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Translation examples
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
Las moscas bordoneaban sobre ese vientre podrido,
Vous savez tout de cette affaire obscène… putride.
Conoce todo el asunto podrido, obsceno.
Avec sa grosse bedaine, ses dents pourries, son haleine putride ?
¿Éste con su barriga, con sus dientes podridos, con su aliento apestoso?
Maudits soient Lander et sa descendance putride jusqu’à la dixième génération.
Malditos sean Lander y su prole podrida hasta la décima generación.
Tu es aussi putride qu'une gangrène et aussi lamentable qu'un incident de parcours.
Estás tan podrido como una gangrena y eres tan lamentable como un contratiempo.
les relents putrides de chair corrompue et de vermines rampantes avaient disparu.
los gusanos y el olor podrido de carne abandonada habían desaparecido.
Ils échangent quelques grognements puis reculent : même pour eux, cette dépouille est trop putride.
Se gruñen suavemente y retroceden: ha de estar demasiado podrido hasta para ellos.
Car je ne laisse pas derrière moi de grands tas de chair putride.
Porque yo no voy dejando grandes pilas de carne podrida por ahí.
Cette bouche béante et putride sentait la jardinière de géraniums en décomposition.
en su boca vacía y húmeda olí toda una jardinera de geranios podridos.
L’air était quasi irrespirable, et une odeur putride les avait pris à la gorge.
Allí abajo el aire se notaba denso al respirar, y apestaba como a podrido.
La nuit, limons putrides.
La noche, ciénaga putrefacta.
Il émanait d’elle une odeur de transpiration putride.
Olía a transpiración putrefacta.
Mais tous immondes, tous putrides, tous morts.
Pero todos rostros inmundos, todos putrefactos, todos muertos.
Il ressemblait plus à une étoile de mer géante et putride qu’à un être humain.
más parecía una estrella de mar gigantesca y putrefacta que un hombre.
Lomana s’était étouffé dans son propre sang avant de sombrer dans l’eau putride.
Lomana se había ahogado en su propia sangre antes de hundirse en las aguas putrefactas.
Une bouffée d’air putride s’exhala de l’intérieur, imprégnant mes vêtements et ma peau.
Una bocanada de aire putrefacto exhaló del interior, impregnando mis ropas y mi piel.
La chair morte était pulvérisée et des humeurs putrides suintaient entre ses doigts.
La carne muerta quedó reducida a pulpa y los fluidos putrefactos le gotearon entre los dedos.
Avec un haut-le-cœur, Seth se couvrit le nez et la bouche à cause de l’odeur putride qui émanait de Graulas.
Seth se tapó la nariz y la boca para protegerse del putrefacto hedor.
Mais dans la vision de Frodo, même les visages « nobles » sont « tristes », et ils ne sont pas juste putrides, ils sont immondes ;
Pero en la visión de Frodo incluso las «caras nobles» están «tristes», y no sólo están todos «putrefactos», sino que son «inmundos»;
— Arrête ou je tranche la gorge de cette garce et je sors de son ventre ses ovaires putrides ! beugla-t-il.
—Quédate donde estás, o mataré a esta zorra y cortaré sus putrefactos y enfermos ovarios —gritó a Zaras.
L’odeur putride était presque palpable.
El olor a putrefacción casi se mascaba.
Il souriait et elle suffoquait, étouffée par des miasmes putrides qui consumaient son souffle.
La calavera se reía y ella se ahogaba, oprimida por unas oleadas de putrefacción que consumían su aliento.
Des relents putrides s’élevèrent du gros cratère à nos pieds. — Allez, creusez, dis-je.
Del gran cráter que había a nuestros pies se alzó un fuerte olor a putrefacción. —Cava —dije.
Atiq Shaukat déteste les personnes âgées, surtout celles du quartier, en majorité des intouchables putrides crevant de mendicité et d’insignifiance, à longueur de journée en train de psalmodier de funestes litanies et d’effilocher, de leurs mains de spectres, les basques des passants.
Atiq Shaukat abomina de los hombres mayores, sobre todo de los del barrio, que son casi todos unos intocables en estado de putrefacción que se mueren de mendicidad e insignificancia y se pasan el día entero salmodiando funestas letanías y desflecando con manos de espectro los faldones de los transeúntes.
Il commençait à escalader la pente, courant avec la lenteur propre aux cauchemars… Il sentait les premières mains squelettiques se refermer sur son cou, l’haleine froide et putride, il entendait leurs piaillements de triomphe tandis qu’il s’écroulait, presque sauvé, le salut à portée de la main…
Sentía las primeras manos esqueléticas alrededor del cuello, sentía su aliento frío y pestilente, el hedor de su putrefacción, oía sus salvajes alaridos de triunfo cuando caían sobre él cuando ya la salvación estaba no sólo a la vista sino casi al alcance de la mano…
Douceâtre et tout aussi putride, l’odeur du marché aux fruits s’y mêlait également, pleine de vapeurs de fermentation, sans qu’on y pût discerner le parfum des raisins violacés, des abricots jaune cire, des pommes dorées, des figues d’un noir souterrain, tant ils étaient mêlés et rendus indiscernables dans la commune décomposition, et les dalles du pavage luisaient et glissaient à cause des choses molles écrasées qui les maculaient.
Dulzón y no menos descompuesto se agregaba también el olor del mercado de frutas, lleno de un hálito de fermentación, sin que pudiera distinguirse el perfume de las uvas rojizas, de las ciruelas amarillentas, de las manzanas doradas, de los higos subterráneamente negros, mezclado e imposible de distinguir por la putrefacción común, y las losas pétreas del empedrado brillaban resbaladizas de pulpas pisadas húmedas y sucias.
Ils eurent conscience d’un contact chaud et glutineux, d’une odeur putride, d’une bête hideuse et à demi constituée, de membres prenants… Une seconde plus tard, tous trois gisaient assommés, horrifiés, projetés dehors sur le gravier de l’allée. Et la porte s’était refermée comme si on l’avait claquée derrière eux. Malone geignait. Roxton jurait. Le clergyman gardait la bouche cousue.
Notaron un contacto glutinoso y caliente, un olor purulento, a putrefacción, un rostro espantoso no del todo formado y unos miembros retorcidos. Al cabo de un instante, los tres yacían en el camino de grava de la entrada, aturdidos y horrorizados, después de haber sido arrojados desde la casa. La puerta se había cerrado de golpe. Malone lanzó un quejido y Roxton un juramento, pero el sacerdote permaneció en silencio mientras se reunían, sobrecogidos y magullados, pero con un horror interior que hacía insignificante cualquier daño físico.
Les façades des maisons et les ruelles exhalaient vers eux une chaleur lourde de serre chaude, et bien qu’elle déferlât en larges vagues transversales, toujours brisées par les cris et les clameurs sans fin, par le bourdonnement et le grondement de la bête collective en train de respirer, elle ne cessait pas d’être immobile : c’était l’haleine de l’eau et l’haleine végétale, l’haleine de la ville, unique et lourde exhalaison de la vie resserrée entre des blocs de pierre, et sa fausse vitalité putride, humus de l’existence, proche de la décomposition, s’élevait à l’infini, sortant des orifices de pierres surchauffées, s’élevait jusqu’aux étoiles dont la froideur cristalline commençait à parsemer le fond de la coupe céleste, rapidement assombrie en un noir doux et intense. Des profondeurs insondables, la vie germe et jaillit, frayant son chemin à travers les sphères pierreuses, mourant déjà dans son voyage, mourant, se décomposant et se refroidissant dans son ascension, dans laquelle déjà elle s’évapore, tandis que venant de hauteurs insondables, l’immuable descend, souffle portant le froid de la pierre, souffle d’un éclat sombre qui, en descendant, cristallise irrésistiblement tout ce qu’il touche, souffle dominateur qui bâtit les abîmes pierreux des profondeurs : tant au sommet qu’à la base règne le minéral, comme s’il était la réalité dernière de ce monde-ci, et entre ce courant et ce contre-courant, entre la nuit céleste et la nuit terrestre, celle-ci rougeoyante, celle-là claire et scintillante, dans cette double clarté de la nuit, flottait la litière comme si elle était une barque, plongeant dans la crête des vagues de vie végétale et animale, soulevée vers le souffle de la fraîcheur immuable, poussée vers des océans si énigmatiques et si inconnus que pour lui qui y était transporté, ce voyage semblait un retour. Oh !
De las fachadas de las casas y desde las calles fluía un pesado bochorno; llegaba en amplias oleadas transversales, constantemente deshecho por la algazara y la aclamación sin fin, por el hervor y el estrépito de la bestia multitudinaria, y, a pesar de ello, inmóvil; aliento de agua, aliento de plantas, aliento de ciudad: un solo vaho pesado de vida constreñida en bloques, de piedra y de su aparente vitalidad en descomposición, humus del ser, cerca de la putrefacción y elevándose desmedido de las cavidades recalentadas de piedra, elevándose a las frías y pétreas estrellas con que comenzaba a cubrirse la interior cuenca del cielo, que oscurecía en profunda y suave negrura. La vida brota de profundidades inescrutables, penetrando a través de la piedra, muriendo ya en este camino, muriendo y pudriéndose y helándose ya en el subir, en el subir también ya evanescente; pero desde inescrutables alturas desciende lo inexorable, frío como la piedra, aliento que desciende e ilumina oscuramente, dominando con su contacto, petrificándose en roca del abismo, arriba y abajo lo pétreo, como si fuera la última realidad de este mundo del más acá… y entre esta corriente y la corriente antagónica, entre la noche y la antinoche, cual roja brasa abajo, con claro destello arriba, flotaba en esta doble nocturnidad en su litera, como si fuera una barca, cubierta por el mar encrespado de lo vegetal-animal, levantada en el aliento frío de lo inexorable, impulsada hacia mares tan enormemente enigmáticos y desconocidos, que era como un regreso;
Je sens d’ici leur haleine putride.
Percibo su asqueroso hedor.
l’impressionnant mur de disques de jazz et de blues, hormis quoi tout le reste était sobre et monacal, le tapis rouge putride à longs poils ne couvrait pas entièrement la dalle de béton brut de l’ancienne cave ;
la inmensa pared de discos de jazz y blues y el resto modesto y monacal, con la asquerosa alfombra roja raída que no llegaba a cubrir el suelo de hormigón de bodega;
Une odeur nauséabonde, aigre et putride, que ses narines ne parvenaient pas à identifier. Le bouton de porte, ce même bouton qu'il ne pouvait se résoudre à tourner, rond et poli, cuivré et luisant, se mit à bouger.
Olió la cosa a través de la puerta cerrada. Era un olor nauseabundo, ácido y pútrido, más asqueroso que todos los que había conocido en su vida. El pomo, delante de él, el pomo que no se atrevía a tocar, redondo y pulido, amarillo y brillante, empezó a girar.
La seule récompense que nous lui offrons est de lui permettre de partager notre frugale chère et une paillasse dans un débarras inutilisé attenant au cloître, mise à sa disposition, les nuits où il ne va pas porter à sa femme soi-disant malade les restes de notre repas, et qu’il passe à s’occuper d’elle. Mais nous croyons bien être vite débarrassés de l’Aztèque et des miasmes putrides qui l’entourent. Nous sommes sûrs que quand vous lirez les pages suivantes, – encore plus horripilantes que ce qui précédait – vous partagerez notre répulsion et vous écrierez : « Arrêtez ces ordres ! » tout comme David s’exclamait : « Ne publiez pas ceci, car les incroyants s’en réjouiront ! » Nous sommes impatients, anxieux même, de recevoir l’ordre de Votre Majesté, par le prochain courrier, de détruire toutes les pages écrites entre-temps et de chasser de chez nous ce coupable barbare.
La única recompensa que recibe esta criatura es que le dejamos compartir nuestra comida y le hemos puesto en un cuarto de la despensa que ya no se utiliza una esterilla de paja en donde dormir, aquellas noches que no las pasa atendiendo a su esposa, aparentemente achacosa, a quien lleva las sobras de nuestra merienda. Confiamos en que pronto nos veremos libres de él y de la miasma asquerosa que le rodea. Estamos seguros de que cuando vos leáis las páginas siguientes. Señor —indescriptiblemente más horripilantes que las anteriores—, compartiréis nuestra repulsión y gritaréis: «¡No más de esta suciedad!», como David gritó: «¡No lo publiquéis, no sea que los descreídos se regocijen!» Anhelantes y ansiosamente esperamos la orden de Vuestra Estimada Majestad, en el siguiente barco-correo, de que todas las páginas recopiladas en el ínterin sean destruidas y así poder echar fuera de nuestros recintos a este bárbaro reprensible.
C’est le seul endroit où je me sente bien dans ce pays, le seul endroit correct, les autres brasseries sont des dépotoirs, elles sont abominables et bondées de types qui boivent de la bière jusqu’à se faire éclater la panse, je n’arrive pas à le comprendre, Moya, je n’arrive pas à comprendre comment les habitants de ce pays boivent cette cochonnerie de bière avec tant d’avidité, me dit Vega, une bière répugnante, bonne pour les bêtes, bonne qu’à donner la diarrhée, c’est ce que les gens boivent ici, et le pire c’est qu’ils sont fiers de boire une cochonnerie, ils sont capables de te tuer si tu leur dis que ce qu’ils sont en train de boire est une cochonnerie, de l’eau sale, pas de la bière, nulle part ailleurs ce ne serait considéré comme de la bière, Moya, tu le sais autant que moi, ça c’est un liquide infect, ils ne peuvent le boire que par ignorance, me dit Vega, ils sont tellement ignorants qu’ils boivent cette cochonnerie avec fierté, et pas avec n’importe quelle fierté, non, avec la fierté nationale, avec la fierté de boire la meilleure bière du monde, parce que la Pilsner salvadorienne est la meilleure bière du monde, pas une cochonnerie tout juste bonne à donner la diarrhée comme n’importe quelle personne saine d’esprit le penserait, mais la meilleure bière du monde, parce que c’est ça la première et la principale caractéristique des peuples ignorants, ils croient que leur miasme est ce qui existe de meilleur au monde, ils sont capables de te tuer si tu refuses de dire que cette émanation putride, leur crasseuse et diarrhéique bière, est la meilleure du monde, me dit Vega.
Es el único lugar donde me siento bien en este país, el único lugar decente, las demás cervecerías son una inmundicia, abominables, llenas de tipos que beben cerveza hasta reventar, no lo puedo entender, Moya, no puedo entender cómo esta raza bebe esa cochinada de cerveza con tanta ansiedad, me dijo Vega, una cerveza cochina, para animales, que sólo produce diarrea, es lo que bebe la gente aquí, y lo peor es que se siente orgullosa de beber una cochinada, son capaces de matarte si les decís que lo que están bebiendo es una cochinada, agua sucia, no cerveza, en ningún lugar del mundo eso sería considerado como cerveza, Moya, vos lo sabés como yo, ése es un líquido asqueroso, sólo lo pueden beber con tal pasión por ignorancia, me dijo Vega, son tan ignorantes que beben esa cochinada con orgullo, y no con cualquier orgullo, sino con orgullo de nacionalidad, con orgullo de que están bebiendo la mejor cerveza del mundo, porque la Pílsener salvadoreña es la mejor cerveza del mundo, no una cochinada que únicamente produce diarrea como pensaría cualquier persona en su sano juicio, sino la mejor cerveza del mundo, porque esa es la primera y principal característica de los pueblos ignorantes, consideran que su miasma es la mejor del mundo, son capaces de matarte si les negás que su miasma, que su mugrosa cerveza diarreica, es la mejor del mundo, me dijo Vega.
Fixant les crevasses qui lézardaient la surface chauffée à blanc du désert, Mathew imagina qu’il voyait la roche noire remonter des profondeurs tourmentées, suintant sur la terre morte comme un liquide purulent coulant d’une blessure putride.
Contemplando las grietas abiertas en la superficie de la horneada tierra, Mateo se imaginó que podía ver la roca negra escapando de las atormentadas profundidades, rezumando de aquella tierra muerta como un líquido gangrenoso que supurase de una herida pútrida.
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