Translation for "préfectoral" to spanish
Préfectoral
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Mais je me permets d’insister : je n’ai jamais entendu qu’il soit licite d’imposer à quiconque le plaisir d’une œuvre lyrique à travers un décret préfectoral émis tout exprès.
Pero repito: nunca he entendido que sea lícito imponer a quien sea el disfrute de una ópera lírica a través del correspondiente decreto de la Prefectura.
Elle était là, réellement : un petit point entre deux hémisphères qui n’étaient pas un truc préfectoral, une invention consulaire, mais bel et bien là, d’éternité en éternité.
Y ahí estaba realmente, un puntito entre dos hemisferios, que no eran un truco de la prefectura, ni un invento consular, sino auténticos, de eternidad a eternidad.
La région bosselée entre la forteresse de Dosmad et la ville préfectorale de Hsien constituait l’un des rares espaces relativement dégagés entre la Kitai et le plateau taguran.
La región de colinas entre la Fortaleza de Dosmad y la capital de la prefectura en Hsien era uno de los terrenos relativamente abiertos existentes entre Kitai y la meseta de Tagur.
Shen Tai serait convenablement escorté, des relais mis à sa disposition sur la route de la ville préfectorale de Chenyao, et la nouvelle des chevaux le précéderait à Xinan comme convenu.
Maese Shen recibiría una escolta adecuada, de manera que tendría a su disposición las postas militares, en las que podría pasar las noches de camino a Chenyao, capital de la prefectura, y la noticia de los caballos —tal como habían acordado— le precedería hasta Xinan.
Une seule fois, il a failli jouer la mauvaise carte, et c’est pourquoi il m’en voudra toujours : c’est quand, simple chef de bureau à la préfecture, il a épousé ma soeur et s’est installé avec notre famille dans l’appartement préfectoral.
En una sola ocasión, estuvo a punto de jugar la carta mala, y por eso me guardará siempre rencor: fue cuando, siendo un simple jefe de sección en la prefectura, se casó con mi hermana y se instaló con nuestra familia en el edificio prefectoral.
En entreprenant de raconter les événements, véritablement douloureux, qui ont provoqué tant de dégâts et de bouleversements dans la petite ville de Vigàta qui fait corps avec la province de Montelusa, province où je revêts indignement l’uniforme de représentant préfectoral de l’État, il me revient l’obligation de remémorer à Votre Très Illustre Seigneurie quel a toujours été mon sentiment eu égard aux problèmes qui affligent la Sicile.
Al disponerme a describir los acontecimientos, verdaderamente dolorosos, que tanto daño y revuelo han acarreado a la ciudadela de Vigáta, dependiente de la provincia de Montelusa, provincia en la que indignamente ocupo el cargo de representante de la Prefectura del Estado, tengo la obligación de recordar a Vuestra Señoría Ilustrísima cuál ha sido siempre mi sentir en relación a los problemas que afligen a Sicilia.
Mais, par ailleurs, il semblait qu’à la Préfecture – c’est du moins ce que lui affirma Mlle Rose Beude, l’une des adjointes à la Direction du Bureau des Étrangers, lorsqu’il parvint jusqu’à elle, après une longue et morne pérégrination de plusieurs semaines dans le labyrinthe de la Préfecture, pérégrination dont la seule logique apparente, et peut-être même le seul sens, au travers des va-et-vient incessants, des aller et retour incohérents, était qu’elle l’avait lentement mais inexorablement conduit vers des étages chaque fois plus élevés du bâtiment préfectoral, comme si le fait d’avoir eu à gravir sans cesse toutes ces marches de pierre polies par les pas résignés de milliers de quémandeurs anonymes et souvent angoissés exprimait matériellement la vérité des hautes sphères bureaucratiques, les seules à pouvoir sans doute trancher dans un cas comme le sien, de perte ou d’absence d’identité convaincante, cas dont tous les préposés, depuis la première réceptionniste du premier bureau d’accueil, lui avaient prédit la complexité avec un hochement de tête circonspect, tout en lui demandant de remplir des formulaires de plus en plus détaillés et saugrenus dont les questions, pourtant imprimées, ne semblaient pas avoir d’autre fonction que celle de tendre des pièges à sa mémoire, ou à sa véracité, de provoquer des contradictions, fussent-elles minimes, entre les successives réponses qu’il fournissait au fil des jours et au gré des caprices bureaucratiques –, à la Préfecture, quoi qu’il en soit, on avait perdu son dossier.
Pero, por otra parte, parecía ser que en la Prefectura —así, al menos, lo afirmó Mademoiselle Rose Beude, una de las adjuntas a la dirección de la Oficina de Extranjeros, cuando llegó hasta ella después de una larga y triste peregrinación por el laberinto de la Prefectura, peregrinación cuya única lógica aparente, y quizás incluso su único sentido, a través de idas y venidas incesantes, de vueltas y revueltas incoherentes, era que, lenta pero inexorablemente, le había ido llevando a pisos cada vez más altos del edificio prefectoral, como si el hecho de subir sin tregua todos aquellos escalones de piedra bruñidos por los pasos resignados de millares de peticionarios anónimos y, a menudo, angustiados, expresase materialmente la verdad de las altas esferas burocráticas, las únicas capaces, sin duda, de resolver un caso como el suyo, de pérdida o ausencia de identidad convincente, caso cuya complejidad todos los empleados, desde la primera recepcionista de la primera oficina, le habían predicho con una comedida inclinación de cabeza, al tiempo que le, pedían rellenase formularios cada vez más detallados y absurdos cuyas preguntas, aunque impresas, no parecían tener más función que la de tender trampas a su memoria, o a su veracidad, provocar contradicciones, por mínimas que fuesen, entre las sucesivas respuestas que iba suministrando al hilo de los días y al arbitrio de los caprichos burocráticos— en la Prefectura, comoquiera que sea, se había perdido su expediente.
Quoi qu’il en soit, depuis qu’Artigas est parti – avec l’intention longtemps frustrée au cours d’une journée mouvementée, on s’en apercevra, de se rendre à la Préfecture de Police, dans le bureau de Mlle Rose Beude, directrice-adjoint (ou directeur-adjointe, comme on voudra : sa condition de femme devant être expressément signalée par l’énoncé de son titre, tout comme la masculinité de la fonction préfectorale ou policière qu’elle exerce) du Service des étrangers, pour y obtenir des papiers d’identité auxquels il a parfaitement droit et que Mlle Rose Beude lui refuse encore, sous des prétextes de plus en plus incongrus qui ne relèvent même plus de l’arbitraire administratif ni de la tracasserie bureaucratique, mais plutôt d’un enjeu obscur et inavoué, qui ressortit davantage à l’affrontement métaphysique ou au fantasme sexuel de possession dépossédée, ainsi qu’on aura l’occasion de le constater le moment venu – depuis qu’il est parti, donc, la jeune femme, quel que soit son prénom, a écouté une nouvelle fois l’enregistrement d’un long monologue d’Artigas.
Comoquiera que sea, desde que Artigas ha salido —con la intención largo tiempo frustrada en el transcurso de un día agitado, como se verá, de dirigirse a la Prefectura de Policía, al despacho de Mademoiselle Rose Beude, directora-adjunto (o director adjunta, como se quiera, ya que su condición de mujer debe quedar expresamente señalada por el enunciado de su título, del mismo modo que la masculinidad de la función prefectoral o policial que ejerce) del Servicio de Extranjeros, para obtener allí los documentos de identidad a que tiene perfecto derecho y que Mademoiselle Rose Beude le niega todavía, con pretextos cada vez más incongruentes que no derivan de la arbitrariedad administrativa ni de las pejigueras burocráticas, sino, más bien, de un enfrentamiento oscuro e inconfesado que procede de un juego metafísico o de un fantasma sexual de posesión desposeída, como habrá ocasión de comprobar en su momento desde que ha salido Artigas, pues, la joven, cualquiera que sea su nombre, ha escuchado una vez más la grabación de un largo monólogo de aquél.
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