Translation for "rades" to spanish
Translation examples
Il se rangea sur le bas-côté pour contempler les navires en rade.
Aparcó a un lado de la carretera para contemplar los barcos atracados.
Des tronçons entiers étaient bloqués par des véhicules en rade, l'obligeant à quitter l'autoroute ;
Partes de la autopista estaban sembradas de coches abandonados, lo cual le obligó a tomar la carretera de acceso.
Je tapai au plafond, du bout de mon balai, les trois coups informant Olivier que j’étais rentrée. Mais sans doute avait-il repéré, en passant, ma voiture laissée en rade.
Cogí una escoba y golpeé con ella el techo para indicarle a Olivier que había vuelto, aunque ya se lo debía de haber imaginado al ver el coche abandonado en la carretera.
On nous indiqua enfin un navire faisant le service des Indes orientales qui se profilait dans la rade ; il devait appareiller vers Trincomalee et les îles des épices.
Al final alguien nos señaló un buque de la Compañía de las Indias Orientales que estaba fondeado precisamente al borde de la carretera, listo para zarpar rumbo a Trincomalee y a las islas de las especias.
À peu près tous les deux mois, je prenais la Route 2 depuis Orono à bord de mon vieux break défoncé (ou en stop quand il était en rade, ce qui arrivait fréquemment) et je retroussais ma manche.
Cada dos meses poco más o menos iba desde Orono por la Carretera 2 en mi destartalada ranchera (o en autostop cuando se averiaba, cosa que ocurría con frecuencia) y me remangaba.
Je suis tombée en panne d’essence et me suis retrouvée en rade sur une route de campagne, à une heure seulement de la maison, jusqu’à ce qu’une femme d’un certain âge s’arrête, m’emmène jusqu’à la station-service la plus proche et me donne un dollar en me disant d’être un peu plus prévoyante la prochaine fois.
Se me acabó la gasolina y me quedé tirada en una carretera rural apenas a una hora de casa, hasta que una mujer mayor se paró, me prestó un dólar y me llevó a la gasolinera, no sin antes decirme que debía «planearlo mejor la próxima vez».
Ils finirent leur dîner, reprirent la route sans hâte, au petit trot de Deux-Chevaux, il y avait peu de circulation sur la route, sans doute à cause des difficultés d’approvisionnement en essence, heureusement pour eux, leur moteur était très frugal, Mais il n’est pas exclu qu’on reste en rade quelque part, alors le voyage sera bien fini, observa Joaquim Sassa, et, se remémorant subitement quelque chose, Pourquoi as-tu dit que les étourneaux sont sûrement partis, N’importe qui est capable de percevoir la différence entre adieu et au revoir, ce que j’ai vu était un adieu, Mais pourquoi, Je ne saurais dire, pourtant il y a une coïncidence, les étourneaux sont partis quand Joana est apparue, Joana, C’est son nom, Tu pouvais dire la fille, la nana, la petite, c’est ainsi que la pudeur masculine parle des femmes quand il serait trop intime de les appeler par leur nom, Ma sagesse, comparée à la tienne, en est encore à ses balbutiements mais, comme tu viens de le constater, j’ai dit son nom tout à fait naturellement, preuve que mon moi intime n’a rien à voir là-dedans, Sauf si tu es, en fin de compte, beaucoup plus machiavélique que tu n’en as l’air, faisant comme si tu voulais prouver le contraire de ce que tu penses ou de ce que tu sens, pour que je croie que ce que tu penses ou ce que tu sens est précisément ce que tu veux sembler prouver, je ne sais si j’ai été clair, Pas vraiment, mais ça n’a pas d’importance, la clarté et l’obscurité sont la même ombre et la même lumière, l’obscur est clair, le clair est obscur, et si quelqu’un se croit capable de dire en fait et exactement ce qu’il sent ou ce qu’il pense, je te supplie de ne pas le croire, car ce n’est pas qu’on ne veuille pas le faire, c’est qu’on ne peut pas, Alors pourquoi les gens parlent-ils autant, C’est la seule chose qu’on puisse faire, parler, et on ne peut même pas appeler ça parler, tout n’est qu’expérimentations et tentatives, Les étourneaux sont partis, Joana est arrivée, une compagnie s’en est allée, une autre est venue, tu peux te vanter d’avoir de la chance, Ça ça reste encore à prouver.
Acabaron de cenar, volvieron al camino sin prisas, con el trote corto de Dos Caballos, en la carretera había poco tráfico, quizá por las dificultades de aprovisionamiento de gasolina, suerte tenían con la frugalidad de aquel motor, Pero no estamos libres de quedamos tirados por ahí, entonces sí que se acabó el viaje, observó Joaquim Sassa, y súbitamente recordando, Por qué dijiste que los estorninos se han ido definitivamente, Cualquiera ve la diferencia entre un adiós y un hasta luego, y lo que yo vi fue un adiós, Pero por qué, No lo sé decir, pero hay una coincidencia, los estorninos se fueron en cuanto apareció Joana, Joana, Así se llama, Podías haber dicho la mujer esa, la chica, la muchacha, así se expresa el pudor masculino cuando decir el nombre de una mujer podría resultar demasiado íntimo, Comparado con tu sabiduría, yo estoy aún en el parvulario, pero, como acabas de comprobar, dije su nombre con toda naturalidad, prueba de que mi intimidad no tiene nada que ver con el caso, Salvo si resultas mucho más maquiavélico de lo que aparentas, intentando probar lo contrario de lo que realmente piensas o sientes para que yo crea que lo que sientes o piensas es precisamente lo que pareces querer probar, no sé si queda claro, No queda claro, pero es igual, claridad y oscuridad son la misma sombra y la misma luz, lo oscuro es claro, lo claro es oscuro, y en cuanto a que alguien sea capaz de decir realmente con exactitud lo que siente o piensa, te ruego que no lo creas, no es porque no se quiera, es porque no se puede, Entonces por qué las personas hablan tanto, Eso es lo único que podemos hacer, hablar, hablar, o ni siquiera hablar, todos son experimentos y tentativas, Se fueron los estorninos, vino Joana, se fue una compañía, otra llegó, puedes decir que eres hombre de suerte, Eso aún falta verlo.
J’en doute, il faudra que je me renseigne au département de zoologie, mais je parie que l’orgasme féminin a constitué une découverte de l’homo sapiens… ou de la mulier sapiens… et nous avons développé des pénis plus grands que ceux des primates grâce à la sélection naturelle, les femmes ayant tendance à choisir les partenaires les mieux montés… par ailleurs rien ne clochait chez Tom de ce côté-là, je le savais pour l’avoir vu pisser dans les prés, il possédait l’outillage, seulement il ne savait pas s’en servir pour faire jouir une femme… Ça, Martha me l’a enseigné et je lui en suis infiniment reconnaissant, comme l’étaient maintes femmes dont le chemin a croisé le mien par la suite et qui ne savaient pas à qui aurait dû aller leur gratitude pour les bons moments que je leur procurais… comment appeler ça du viol, si elle n’avait fait que se servir de moi elle aurait été furieuse lorsque j’ai répandu mon sperme sur elle dès qu’elle a pris mon pénis dans sa main, alors qu’elle s’est bornée à rire, à me dire : « T’en fais pas, chéri », et m’a caressé et branlé jusqu’à ce que je me remette à bander… à la fin de mon séjour j’étais devenu capable de rester en elle un quart d’heure sans éjaculer, en me récitant mentalement des formules chimiques… entre parenthèses, même s’il existe des familles de primates lubriques qui ont découvert l’orgasme des femelles, ça m’étonnerait que les mâles retardent délibérément leur éjaculation afin de prolonger le plaisir de la partenaire… Celui de Martha était si fort qu’elle avait ensuite des larmes de joie dans les yeux… Je préfère peut-être baiser des femmes mûres plutôt que des jouvencelles à cause de ma première expérience avec Martha… elles se montrent si reconnaissantes qu’on en est tout fier… et du point de vue physiologique elles sont plus aptes à l’orgasme… on a recommencé six ou sept fois, quand Tom allait au pub… dès que le bruit de sa camionnette s’éteignait sur l’autre versant de la colline on se précipitait en haut… Mais, un soir, il est arrivé précisément ce que je redoutais, la camionnette est tombée en rade sur la route, Tom est revenu à pied à la ferme pour téléphoner à un dépanneur et on a entendu la grille grincer alors qu’on s’envoyait en l’air sur mon lit, bon sang il s’en est fallu de peu, elle a tout juste eu le temps de se rhabiller et m’a dit de rester couché, de faire semblant de me sentir mal… ensuite, on avait trop peur pour continuer nos galipettes, moi, en tout cas… J’étais sûr que Tom me collerait une sacrée dérouillée s’il nous prenait sur le fait, et je me voyais déjà renvoyé honteusement à la maison et obligé de faire des aveux à mes parents, une perspective encore plus effrayante… Après les vacances, j’ai tout raconté à mon meilleur copain qui a refusé de me croire, il pensait que c’était pure invention : « T’es un foutu menteur, Messenger », m’a-t-il dit.
Torn le ofreció una casa propia, con una tele en color y carta blanca para encargar una cocina equipada moderna, y algo en el aspecto pausado y silencioso y moreno de Torn la atrajo como un héroe de western, pero el lado físico del matrimonio la decepcionó desde el principio… «Llega de pasar demasiado tiempo con ovejas, para él es como tirarse a una, un rápido mete-y-saca…», sin pensar para nada en el placer de Martha… siendo ese pensar la palabra clave, pues lo que distingue la sexualidad humana de la de los animales es precisamente que nosotros podemos pensar en ella, por eso la disfrutamos y disfrutamos del placer del otro… Miras a dos perros copulando en la calle o a dos monos en una jaula o a un carnero montando a una oveja, y los machos puede que sientan cierto alivio, quizás, como el de rascarse un picor, o cagar o mear, pero no es la idea de placer precisamente la que te viene a la cabeza, mientras que las hembras parecen meramente resignadas a soportarlo… ¿Tienen orgasmos las hembras animales? Lo dudo, tengo que preguntar a alguien en Zoología, pero apuesto a que el orgasmo hembra fue un descubrimiento del Homo sapiens… o de la Mulier sapiens… y nosotros desarrollamos penes más grandes que los simios por selección natural, las mujeres tienden a escoger a compañeros que los tengan grandes… no es que esto tuviera nada que ver con Tom, como yo sabía de verle mear en la colina, tenía los avíos pero no sabía cómo usarlos para hacer gozar a una mujer… Martha me lo enseñó y le estoy eternamente agradecido, como lo estaban muchas mujeres posteriores que no sabían a quién tenían que agradecérselo por los buenos ratos que les hice pasar… no puedes llamarlo abuso, si ella me hubiera estado explotando se habría enfurecido cuando yo me corría todo por encima de ella en el momento en que ella me cogía el pene con la mano, pero se limitaba a reírse y decía «No te apures, amor», y me acariciaba y tocaba hasta que se volvía a poner duro… Al final de mi estancia era capaz de permanecer dentro de ella durante quince minutos sin correrme, por el procedimiento de recitar en silencio fórmulas físicas para mi coleto… dicho sea de paso, aunque exista alguna especie de chimpancés cachondos que han descubierto el orgasmo de las hembras, apuesto a que los machos no postergan adrede la eyaculación para prolongar el placer de ellas… Martha gozaba tanto del acto que luego se le saltaban lágrimas de júbilo… Creo que quizás me gusta más follar con mujeres maduras que con jovencitas debido a mi primera experiencia con Martha… te lo agradecen tanto que te sientes orgulloso… y fisiológicamente tienen una mayor capacidad para el orgasmo… lo hacíamos seis o siete veces más por las noches, cuando Tom se iba al pub… en cuanto el sonido de su camioneta se apagaba al remontar la cima de la cuesta subíamos arriba… Pero una noche ocurrió lo que yo había temido, que la camioneta se averió en el camino a la taberna y él volvió a casa andando para telefonear a ayuda en carretera y oímos crujir la cancela cuando estábamos los dos en mi cama. Cristo, nos libramos por un pelo, ella se vistió a toda prisa y me dijo que me quedara en la cama y fingiera que no me encontraba bien… después de aquello estábamos tan asustados que no volvimos a hacerlo, yo por lo menos lo estaba… No me cabía duda de que Tom me habría dado una paliza si me hubiera pillado in fraganti, y yo tenía visiones de que me mandaban de regreso a casa deshonrado y tenía que confesarlo a mis padres, lo cual era una perspectiva todavía peor… Después de las vacaciones se lo conté todo a mi mejor amigo del colegio y él no quiso creerme, creyó que me lo había inventado, «Eres un puto mentiroso.
Cette baie se divise en deux rades allongées, la rade de Tampa et la rade d’Hillisboro, dont le steamer franchit bientôt le goulet.
Dicha bahía se divide en dos radas prolongadas: la rada de Tampa y la rada de Hillisboro, por cuya boca penetró el buque.
des ports de guerre, des criques, des bassins de radoub, des rades, des darses, des chenaux, des môles ;
puertos de guerra, ensenadas, diques de carena, radas, dársenas, canales, muelles;
Bientôt d’autres bâtiments, de toute forme et de tout tonnage, chargés de vivres, d’approvisionnements, de marchandises, sillonnèrent la baie et les deux rades ;
Otros buques de todas clases, cargados de víveres, provisiones y mercancías, surcaron luego la bahía y las dos radas;
Après avoir englobé le fort Brooke dans un réseau de rues, elle s’allongeait maintenant sur cette langue de terre qui sépare les deux rades de la baie d’Espiritu-Santo ;
Después de envolver en una red de calles el fuerte Broke, se fue prolongando por la lengua de tierra que separa las dos radas de la bahía del Espíritu Santo.
On a calculé qu'en salves, politesses royales et militaires, échanges de tapages courtois, signaux d'étiquette, formalités de rades et de citadelles, levers et couchers de soleil salués tous les jours par toutes les forteresses et tous les navires de guerre, ouvertures et fermetures de portes, etc., etc., le monde civilisé tirait à poudre par toute la terre, toutes les vingt-quatre heures, cent cinquante mille coups de canon inutiles.
Se ha calculado que en salvas, cortesías reales y militares, intercambio de alborotos corteses, señales de etiqueta, formalidades de radas y de ciudades, salvas hechas diariamente por todas las fortalezas y todos los buques de guerra al salir y ponerse el sol, a la apertura y clausura de los puertos, etc., etc., el mundo civilizado gasta en pólvora, cada veinticuatro horas, ciento cincuenta mil tiros de cañón inútiles.
Fasciné, tremblant d’émotion, Rat d’eau avait suivi pas à pas l’aventurier par les baies houleuses, les rades encombrées de navires, les bancs de sable qui barrent l’entrée des ports, sur lesquels s’élance la marée, en remontant les rivières sinueuses qui cachent leurs petites villes pleines de vie au détour d’un méandre ; il le laissa avec un soupir de regret installé dans sa petite ferme de l’intérieur, sur laquelle il n’avait rien envie d’entendre. A ce moment, le repas était terminé ;
Embelesada y temblando de emoción, la Rata de Agua siguió legua a legua a la Aventurera, por bahías tormentosas, por radas frecuentadas, cruzando las barras del puerto en marea alta, hasta llegar corriente arriba por ríos tortuosos que esconden atareados pueblecitos detrás de una curva inesperada. Y luego la dejó con un suspiro a las puertas de la granja gris, que no le interesaba en absoluto. Para entonces habían acabado de comer y la Marinera había descansado y repuesto fuerzas.
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