Translation for "quizième" to spanish
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Le moins conventionnel des quatre était James Watson, un prodige américain qui s’était distingué dans son enfance en participant à un programme de radio très suivi intitulé The Quiz Kids (qui devait inspirer J. D. Salinger pour la famille Glass dans Franny et Zooey), et était entré à l’université de Chicago à l’âge de quinze ans[892].
El menos convencional de los cuatro era lames Watson, un niño prodigio estadounidense que ya se había distinguido de muchacho como participante en un programa de radio muy popular llamado The Quiz Kids 15 (y podría así afirmar haber inspirado, al menos en parte, algunos de los miembros de la familia Glass de Frannie and Zooey y otras obras de J. Salinger) y que había ingresado en la Universidad de Chicago cuando sólo tenía quince años.
Et alors, à ce moment-là, avant de lui révéler mes soucis, je me suis souvenu de ma première visite chez Pico Molins, quelque huit ans plus tôt, quand, inquiet au plus haut point, je lui avais expliqué les douleurs qui affectaient tout mon abdomen, j’étais sûrement à deux doigts d’un ulcère perforé, et tandis que je me plaignais, Pico s’était contenté de se lever pour observer l’iris de mon œil et puis m’avait demandé de tirer la langue, au lieu de m’examiner minutieusement, au lieu de m’envoyer faire des analyses, il s’était contenté de regarder l’iris de mon œil et ma langue, ce qui n’avait fait bien sûr qu’aiguiser les pires soupçons en moi, d’autant qu’il avait enchaîné par une série de questions qui ressemblaient à un quizz pour enfants, comme de savoir si je préférais le froid ou le chaud, la viande ou le poisson, le rouge ou le bleu – c’est vraiment des conneries, avais-je alors pensé –, et pour couronner le tout il m’avait ensuite dit qu’il allait me prescrire quelques gouttes de sulfur 6 ch, une soixantaine au moins, que je devais mélanger dans un bol en étain avec de l’eau pure et dont je devais prendre trois petites cuillères par jour, et zut, moi qui me tordais de douleur et lui qui me parlais de prendre des gouttes… “Si vous voulez bien, nous en parlerons plus tard”, a dit don Chente en se levant et en me faisant signe de le suivre dans une pièce où il allait m’examiner, une petite salle d’auscultation avec un lit où je me suis retrouvé bientôt allongé, chemise et pantalon déboutonnés, aucun murmure de femmes en train de prendre le thé en jouant à la canasta ne se faisait entendre, et j’attendais que le médecin prenne son stéthoscope pour examiner mon abdomen, mes poumons, ma gorge, mes réflexes et ma tension, comme l’exigeait la procédure normale, et comme ne l’avait pas fait Pico Molins à notre premier rendez-vous, quand il s’était contenté de m’examiner l’iris et la langue, m’avait posé les petites questions suspectes, m’avait prescrit le flacon avec les gouttes de sulfur et m’avait dit que c’était tout, que je ne lui devais rien, sans me donner la moindre explication sur les maux dont je souffrais, ce qui avait tout d’abord provoqué en moi quelques secondes de stupeur, je lui étais reconnaissant parce que la consultation était gratuite mais j’étais surpris du manque d’explications sur ma maladie, jusqu’à ce que je finisse par réagir, en le priant de me révéler l’origine de mes maux, puisque c’était ce que n’importe quel médecin aurait fait normalement, mais Pico Molins était un peu bizarre, à vrai dire, et il s’est contenté de dire que j’avais une gastrite et une colite provoquées par une irritation généralisée de l’appareil digestif, ce qui vu la quantité de rhum que je buvais alors et le stress dont je souffrais était le minimum qui pouvait m’arriver, et que je devais en outre chercher une piscine pour aller nager, ou une autre façon de me détendre si je ne voulais pas terminer avec les tripes en compote.
Y entonces, en ese instante, antes de descoser mis infortunios, recordé mi primera visita a donde Pico Molins, unos ocho años atrás, cuando le expliqué con la mayor ansiedad los dolores que me aquejaban en todo el abdomen, que una úlcera me reventaría en cualquier instante, me quejaba yo, mientras Pico sólo se puso de pie para observar el iris de mi ojo y luego me pidió que sacara la lengua, en vez de revisar mi cuerpo con detenimiento, en vez mandarme a hacer estudios clínicos, tan sólo había visto el iris de mi ojo y mi lengua, lo que claro está que despertó la peor de mis sospechas, sobre todo cuando continuó con una serie de preguntas que parecía juego de infantes, como eso de si yo prefería el frío o el calor, la carne o el pescado, el color rojo o el azul —vaya estupidez, pensé entonces—, y por si esto fuera poco enseguida dijo que me recetaría unas gotitas de sulfur a la menos 60, las cuales debía preparar en un trasto de peltre con agua pura y de las que debía tomar tres cucharaditas al día, caramba, que para gotitas estaba yo con los dolores que padecía... «Si quiere, mejor conversamos después», dijo don Chente, poniéndose de pie e indicándome que lo siguiera a la habitación donde me revisaría, un pequeño cuarto con una cama para paciente en la que pronto estuve acostado, con la camisa y el pantalón desa botonados, sin escuchar murmullo alguno de las mujeres que tomaban té y jugaban a la canasta, en espera de que el médico tomara su estetoscopio para revisar mi abdomen, mis pulmones, mi garganta, mis reflejos y mi presión arterial, tal como las convenciones reclaman, y no como se comportó Pico Molins durante la primera visita que le hice, cuando nada más me observó el iris y la lengua, hizo las preguntitas sospechosas, me dio el frasco con las gotas de sulfur y me dijo que eso era todo, que no le pagara nada, sin darme la menor explicación sobre los males que me aquejaban, ante lo que por supuesto me quedé impávido unos segundos, agradecido porque la consulta me saliera gratis pero desconcertado ante la falta de explicaciones sobre mi enfermedad, hasta que reaccioné rogándole que por favor me revelara el origen de mis males, que es lo normal que todo médico haga, pero Pico Molins era un poco raro, a decir verdad, y sólo dijo que lo mío era una gastritis y una colitis producidas por la irritación generalizada del aparato digestivo, que con la cantidad de ron que entonces bebía y el stress que cargaba era lo menos que podía sucederme, y que buscara una piscina para nadar u otra forma de distraerme si no quería terminar con las tripas desolladas.
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