Translation for "retransforme" to spanish
Retransforme
  • transforma
  • transformadas
Translation examples
transforma
Puis il s’est retransformé en pendentif.
—Se transformó otra vez en el colgante de la piedra rúnica.
— Il faudra donc que M. Collins le retransforme. Que tu l’y contraignes, dit Rose farouchement.
–Entonces tendrás que hacer que el señor Collins lo transforme -dijo Rose.
– Qu’est-ce que… ? Mais il s’est retransformé en martinet et il a disparu – retournant frapper Caligula, qui s’est mis à jurer en tentant vainement de pourfendre le minuscule oiseau.
—¿Qué…? Se transformó otra vez en vencejo y se precipitó hacia Calígula, que se puso a insultar y lanzar estocadas al pajarito.
Dans ma région d’Irlande on dit que le roi des cailles, le râle des genêts, se change en râle d’eau à l’approche de l’automne puis se retransforme au printemps.
En la región irlandesa donde nací, el rascón de tierra o rey de codornices se transforma en un rascón de agua cuando llega el otoño y cambia otra vez en primavera.
De hautes flammes environnaient tout son corps, bien sûr sans le brûler. Satan ne se montra sous cette forme qu’un court instant avant de se retransformer en Alicia Keys et de faire disparaître les flammes.
Alrededor de su cuerpo ardían llamas que, evidentemente, no quemaban a Satanás. Se mostró así sólo durante unos breves instantes, luego se transformó de nuevo en Alicia Keys y las llamas también desaparecieron.
Tu hausses les épaules en signe de mépris pour ma crainte des intempéries que je ne veux pas que tu méprises, car j’ai besoin que tu la partages, au moins maintenant, cette nuit : je te parle, tu m’écoutes, je t’explique que toute l’affaire du Géant n’était qu’une farce, car le véritable père se cachait à l’intérieur de Romualdo qui n’était qu’un masque de plus, comme celui du Géant que tu avais vu détruire, et maintenant il faut détruire le masque en carton-pâte de Romualdo pour trouver l’autre individu à l’intérieur, le vrai père de ton fils, il habite dans son palais de fer, de verre et de lumières, tu peux le voir de ta fenêtre, un de ces palais qui émettent des faisceaux de lumière que tu essaies d’attraper avec tes mains pour grimper dessus, tu n’auras pas besoin de grimper sur un faisceau lumineux, Iris, je démolirai, moi, le masque de Romualdo et je t’amènerai le vrai père, attends-moi ici, les rues sont terribles, il y a des hommes barbus à l’affût et des médecins qui te font souffrir en t’extirpant des organes avec leurs bistouris extrêmement acérés, et les chiens des docteurs poursuivent les gens qui marchent dans les rues la nuit et qui n’ont ni identité ni domicile connu, l’obscurité du dehors n’est pas comme l’obscurité de cette Maison, Iris, le noir de là-bas est celui des gens qui ne savent pas où crever, comme on dit, et qui ne savent pas où crever parce que cette obscurité est le vide qui engloutit, et on tombe en criant et on n’arrête plus jamais de tomber en criant et de crier et de tomber et de tomber car il n’y a pas de fond, et puis la voix se perd mais on continue à tomber dans cette infinité de rues vertigineuses avec des noms que tu ne connais pas, pleines de figures de gens qui riront de toi, qui vivent dans des maisons où ils ne vont pas te laisser entrer et qui font des choses que tu ne comprends pas, ne t’approche pas davantage, Iris, ne me touche pas ainsi en te frottant contre mon corps, tu mets ta main sur mon sexe, non, Humberto, ne permets pas à Iris de continuer à te toucher car elle va briser ton masque, si tu ne fuis pas, tout va s’écrouler et tu devras redevenir un toi-même dont tu ne te rappelles plus où il réside ni qui il est, tu approches de ma bouche tes lèvres épaisses et tes cuisses fouillent entre mes pauvres jambes maigres et tremblantes, ta main cherche mon sexe et ouvre les boutons de ma braguette, ne lui permets pas de te retransformer en Humberto Peñaloza avec son intolérable fardeau de nostalgie, fuis, empêche ton sexe de se réveiller sous la pression de ces paumes charnues, ne réponds pas à sa langue qui explore ta bouche et ta langue, reste inerte dans le coin où ses seins et ses hanches te pressent, Humberto n’existe pas, le Mudito n’existe pas, il n’y a que la septième vieille.
Te encoges de hombros con un gesto que desprecia mi temor de la intemperie que no quiero que desprecies porque necesito que lo hagas tuyo, por lo menos ahora, esta noche: te hablo, me escuchas, te explico que todo lo del Gigante fue una farsa porque el verdadero padre se escondía dentro de Romualdo, que no era más que otra máscara como la del Gigante que ella vio que destruyeron, ahora hay que destruir la máscara de cartonpiedra de Romualdo para encontrar al otro adentro, al verdadero padre de tu hijo, vive en su palacio de fierro y cristal, lo puedes ver desde tu ventana; uno de esos palacios que despiden haces de luz que tratas de atrapar con tus manos para encaramarte a ellos, no tendrás para qué encaramarte a un haz de luces, Iris, yo destruiré la máscara de Romualdo y te traeré al verdadero padre, espérame aquí, las calles son terribles, hay hombres barbudos que acechan y médicos que hacen sufrir al extirparte órganos con sus bisturís finísimos, y los perros de los doctores persiguen a la gente que anda por la calle de noche y no tiene identificación ni domicilio conocido, la oscuridad de afuera no es como la oscuridad de esta casa, Iris, esa oscuridad de allá es la de la gente que no tiene ni donde caerse muerta como dicen y no tiene donde caerse muerta porque esa oscuridad es el vacío que traga y uno cae gritando y nunca deja de caer gritando y gritando y cayendo y cayendo porque no hay fondo, hasta que la voz se pierde pero uno sigue y sigue cayendo en esa infinidad de calles vertiginosas con nombres que tú no conoces, llenas de caras de gente que se reirán de ti, que viven en casas donde no te van a dejar entrar y hacen cosas que tú no entiendes, no te acerques más, Iris, no me toques así, no, Humberto, no permitas que la Iris siga tocándote porque va a romper tus disfraces, si no huyes tendrás que volver a ser un tú mismo que ya no recuerdas dónde está ni quién es, acercas tus labios gordos a mi boca y tus muslos hurgan entre mis pobres piernas flacas que tiemblan, no le permitas que te transforme en Humberto Peñaloza con su carga de nostalgia intolerable, huye para que tu sexo no despierte con la presión de esas palmas carnosas, que no responda a su lengua que explora tu boca y tu lengua, mantenerte yerto en el rincón donde sus tetas y sus caderas te aprietan. Humberto no existe, el Mudito no existe, existe sólo la séptima vieja.
transformadas
Mr. Meakle s’était retransformé.
El señor Meakle se había transformado.
— Pourtant, objectai-je, j’ai connu entre-temps des moments de bonheur parfait. J’aurais donc dû me retransformer depuis longtemps.
—Pero —objeté—, entretanto he tenido momentos de felicidad absoluta, o sea que tendría que haberme transformado hace mucho.
Certains indices laissaient supposer qu’un immense mécanisme avait été utilisé pour déchiqueter la planète en la faisant tourner : des arcs, des pics et des enroulements qui étaient sur le point d’être démantelés et retransformés en une nouvelle machinerie.
Había insinuaciones de un mecanismo inmenso que se había utilizado para hacer girar el planeta hasta destrozarlo: arcos, cúspides y espirales que estaban en proceso de ser desmantelados y transformados de nuevo en una maquinaria nueva.
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