Translation for "province" to spanish
Translation examples
— C’est que je suis de province.
– Es que soy de provincias.
— De quelle province vous êtes, vous autres ?
—¿De qué provincia sois vosotros?
Et c’était en province aussi !
¡Y también en provincias!
C’est la même province.
Es de la misma provincia.
Vous êtes de province ?
¿Es usted de provincias?
— De quelle province êtes-vous ?
—¿De qué provincia es usted?
Le Coronal irait-il de province en province pour exhorter le peuple à la patience ? Non.
¿Viajará la Corona de provincia en provincia, instando a la paciencia? No.
La province est la province : elle est ridicule quand elle veut singer Paris.
Las provincias son las provincias y se ponen ridículas cuando quieren imitar a París.
L’Empire, c’est ses provinces.
Las provincias son el Imperio.
— De la province de Trévise.
–La provincia de Treviso.
C’était la province d’Ebbing, ce n’était pas sa juridiction.
Aquello era Ebbing, no tenía allí jurisdicción.
À le voir, Hans se félicitait d’avoir très peu de contacts avec ceux qui n’étaient pas ses voisins de table, mais aussi de venir d’une province étendue, comportant de multiples sphères.
Hans Castorp, pensando en esa vecindad, se alegró de que aquí hubiese tan poco contacto entre los pensionistas que no se sentaban a la misma mesa y, además, de que su país natal estuviese extendido y dividido en esferas tan distintas.
N’appartenant pas à la province des hommes.
No eran competencia de los hombres.
J’avais également découvert que Patty et Martin étaient de vieilles connaissances, remontant à l’université où ils avaient suivi le même cursus, mais Patty avait abandonné les études de “philosophie générale” pour s’attacher à “l’autre face des choses”, autre face que son vieil ami désapprouvait fortement comme étant “la province des barjos” et que Patty défendait de sa voix profonde, mais ce qu’elle défendait exactement n’était pas bien clair à mes yeux, sinon que c’était lié “au corps, aux sentiments et à l’imagination sacrée” et, peut-être, à ce dessin étrange, la clé de la clé.
También descubrí que la amistad de Patty y Martin «se remontaba» a la escuela de posgrado, donde habían cursado el mismo programa, pero ella había abandonado el estudio de la «filosofía general» para dedicarse al «otro lado de las cosas», un lado de las cosas que su viejo amigo desaprobaba firmemente por ser «competencia de los chiflados», y que Patty defendió con su voz profunda, aunque no estaba claro qué defendía exactamente, excepto que estaba relacionado con «el cuerpo, el sentimiento y la imaginación sagrada», y quizá con el peculiar dibujo, la llave de la llave.
non seulement de ceux qui avaient lu le livre de l'Oncle Rifki, mais aussi de tous ceux qui lisaient des livres bizarres, étranges et étrangers et ils les surveillaient étroitement. Ils n'avaient pas besoin des encouragements du docteur Lefin, ils se faisaient un devoir de les placer sous surveillance, même dans leur vie privée, et ils étaient ravis de rédiger à leur sujet des rapports haineux et paranoïaques. C'étaient ces rapports-là que je parcourais, tout en mangeant le dîner que Rosine m'avait servi sur un plateau en me disant : « Mon père s'est dit que vous ne voudriez pas interrompre votre travail. » Je me demandais si les limiers du docteur Lefin avaient jamais repéré et placé sous surveillance un jeune homme ayant lu le livre dans une ville de province, dans un dortoir étouffant, ou – comme moi – dans un quartier éloigné d'Istanbul. Je feuilletais rapidement les dossiers, dans l'espoir de me découvrir une âme sœur, et j'y rencontrai deux ou trois incidents fort curieux, qui me donnèrent la chair de poule, mais je ne pus établir s'il s'agissait d'âmes sœurs. Ainsi, après avoir lu le livre, un élève de l'École vétérinaire, dont le père travaillait dans les mines de charbon de Zongouldak, devenu incapable de faire quoi que ce soit en dehors de ses besoins les plus élémentaires – se nourrir et dormir –, consacrait tout son temps à cette lecture.
Aquellos individuos, que se veían obligados a cerrar sus establecimientos ante la competencia de compañías internacionales de, sobre todo, estufas, helados, frigoríficos, bebidas gaseosas, de préstamos y de hamburguesas, desconfiaban de los jóvenes que leían, no sólo el libro del tío Rifki, sino todo tipo de libros que ellos encontraban extraños, diferentes, extranjeros, los vigilaban como si fueran sospechosos de algo y, aunque el doctor Delicado no los animara, consideraban un deber seguir a dichos jóvenes, espiar sus vidas privadas y escribir de mil amores airados y paranoicos informes sobre ellos. Leía fragmentos al azar de aquellos informes mientras me tomaba la cena que había traído Rosaflor en una bandeja diciendo: «Mi padre ha pensado que quizá no quisiera interrumpir su trabajo». Por si alguien como yo había leído el libro como yo lo había leído en algún pueblo o en alguna asfixiante residencia de estudiantes o en algún recóndito barrio de Estambul… En aquellas páginas que pasaba a toda velocidad con la esperanza de encontrar un hermano espiritual me topé con un par de casos interesantes que me pusieron la carne de gallina pero no supe hasta qué punto podían ser mis hermanos espirituales. Por ejemplo, un estudiante de Veterinaria cuyo padre trabajaba en las minas de carbón de Zonguldak, en cuanto acabó de leer el libro dejó de realizar cualquier actividad exceptuando las mínimas necesidades vitales, como alimentarse y dormir, y entregó todo su tiempo a releer el libro.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test