Translation for "prédis" to spanish
Prédis
Translation examples
Je ne prédis pas l’avenir.
No puedo predecir el futuro.
Je prédis l’avenir aussi bien que votre petite Oracle.
Puedo predecir el futuro igual que tu pequeño oráculo.
Et je prédis, avec une certaine assurance, que tu t’offriras au premier inconnu qui te dira deux mots gentils.
Y me atrevo a predecir, sin miedo a equivocarme, que te entregarás al primer desconocido que te diga dos palabras amables.
Ce genre de réflexion, je le prédis, deviendra un instrument plus puissant pour l’étude des micro-détails de la cellule que tous ceux qui existent maintenant.
Me atrevo a predecir que esta clase de reflexión llegará a ser el instrumento más eficaz para el estudio de los detalles microscópicos de las células.
Au loin, à l’horizon, on voyait les lumières de la côte, Galaxidi… c’était une file de lumières tremblantes, jaunâtres, une seule était blanche, c’était étrange cette unique lumière blanche au milieu d’une file de lumières jaunâtres, Tristano la fixa et cette lumière se mit à venir à sa rencontre, elle s’approchait à une vitesse incroyable jusqu’à lui rentrer dedans comme un météore, et il se retrouva sur une place froide et déserte, face à un officier nazi étendu par terre, et tandis qu’il regardait son fusil avec stupeur, une jeune fille ouvrit une grande porte et lui fit signe d’entrer… Ce n’était pas ça l’énigme dont j’étais venu chercher l’explication, se murmura-t-il à lui-même, ce passé-là est clair pour moi… Je sais, répondit le cyprès, ce n’est pas pour ce passé-là que tu es venu jusqu’ici… tu es venu afin que ma voix te dise ton vrai passé, car tu n’as pas le courage de le faire, et ainsi tu me charges, moi qui prédis l’avenir, de prédire ce qui ayant déjà été ne pourra plus être changé… alors écoute… un jour, il y a de nombreuses années, tu te trouveras dans une forêt, entre les montagnes, ce sera une aube livide et froide, et tu seras caché derrière un rocher une mitraillette à la main, attendant que les ennemis sortent d’une maison de paysans en ruine… tu seras impatient, tremblant de froid et de peur, car lourde est la tâche qui t’attend et de toi dépend le sort de tous tes compagnons et de l’idéal pour lequel tu t’es décidé à lutter… et finalement ces ennemis sortiront, et toi tu les tueras tous par des rafales précises… un silence de mort est maintenant tombé sur cette clairière entre les montagnes, et toi tu te lèves triomphant, tu es le nouveau commandant de ce détachement, tu es un héros, tu les as tous tués, tu as du même coup vengé le vieux commandant que les ennemis ont massacré… mais à cet instant surgit l’inattendu, quelque chose qui te fait battre les veines des tempes et te glace… une femme est sortie de la maison, elle a les cheveux en désordre comme quelqu’un qui n’a pas eu le temps de s’arranger après la nuit, et les yeux écarquillés de stupéfaction et de terreur… elle te voit, s’arrête au milieu du terrain devant la maison, parmi les cadavres des soldats, on dirait une statue, et puis elle te crie, traître !, tu as fait l’espion, traître !… Tu voudrais aller à sa rencontre, lui dire que ce n’était qu’un vieux commandant et que pour un seul homme, tu les as tous exterminés… mais tu ne dis rien, c’est comme si ce que tu penses s’était congelé dans l’air sans trouver de voix… est-ce possible ?… cette nuit-là elle devait être en mission dans la vallée, et au contraire… voilà où elle était… tu as à présent pointé la mitraillette dans sa direction, elle est au centre du viseur, un seul coup et tu te seras vengé et en même temps disparaîtra l’unique témoin de ce qui s’est vraiment passé, et tu seras un parfait héros… Mais tu ne tireras pas, ça la Pythie le sait, et tu le sais toi aussi… Oh toi qui as fait le pèlerinage jusqu’ici, tu le savais qu’elle passait ses nuits dans cette maison ?
A lo lejos, en el horizonte, se veían las farolas de la costa, Galaxidi… eran una fila de luces temblorosas, amarillentas, solo una era blanca, qué extraña esa única luz blanca en medio de una fila de luces amarillentas, Tristano se la quedó mirando y aquella luz empezó a ir a su encuentro, se acercaba a una velocidad increíble hasta que lo arrolló como un meteoro, y él se encontró en una plaza fría y desierta, frente a un oficial nazi tendido en el suelo, mientras miraba con estupor su fusil, una muchacha abría un portal y le hacía gestos para que entrara… No era este el enigma cuya explicación había venido a buscar, murmuró para sus adentros, este pasado lo tengo claro… Lo sé, contestó el ciprés, no es por este pasado por el que has venido hasta aquí… has venido para que tu verdadero pasado sea dicho por mi voz, porque tú no tienes valor para hacerlo, y de ese modo me encargas a mí, que predigo el futuro, el predecir lo que, habiendo sido ya, no podrá cambiarse… pues entonces escucha… un día, hace muchos años, tú te encontrarás en un bosque, en pleno monte, y será un alba lívida y fría, y tú estarás escondido detrás de una roca con una metralleta en la mano, esperando que los enemigos salgan de un caserío derruido… estarás impaciente, tembloroso de frío y de miedo, porque grave es la tarea que te aguarda y de ti dependen las suertes de todos tus compañeros y del ideal por el que te has echado a la lucha… y por fin aquellos enemigos saldrán, y tú con precisas ráfagas de metralleta los matarás a todos… ahora, sobre ese claro entre los montes ha caído un silencio sepulcral, y tú te levantas triunfante, eres el nuevo comandante de aquel manípulo, eres un héroe, los has matado a todos, has vengado también al viejo comandante con quien los enemigos han acabado… pero en aquel momento, he aquí lo inesperado, algo que hace que te latan las venas en las sienes y te deja helado… una mujer ha salido del caserío, tiene el pelo en desorden como quien no ha tenido tiempo de arreglarse después de la noche, y los ojos desorbitados por el asombro y el terror… te ve, se detiene en medio de la explanada, entre los cadáveres de los soldados, parece una estatua, y después te grita, ¡traidor!, ¡nos has delatado, tú, traidor!… Tú quisieras ir a su encuentro, decirle que no era más que un viejo comandante y que a cambio de uno solo los has exterminado a todos… pero no dices nada, es como si lo que pensaras se congelase en el aire sin hallar voz… ¿cómo es posible?… esa noche ella debía estar en una misión en el valle, y en cambio… mira dónde estaba… ahora le apuntas con la metralleta, ella está en el centro de la mira, un solo disparo y te habrás vengado y al mismo tiempo desaparecerá el único testigo de lo que sucedió de verdad, y tú serás un héroe perfecto… Pero no dispararás, eso la Pitia lo sabe, y lo sabes tú también… Peregrino, ¿sabías que ella pasaba las noches en ese caserío? ¿Por eso te convertiste en delator?
pronosticar
— Eh bien, pour faire contrepoids, je vous prédis, moi, un succès retentissant.
—Entonces yo serviré de contrapeso y pronosticaré el éxito —soltó impulsivamente.
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