena y de maltratadas mariposas… ¡Vamos, vamos! He prescindido de otros símbolos… Y ya no tengo cuarenta años para volver la frente ante una rosa que se marchita.
Sur ces photos, je pus voir des visages plus mélancoliques, plus désespérés, plus terrifiants, plus incroyables encore que ceux que j'avais découverts dans la modeste collection de Djélâl : réparateurs de vélos, étudiants en archéologie, ouvriers en confection, pompistes, commis d'épicier, figurants de cinéma, gérants de café, auteurs de brochures pieuses, poinçonneurs d'autobus, gardiens de parcs, videurs de boîte de nuit, jeunes comptables, vendeurs à domicile d'encyclopédies... Tous avaient connu la torture, tous avaient été rossés, maltraités, plus ou moins sévèrement, tous avaient fixé l'objectif l'air de dire : « Je ne suis pas là, moi », ou encore : « De toute façon, moi, je suis un autre » ; et avec tous, collée sur leur visage, une expression qui masquait la tristesse et l'épouvante, comme s'ils avaient tous voulu oublier, enfouir tout au fond d'un puits perdu pour qu'ils y disparaissent à jamais le mystère, le savoir secret qui se dissimulaient dans les profondeurs de leur mémoire et dont ils avaient perdu le souvenir, et qu'ils ne cherchaient plus à retrouver parce qu'ils les avaient oubliés.
En aquellas fotos vi caras más tristes, más apenadas, más terribles y más increíbles que las que había visto en la modesta colección de Celâl: reparadores de bicicletas, estudiantes de arqueología, operarios de telares, empleados de gasolineras, mozos de colmados, extras de cine local, dueños de cafés, escritores de panfletos religiosos, vendedores de billetes de autobús, vigilantes de aparcamientos, chulos de cabaret, jóvenes contables, vendedores de enciclopedias… Todos habían sido torturados, golpeados y maltratados, poco o mucho, todos miraban a la cámara con una expresión de «no estoy aquí», una expresión de «en realidad yo soy otro» que enmascaraba el miedo y la tristeza de sus rostros como si quisieran olvidar aquel misterio perdido que yacía en las profundidades de su memoria pero que habían olvidado que seguía allí, aquel misterio que no habían buscado porque lo habían olvidado, como si quisieran olvidar aquella información oculta de forma que desapareciera en un pozo sin fondo para no regresar jamás.
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