Translation for "prè" to spanish
Prè
Translation examples
Il s’est assis devant moi, à côté du Conejo, sans savoir que nous allions occuper ces trois pupitres, près de la fenêtre, tout le temps que nous passerions au lycée.
Se sentó delante de mí, al lado del Conejo, sin saber que íbamos a ocupar esos tres pupitres, junto a la ventana, mientras estuvimos en el Pre.
C’était un saint-bernard au sommet de sa forme, âgé de cinq ans, pesant près de cent kilos, qui, en ce matin du 16 juin 1980, venait d’être contaminé par le virus de la rage.
Era un San Bernardo en la flor de la vida, cinco años, casi cien kilos de peso y ahora, la mañana del 16 de junio de 1980, en la fase pre-hidrofóbica.
Je me souviens que les gamines du lycée me disaient que j’étais bien bête parce que dans les fêtes je ne laissais aucun garçon me serrer de près en dansant parce que je disais que je voulais me marier et avoir trois enfants, trois garçons.
Me acuerdo de que las muchachitas del pre me decían que yo era boba porque en las fiestas no dejaba que nadie se me pegara bailando, porque decía que quería casarme y tener tres hijos machos.
Il pensait à une autre fête, celle des quinze ans de Tamara et de Aymara, presque au début de la première année au lycée, le 2 novembre, précisa sa mémoire. Il se rappela combien la maison où habitaient les jeunes filles l’avait impressionné. La cour ressemblait à un jardin anglais bien entretenu où il y avait suffisamment de place pour loger de très nombreuses tables sous les arbres, sur le gazon et près de la fontaine où un antique angelot sauvé de quelque ruine coloniale pissait dans les iris en fleurs.
Pensaba en otra fiesta, los quince de Tamara y Aymara, casi empezando el primer año de Pre, 2 de noviembre, precisó su memoria, y cómo lo impresionó la casa donde vivían las muchachas, el patio parecía un parque inglés bien cuidado, cabían muchísimas mesas debajo de los árboles, en el césped y junto a la fuente donde un viejo angelote, rescatado de algún derrumbe colonial, meaba sobre los lirios en flor.
Jamais de ma vie je n’avais vu un rouge aussi splendide ! » Le sol se dérobait sous les pieds de Schmidt qui cheminait dans un marécage Il atteignait un arbre, grimpait sur une branche et sentait que l’arbre, lui aussi, commençait à s’enfoncer… Allongé sur son lit près de sa femme, il essayait de lui arracher sa chemise de nuit mais elle se mit à pousser des cris, il se jeta sur elle, la chemise se déchira, sa femme se retourna, elle se mit à rire, au bout de ses énormes seins, les tétons étaient comme de magnifiques roses À l’intérieur il faisait une chaleur épouvantable, l’eau ruisselait Il regarda par la fenêtre Dehors il pleuvait à verse Kráner un carton à la main courait vers sa maison soudain la base du carton s’ouvrit et tout se répandit sur le sol Mme Kráner lui hurla de se dépêcher puis voyant qu’il n’arrivait pas à ramasser la moitié des objets éparpillés il décida qu’il reviendrait demain Un chien se précipita tout à coup sur lui il hurla de peur donna un coup de pied dans la gueule du cabot qui couina et resta à terre Il ne put s’arrêter il continua de le frapper Le ventre du chien était tout mou Le directeur d’école essayait honteux de persuader un petit homme au costume râpé de le suivre il connaissait un endroit tranquille l’autre comme s’il ne savait pas dire non consentit lui n’en pouvait plus et lorsqu’ils entrèrent dans un parc désert il le poussa pour le faire avancer plus vite jusqu’à un banc en pierre couvert de broussailles l’allongea lui sauta dessus l’embrassa dans le cou mais au même moment sur le sentier parsemé de graviers blancs qui menait au banc de pierre quatre médecins en blouse blanche apparurent rouge de honte il leur fit signe qu’il allait partir tout de suite puis il expliqua à l’un des médecins qu’ils n’avaient pas d’autres endroits où aller ils devaient le comprendre ils devaient en tenir compte puis il se mit à injurier le pauvre petit homme car il éprouva soudain une terrible répugnance à son égard mais il eut beau regarder tout autour de lui il s’était volatilisé le médecin le regardait droit dans les yeux avec mépris puis fatigué il baissa les bras Mme Halics lavait le dos de Mme Schmidt le chapelet posé sur le rebord de la baignoire glissa comme un serpent dans l’eau le visage d’un gamin en train de ricaner apparut à la fenêtre Mme Schmidt lui dit qu’elle en avait assez sa peau était en feu à force d’être frictionnée mais Mme Halics la replongea dans la baignoire et continua de lui frotter le dos car elle avait de plus en plus peur que Mme Schmidt soit mécontente d’elle alors elle lui hurlafurieuse que la vipère temorde elle s’assit pleura sur lerebord de la baignoire elle voyait toujours le gamin qui ricanait à la fenêtre Mme Schmidt étaitunoiseau elle volait joyeusement sur la crête desnuages elle vit quelqu’unenbas lui faire un signe elle descendit et alors elle entendit lescrisde Schmidt pourquoila bouffe est pas prêtesalope descendstout de suite maisel lere pritsonenvol etpiailla d’ici demaintu crèveras pasdefaim ellesentit leso leillui brûler ledosschmidtétait soudainàcôtéd’ellearrête toutdesuitemais ellen’ yprêtapasat tention ellevola enra semotte elleauraitvouluattraperun insecte futakisefaisaitmar querauferàl’épaule ilnepouvaitplusbou gerilétaitattachéàunarbre ilsecâbraetsentitla cordeserelâcherilregarda son épauleun elon gueblessures’ou vraitil détournalesyeuxc’étaitinsupportable ilétaitassissurunepelleteuse quicreusaituneé norme fosseun hommearrivaetluidit dépêchetoijenetedonneraiplus d’essence mêmesitu me supplies ilavaitbeauappro fondir lafosseelles’écrou s’écroulaitsansarrêt il essaya à ànou ànouveau maisenvainalorsilpleuraassissur lafenêtreduhan garauxmachines ilnesavaitpas sic’étail’aube oulecrépuscule etçanevoulaitpass’arrêterilrestait assislàsanscomprendre dehorsriennebougea ce n’étaitnilesoirnilematin lejour necessaitdeseleveroudesecoucher IV Ascension ? Hallucination ?
Miró por la ventana: fuera llovía a cántaros Kráner corría rumbo a su casa llevaba en la mano una caja de cartón cuyo fondo se abrió de pronto y el contenido se esparció por el suelo la señora Kráner le pedía a gritos que se diera prisa de manera que no pudo recoger ni siquiera la mitad de cuanto se había caído y decidió ir a buscarlo al día siguiente. Un perro se abalanzó de pronto sobre él y asustado gritó y le dio una patada en el morro al animal que gimiendo se encogió y quedó allí en el suelo. Como no pudo aguantarse le dio otra patada. El perro tenía blando el vientre. El director de la escuela logró convencer con gran esfuerzo y con un sentimiento de vergüenza a un hombrecito vestido con un abrigo desgastado de que lo acompañara pues conocía un lugar apartado y el hombre aceptó como si no pudiera negarse y él apenas podía con su alma y cuando entraron en un parque abandonado incluso lo empujó para que llegaran cuanto antes a un banco de piedra rodeado de una densa maleza y acostó al hombrecito sobre el banco y se tumbó sobre él y le besó el cuello pero en ese instante se acercaron por el paseo cubierto de guijarros unos médicos con batas blancas y él abochornado les hizo señas para avisar que ya se iba pero luego explicó a unos de ellos que no sabían adónde ir que habían de comprenderlo y tenerlo en consideración y empezó a decir pestes del hombrecito pudibundo porque a esas alturas ya le daba muchísimo asco pero miró en vano aquí y allá pues aquél había desaparecido y el médico le miró a los ojos con desprecio la señora Halics le lavaba la espalda a la señora Schmidt un rosario se deslizó poco a poco como una serpiente hacia el agua el rostro sonriente de un chaval apareció en la ventana y la señora Schmidt dijo que ya tenía bastante que le ardía la piel de tanto frote pero la señora Halics la empujó de vuelta a la bañera y continuó frotándole la espalda cada vez más temerosa de que la señora Schmidt no se sintiera satisfecha y enfurecida le gritó quetemuerdalavíbora y se sentó en el borde de la bañera desde donde seguía viendo al muchacho sonriente en la ventana la señora Schmidt eraunpájaro que volaba contento por encima de las nubes y veíaqueabajo alguien la saludaba fuedescendiendo y entonces ya oyó losgritos de Schmidt queporquénohascocinado queeresunafurciabaja ahoramismo pero ella pasó volando arriba y legorjeó quehastamañananotevas a morirdehambre y sentía queelsolle calentabalaespalda y de​pron​toSchmidt​es​ta​baasu​la​do déjaloahoramismo peroella noleprestóatención sinoquedescendió volando que​rí​aco​ger​un​in​sec​toal​vue​lo a Fu​ta​ki​le​gol​pea​ban​elhom​bro​conun​hie​rro no podíamoverse estabaatadoaunárbol rígidosentía queelcordelcedía y se miróelhombroenelque seabrió unaherida a​par​tó​la​mi​ra​da​pues​no​po​dí​aa​guan​tar loqueveía y derepente estabasentado enunbuldózer lapalaexcavaba une​nor​mea​gu​je​ro seacercó unhombre ydijo da​te​pri​sa​que​no​te​da​ré​más​ga​so​li​na por​mu​cho​que​me​lo​pi​das ibaahon​dan​do​el​ho​yo​que​pa​ra​siem​pre​se​de​rrum​bó loin​ten​tó​de​nue​vo pe​roen​va​no seechóallorar sen​ta​doen​la​ven​ta​na​de​la navedemaquinaria yno​sa​bí​aqué​ocu​rría sia​ma​ne​cí​aosia​no​che​cía ytodoellonoquería nuncaacabar sen​ta​doa​llí​no​sa​bí​aqué​pa​sa​ba na​da​cam​bia​baa​llá​fue​ra no​lle​ga​ba​ni​la​ma​ña​na​ni​la​no​che rei​na​baun​cre​pús​cu​lo​sin​ce​sar IV
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