Translation for "rebord" to spanish
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Brida nettoya la neige sur le rebord d’une fenêtre.
Brida limpió la nieve en la barandilla de una ventana.
Avec la plus grande prudence, Dil Bahadur chercha avec le pied, jusqu’à ce qu’il trouve un mince rebord le long du mur.
Con grandes precauciones, Dil Bahadur buscó con el pie hasta que encontró una delgada pestaña a lo largo de la pared.
Elle tendit la main, le toucha, explora son rebord et ses côtés, puis elle glissa un doigt sous une languette et tira un des tiroirs sur quelques centimètres, puis le repoussa silencieusement dans son logement.
Tendió la mano y lo tocó, la pasó por la parte superior y por el lado, deslizó el dedo por debajo de una pestaña y abrió uno de los cajones unos cuantos centímetros para después volver a empujarlo en silencio.
Elle était assise sur le rebord, près de lui, entourée de sa serviette, et de temps en temps il posait un baiser sur sa cuisse, les cheveux ruisselants, tranquille, avec de grands yeux noirs gambergeurs, des cils incroyables, des muscles longs qui saillaient sous la peau.
Ella estaba sentada en el borde, envuelta en su toalla y él —con el pelo chorreante, tranquilo, con sus grandes ojos, con sus pestañas increíbles y sus largos músculos que destacaban bajo la piel— depositaba, de vez en cuando, un beso en su muslo.
Saisissant l’offrande entre ses mains de nuit, elle but d’un trait, avec gratitude, ses longs cils frôlant le rebord du gobelet de carton élastique et froid, puis, dans un geste enfantin qui était plus émouvant que la plus sensuelle des caresses, la petite Lolita essuya ses lèvres sur mon épaule.
Tomó el vaso de papel blando y frío con su mano umbrosa y tragó su contenido agradecida, con sus largas pestañas dirigidas hacia el vaso. Después, con ademán infantil más encantador que cualquier caricia carnal, Lolita secó sus labios contra mi hombro.
haletant, l’adrénaline giclant dans tout mon corps, je n’arrive pas à voir grand-chose, quelques maisons, en partie à cause de la panique, mais surtout à cause du sang et des morceaux de cervelle, des bouts d’os qui couvrent le pare-brise, et je manque de peu un autre taxi au coin de Franklin et Greenwich — je pense —, faisant une embardée brutale sur la droite, emboutissant le flanc d’une limousine garée, puis passe la marche arrière et recule tout au long de la rue, faisant crisser les pneus, et mets les essuie-glaces en marche, me souvenant trop tard que le sang qui inonde la vitre est à l’intérieur, tentant de la nettoyer avec ma main gantée, avant de foncer aveuglément dans Greenwich, où je perds complètement le contrôle de la voiture qui slalome et finit sa course dans une épicerie coréenne, à côté d’un restaurant karaoké appelé Lotus Blossom, où je suis déjà allé avec des clients japonais, et le taxi écrase des étals de fruits, défonce un mur de verre, le corps d’un caissier heurte le capot avec un bruit sourd, et Patrick tente d’enclencher la marche arrière, mais rien ne se passe, alors il sort du taxi en titubant, s’appuie contre la voiture, murmurant « Bravo, Bateman », dans un silence à vous briser les nerfs, puis sort du magasin en boitillant, pendant que l’homme gémit et agonise sur le capot, et Patrick ne comprend pas d’où sort le flic qui se précipite vers lui de l’autre côté de la rue, criant dans son talkie-walkie, s’imaginant qu’il est assommé, mais avant qu’il ait eu le temps de dégainer son arme, Patrick lui envoie un grand coup de poing qui l’étend sur le trottoir... où se tiennent à présent les gens sortis du Lotus Blossom, regardant la bagarre d’un œil bovin, personne ne faisant mine d’aider le flic qui, au-dessus de Patrick, la respiration sifflante, tente de lui arracher le magnum, mais Patrick se sent empoisonné, comme si c’était de l’essence qui courait dans ses veines, et non du sang, il sent le vent qui se lève, la température qui chute, la pluie qui commence à tomber, tandis qu’ils roulent doucement sur la rue, et Patrick se dit sans cesse qu’il devrait y avoir de la musique et, avec un coup d’œil démoniaque, le cœur battant, il parvient sans difficulté à élever l’arme, tenue par deux paires de mains, jusqu’au visage du flic, et lorsqu’il appuie sur la gâchette, la balle lui érafle le cuir chevelu, sans le tuer, alors il vise un peu plus bas, car les doigts du flic se sont un peu relâchés autour de l’arme, et lui tire en pleine figure, la balle faisant naître une espèce de vapeur rosée, tandis que des gens sur le trottoir se mettent à crier, sans intervenir, se cachent, rentrent en courant dans le restaurant, et que la voiture de police à laquelle Patrick pensait avoir échappé dans la ruelle arrive droit sur l’épicerie, coupant la route, le gyrophare rouge clignotant, et s’arrête dans un crissement de pneus à l’instant où Patrick trébuche sur le rebord du trottoir et s’effondre à terre, tout en réarmant le magnum, avant de se dissimuler dans un renfoncement, de nouveau envahi par une terreur qu’il pensait avoir vaincue, pensant « qu’est-ce que j’ai pu donc faire de particulier pour être pris maintenant, j’ai tué un saxophoniste ? Un saxophoniste ? Qui était sans doute mime, aussi ? Et voilà ce que ça me coûte ? » et au loin il entend à présent d’autres voitures qui arrivent, dans le dédale des rues, et maintenant les policiers, ceux qui sont ici, ne se donnent plus la peine de le semoncer, ils tirent, et il riposte, apercevant rapidement deux flics tapis derrière la portière ouverte de la voiture de patrouille, des éclairs bleus qui éclatent comme dans un film, ce qui lui fait prendre conscience qu’il est impliqué dans une véritable bataille rangée, essayant d’éviter les balles, que le rêve menace d’exploser, que ce n’est plus un rêve, qu’il vise mal, n’importe comment, se contentant de répondre coup pour coup, allongé sur le sol, lorsqu’une balle perdue, la sixième d’une nouvelle cartouche, atteint le réservoir de la voiture de police, dont les phares pâlissent un instant avant qu’elle n’explose, en une boule de feu qui monte vers les ténèbres, faisant éclater l’ampoule du réverbère au-dessus, dans un jaillissement imprévu d’éclairs jaune-vert, tandis que les flammes déferlent sur les policiers, les vivants et les morts et les oreilles de Patrick résonnent... tandis qu’il court vers Wall Street, à Tribeca, toujours, évitant les zones trop éclairées, les réverbères trop puissants, remarquant au passage que tout le pâté d’immeubles qu’il longe à présent a été réhabilité et, passant devant une rangée de Porsche garées, il tente de les ouvrir toutes, et déclenche une série d’alarmes, mais ce qu’il voudrait voler, c’est une Range-Rover noire 4 x 4 à carrosserie en aluminium d’avion sur châssis d’acier embouti et moteur diesel V8 à injection, mais il n’en trouve pas, et non seulement c’est une déception, mais le tourbillon des choses le saoule aussi, la ville elle-même, la pluie qui tombe d’un ciel de glace, mais tombe tiède sur la ville, sur le sol, et le brouillard qui dérive entre les passages aériens des gratte-ciel de Battery Park, de Wall Street, peu importe, car la plupart ne sont plus que la vision brouillée d’un kaléidoscope, et maintenant il saute un remblai, culbute par-dessus le remblai, et court comme un fou, court à mort, le cerveau tendu dans la force ultime de la panique, de la panique pure, de la fuite éperdue, et maintenant, il croit qu’une voiture le poursuit sur une autoroute déserte, et maintenant il sent que la nuit veut bien de lui, et l’on entend un coup de feu, quelque part, mais son cerveau ne l’enregistre pas vraiment, car il est court-circuité, il oublie d’être un cerveau, jusqu’à ce que, comme un mirage, apparaisse un immeuble de bureaux, Pierce & Pierce, où les lumières s’éteignent étage après étage, comme si l’obscurité l’envahissait par la base, encore cent mètres, encore deux cents mètres, il dévale des escaliers, il ne sait pas où, l’esprit engourdi par la terreur et l’effarement, pour la première fois et, abasourdi, s’engouffre dans le hall d’un immeuble, de son immeuble, croit-il, mais, non, quelque chose ne va pas, mais quoi, qu’est-ce que c’est, tu as déménagé (le déménagement en soi avait été un cauchemar, bien que Patrick jouisse d’un bureau plus agréable à présent, et que les boutiques Barney’s et Godiva nouvellement installées dans le hall lui facilitent bien la vie), et il s’est trompé d’adresse, mais ce n’est qu’en arrivant aux portes...
Y alzando la pistola hacia su cara, aprieto el gatillo, la bala le abre la cabeza en dos, como si fuera una sandía rojo oscuro, aplastándosela contra el parabrisas, y abro la puerta, empujo el cadáver fuera, cierro de un portazo, me pongo a conducir… … la descarga de adrenalina me hace jadear y sólo consigo avanzar unas cuantas manzanas de casas, en parte debido al pánico que me domina, pero fundamentalmente debido a la sangre, sesos, trozos de cabeza que cubren el parabrisas, y apenas consigo evitar el choque contra otro taxi en la esquina de Franklin -¿es Franklin?– con el Greenwich, torciendo violentamente hacia la derecha, y paso rozando el costado de una limusina aparcada, luego meto marcha atrás, avanzo chirriando por la calle, conecto los limpiaparabrisas, dándome cuenta entonces de que la sangre del cristal está por dentro, por lo que intento limpiarla con la mano enguantada y avanzo rápidamente y casi a ciegas por el Greenwich hasta que pierdo el control por completo y el taxi se desvía y alcanza una tienda coreana, cerca de un restaurante karaoke que se llama Lotus Blosson en el que había estado con unos clientes japoneses, mi ntras el taxi derriba los estantes de fruta, atraviesa una pared de cristal, el cuerpo del cajero choca contra el capó, Patrick trata de meter la marcha atrás, pero no entra, se baja del taxi, se apoya en él, sigue un silencio en el que se impone el nerviosismo. –Buena la has hecho, Bateman -murmura, mientras sale cojeando de la tienda, mientras el cuerpo del capó se queja, agonizando, Patrick no tiene ni idea de dónde ha salido el policía que se le acerca corriendo desde el otro lado de la calle y grita algo por un transmisor portátil, creyendo que Patrick está aturdido, pero Patrick le sorprende echándosele encima antes de que el policía pueda sacar el arma y los dos caen juntos en la acera… … donde ahora hay clientes del Lotus Blosson que miran en silencio los daños, aunque ninguno ayuda al policía mientras los dos hombres pelean en la acera, el policía jadeando por el esfuerzo encima de Patrick, tratando de agarrar la pistola, pero Patrick se nota inflamado, como si por las venas le corriera gasolina en lugar de sangre, y hace más viento, la temperatura baja, empieza a llover, y los dos ruedan suavemente hasta la calzada, Patrick, sin dejar de pensar en que debería haber música, hace un gesto demoníaco, con el corazón latiéndole muy deprisa y se las arregla con bastante facilidad para llevar la pistola a la cara del policía, mientras dos pares de manos la sujetan, pero Patrick aprieta el gatillo, la bala alcanza superficialmente la cabeza del policía pero no le mata, aunque bajando el cañón cuando el policía afloja la presa, Patrick le dispara en la cara, y la bala al salir despide una neblina rosácea que queda en el aire mientras algunas de las personas de la acera gritan, sin hacer nada, vuelven a meterse en el restaurante corriendo, mientras el coche de la policía del que Patrick había escapado en el callejón se dirige rápidamente hacia la tienda, con las luces rojas lanzando destellos, haciendo rechinar los neumáticos al detenerse cuando Patrick tropieza con el bordillo y cae en la acera, al mismo tiempo que vuelve a cargar la pistola y se oculta detrás de la esquina mientras el terror que creía superado le domina nuevamente y piensa: «No tengo ni idea de lo que he hecho para aumentar mis oportunidades de que me atrapen, ¿liquidar de un tiro a un saxofonista?, ¿un saxofonista?, ¿no sería también mimo?, ¿le he liquidado por eso?», y a cierta distancia oye que llegan otros coches, mientras trata de perderse en el laberinto de calles, cuando ahora los policías, aquí mismo, ya no se molestan en hacer advertencias y se ponen a disparar y él les devuelve el fuego, tumbado cuerpo a tierra, mientras contempla a los dos policías que están detrás de las puertas abiertas del coche, disparando como en una película, lo que hace que Patrick se dé cuenta de que está implicado en un tiroteo de verdad, que trata de evitar las balas, que el sueño amenaza con desaparecer, que desaparece, que no apunta con cuidado, que se limita a devolver los disparos, allí tumbado, cuando una bala perdida, la sexta de una nueva descarga, alcanza el depósito de la gasolina del coche de la policía cuyos faros se apagan antes de que el vehículo salte por los aires como una bola de fuego que inflama la oscuridad mientras una farola situada encima explota inesperadamente con chispas amarillas y verdes, llamas que alcanzan los cuerpos de los policías, vivos y muertos, destrozando todas las ventanas de Lotus Blosson, y a Patrick le zumban los oídos… … mientras corre hacia Wall Street, todavía en Tribeca, y se mantiene alejado de donde las farolas brillan con más fuerza, se fija en que la manzana entera por la que avanza dando tumbos es de clase alta, luego pasa muy deprisa junto a una hilera de Porches, trata de abrirlos uno a uno y pone en funcionamiento una cadena de alarmas de coches, el coche que quiere robar es un Ranger Rover negro con tracción en las cuatro ruedas, con una carrocería de aluminio digna de un avión y chasis de aluminio encastrado y un motor de inyección de ocho cilindros en V, pero no encuentra ninguno, y aunque esto le decepciona, también "está embriagado por el torbellino de confusión, por la propia ciudad, por la lluvia que cae del cielo gélido como la nieve aunque aún resulta cálida en la ciudad, en el suelo, por la niebla que se desliza entre los rascacielos de Battery Park, Wall Street, donde sea, muchos de ellos un borrón caleidoscópico, y ahora salta a un dique, da una vuelta de campana sobre él, y luego corre como un loco, corre a toda velocidad, con la mente bloqueada por el esfuerzo físico de un pánico intenso, absoluto, ahora piensa que le sigue un coche por una autopista desierta, ahora nota que la noche le acepta, se oye un disparo que llega desde algún sitio pero la verdad es que no lo registra porque la mente de Patrick no está sincronizada, ha olvidado su destino, hasta que, como un espejo, el edificio de su oficina, donde está situada Pierce Pierce, le salta a la vista, con sus luces apagándose piso a piso como si la oscuridad ascendiera por él, tiene que correr otros cien metros, doscientos metros, meterse por la escalera, debajo ¿de dónde?, con sus sentidos bloqueados por primera vez por el miedo y el desconcierto, y dominado por la confusión entra corriendo en el vestíbulo de lo que cree que es el edificio de su oficina, pero no, algo parece equivocado, ¿el qué?, te cambiaste (el propio cambio fue una pesadilla aunque Patrick avara tenga un despacho mejor, con las tiendas nuevas de Barney's y Godiva junto a…) y ha entrado en un edificio equivocado, es sólo en el ascensor… … cuyas puertas están cerradas, donde se da cuenta, por el enorme Julian Schnabel que hay en el vestíbulo, que se ha equivocado de edificio 7, da media vuelta, corriendo, enloquecido, de vuelta a las puertas giratorias, pero el vigilante nocturno que antes ha tratado de atraer la atención de Patrick, ahora le hace señas con la mano cuando está apunto de salir del vestíbulo. –Qué, quemándose las pestañas, ¿mister Smith?
Il se frotta sur le rebord de la chaise.
Se frotó en el reborde de la silla.
Nous avons vu l'éraflure sur le rebord.
vimos la mella en el reborde.
Il s’essuya contre le rebord de la fenêtre.
Se limpió contra el reborde de la ventana.
Regarde sur le rebord de la fenêtre.
Mira a lo largo del reborde de la ventana.
Il y avait un rebord de pierre : au-delà, le vide.
Había un reborde de piedra, y más allá el vacío.
Des moineaux sautillaient sur le rebord de la fenêtre.
Unos gorriones brincaban en el reborde de la ventana.
Le socle qui supportait la danseuse était muni en effet d’un rebord circulaire.
Porque el pedestal sobre el que estaba la bailarina tenía un reborde circular.
Je m'assis sur un rebord étroit pour ôter mes chaussures et répondis:
me senté en un reborde angosto y me saqué las botas.
JESSICA J'étais assise sur le rebord de la fenêtre et j'ai tout entendu.
JESSICA.—Estaba sentada en el reborde de la ventana y lo oí todo.
Il y avait des toiles d’araignée dans les coins et des couches de poussière sur les rebords.
Había telarañas por los rincones y capas de polvo en los rebordes.
 Je suis sur le rebord de la faille.
—Estoy en el borde de la grieta.
Je me suis assis sur le rebord du lit.
Me senté en el borde de la cama.
Cette traînée sombre sur le rebord.
Y una mancha oscura en el borde.
Il s’assied sur le rebord de la baignoire.
Se sienta en el borde de la bañera.
Il s'était assis sur le rebord du lit.
Él se sentó en el borde de la cama.
À côté d'eux on nettoyait le rebord.
Junto a el os, estaban despejando el borde.
    Elle s'assit sur le rebord de la baignoire.
Se sentó en el borde de la bañera.
Il l’étendit sur le rebord du casier ;
Lo dejó en el borde del depósito;
Il s’est assis sur le rebord de la chaise.
Se sentó en el borde de la silla.
et je m’assois sur le rebord de son bureau.
—y acercándome a su escritorio me senté en el borde.
Je levai un sourcil interrogateur, mais Beth secoua la tête en s’appuyant contre le rebord d’un plan de travail, sa tasse dans les mains.
Alcé una inquisitiva ceja, pero Beth negó con la cabeza mientras se sentaba sobre el mármol de la cocina y sostenía su taza entre las dos manos.
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