Translation for "prends-nous" to spanish
Prends-nous
Translation examples
tómanos
On le prend au mot.
Le toman la palabra.
Il savait aussi que la vie porte à votre compte aussi bien les décisions qu’on ne prend pas que celles qu’on prend.
También sabía que en la vida pesan tanto las decisiones que no se toman como las que se toman.
on les prend pour des fous.
así que les toman por locos.
Pour qui le prend-on, à la fin ?
Al final, ¿por quién le toman?
Pourquoi ne prend-on pas un autre docteur ?
—¿Por qué no toman otro doctor?
— Ce n’est pas la première fois qu’on s’en prend à lui.
—No es la primera vez que la toman con él.
— Et comment prend-on ces empreintes ?
–¿Y cómo se toman las huellas?
On prend seulement nos précautions.
Solo toman precauciones.
On prend mes empreintes digitales. Photo.
Me toman las huellas. Me fotografían.
On prend comme ça vient.
Las cosas se toman como vienen.
On prend le pognon, ce qui peut prendre un petit moment…
Nos largamos con la guita, lo que podría llevarnos un tiempo...
demanda-t-elle. — Votre Majesté parle-t-elle du temps que ça va prendre ou du temps que nous aurons l’impression que ça prend ? — Les deux.
—preguntó. —¿Pregunta tu majestad cuánto tiempo va a llevarnos en realidad, o cuánto parecerá que nos lleva? —Las dos cosas.
Mais cet engin nous permet de nous fabriquer de sacrées séries de raisonnements, qui paraissent relativement solides quand on les prend isolément et qui, mis bout à bout, peuvent nous mener exactement là où nous voulons, aussi loin dans la folie que cela puisse être.
Con él como vehículo somos capaces de enlazar argumentos que parecen suficientes por separado y que sumados pueden llevarnos justo donde queremos, por muy loca que sea la conclusión.
Donc prends tout calmement, garde ta frimousse de petite fille bien élevée, dis à tout le monde oui monsieur, oui madame, à moi ne me casse pas les couilles, et on s’en tirera bien, Mexicaine.
Así que tómalo con calma, mantén esa cara de buena que tienes, dile a todo el mundo sí señor y sí señora, no me toques a mí los cojones y vamos a llevarnos bien. Mejicana.
Ce qui dans le noir a l’air d’un arbre peut être une mendiante édentée et grelottante qui, en débitant son chapelet de misères et de maladies, vous conduira à un terrain vague où la bande sanguinaire se jettera sur vous… mieux vaut ne pas sortir seul la nuit dans ce quartier qui n’est plus ce qu’il était avant, au bon temps, il est mal famé, avec ces vieilles… mais comment ça peut être vrai… ça doit être une blague… personne n’y croit… non, c’est la pure vérité… mais comment peut-on croire qu’un groupe de vieilles mendiantes sorties d’on ne sait où a envahi ce quartier si tranquille, on dit qu’il y a des gens qui veulent déménager, on dit que chez le type qui fait l’achat et la vente des revues, elles sont entrées demander l’aumône quand il était seul et qu’à six elles sont parties avec la caisse, il vaut mieux chercher une chambre dans une autre pension loin d’ici, il est dangereux de sortir la nuit car tout à coup un morceau de nuit prend forme humaine et vous vole le peu que vous avez dans vos poches, ça suit les gens, tout doucement, et soudain ce qui avait l’air d’une ombre se rebelle, change de forme et attaque, voilà ce qui se passe, il est possible que ces vieilles dont on parle tant dans le quartier ne soient que les ombres de la peur de chacun, mais s’il y a beaucoup de vieilles… enfin, je ne sais pas s’il y en a beaucoup, mais on dirait qu’il y en a plus qu’avant… elle sort, la tête emmitouflée dans son châle, se glissant le long des murs, seule, mais en la voyant avancer seule, voûtée et éclopée, on sait qu’il y a un groupe armé au coin de la rue, de sorte qu’on traverse immédiatement en direction du réverbère de l’autre trottoir, mais on aperçoit un couple de vieilles cachées dans l’embrasure d’une porte un peu plus loin, alors on veut se tenir au milieu de la rue et on donne sur un groupe d’ombres en marche, on veut revenir en arrière et il n’y a qu’un mur sans fenêtres car je les ai toutes murées et j’ai imité la vétusté au pinceau pour que personne ne puisse soupçonner les manques, ce ne sont que des visages, que des haillons, parfois ça attaque et parfois non, c’est une question de chance, car on ne peut pas avoir peur de petites vieilles qui se défilent comme des souris et puis viennent ici à la chapelle partager leur butin et manger un morceau, ce paletot de femme forte, je vais l’apporter en cadeau à Mercedes Barroso, et cette chaîne de montre en or à la Brígida, elle va être contente, la pauvre. — J’ai vu Iris. — Où ? — Par ici tout près. — Comment était-elle ?
Algo que en la sombra parece tronco de árbol puede ser una pordiosera desdentada y tiritona que con su cantinela de miserias y enfermedades puede llevarlo a uno a un baldío y la bandada sangrienta se puede lanzar sobre uno… mejor no andar solo de noche por este barrio que no es lo que era antes, en los buenos tiempos, está maleado por estas viejas… pero cómo va a ser cierto… debe ser mentira… nadie cree… la pura verdad… cómo vamos a creer que un grupo de pordioseras ancianas salidas quién sabe de dónde haya invadido este barrio tan tranquilo, dicen que hay gente que quiere cambiarse a otros barrios, dicen que al cabro ese del negocio de compraventa de revistas entraron a pedirle limosna cuando estaba solo y que entre seis viejas le robaron la caja, mejor buscar en otra pensión lejos de aquí, es peligroso salir de noche porque un pedazo de noche de repente se encarna y cae sobre uno para robarle lo poco que lleva en los bolsillos, siguen a la gente, despacito, y de pronto eso que parecía sombra se rebela y se deforma y ataca, eso es lo que pasa, puede ser que esas viejas de que están hablando tanto aquí en el barrio no sean más que las sombras de los miedos, pero de haber muchas viejas… en fin, no sé si muchas pero parece que hubiera más viejas que antes… sale con su cabeza arrebozada en su chal, arrastrando chancletas, deslizándose junto a la pared, sola, pero cuando uno la ve avanzando sola, encorvada y renga, uno sabe que hay un grupo armado esperando detrás de la esquina, así es que uno inmediatamente cruza hacia el farol de la otra vereda, pero divisa a un par de viejas ocultas en el umbral de la casa de más allá, entonces uno sale al medio de la calle y se encuentra con un grupo de sombras que avanzan, y uno quiere volver atrás pero hay sólo un muro sin ventanas porque yo las tapié todas y con mi pincel simulé vejez para que nadie note ausencias, sólo rostros, sólo harapos, a veces atacan y a veces no, es cuestión de suerte porque no se puede tenerles miedo a viejecitas que se escabullen como lauchas y después llegan aquí a la capilla con su botín, a repartirlo, a comer cosas para llevarnos, este paltó de señora gorda se lo voy a llevar de regalo a la Mercedes Barroso, y esta cadena de reloj de oro a la Brígida que va a estar contenta la pobre. —Vi a la Iris. —¿Dónde? —Por aquí cerca. —¿Cómo?
Tout cela prend beaucoup de temps.
Todas estas cosas llevan mucho tiempo.
Mais voyez-vous, ce genre de choses prend toujours du temps.
Esas cosas siempre llevan su tiempo.
— Tout cela prend du temps, Mrs Steiner.
–Estas cosas llevan tiempo, señora Steiner.
Il prend notre fric et on doit lui en laisser une partie.
Se llevan nuestra guita y encima tenemos que darles una parte.
Le monde de l’art est un monde qui prend son temps.
En el mundo de las bellas artes, los asuntos llevan tiempo.
Mais tout de même, vous savez, ça prend du temps, ces choses-là.
De todos modos, estas cosas llevan su tiempo, ¿sabes?
— Vous savez, les crimes crapuleux, cela prend du temps.
—¿Sabe usted que los crímenes crapulosos siempre llevan tiempo?
Je prends la clé de la chambre 1015, mes pieds m’entraînent jusqu’à l’ascenseur.
Cojo la llave de la 1015: mis pies me llevan hasta el ascensor.
Ça prend du temps. Wallander hocha la tête sans rien dire.
Esas cosas llevan tiempo. Wallander asintió en silencio.
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