Translation for "portulan" to spanish
Portulan
Translation examples
Au-dessus du divan, un portulan occuperait toute la longueur du panneau.
Sobre el diván, un portulano ocuparía toda la longitud del panel.
En face, un grand portulan en papier toilé, encadré de baguettes en bois, reproduction un peu jaunie de
En frente, un gran portulano en papel de tela, enmarcado con listones, reproducción un poco amarillenta de la
Dans les jours qui avaient suivi le message de Peter, le gardien du phare s’était mis à consulter des livres, des cartes maritimes et des portulans, et brusquement il avait décidé de partir.
Después del mensaje de Peter, el guardián del faro había pasado unos días consultando libros, cartas náuticas y portulanos, y al fin, casi sin previo aviso, había decidido salir de viaje.
Le voilà explorateur et arpenteur, appointé par le gouverneur général, lequel se penche à ses côtés, dans un bureau de Saigon, sur les portulans énigmatiques et farfelus de l’Annam, du Tonkin et du Laos, le crayon à la main.
La de un explorador y agrimensor a sueldo del gobernador general, quien se inclina a su lado lápiz en mano, en un despacho de Saigón, sobre los enigmáticos y extravagantes portulanos de Annam, Tonkin y Laos.
Sans doute, alors, pour peu qu’elle fût repeinte, décapée, arrangée avec quelque amour, leur demeure eût-elle été incontestablement charmante, avec sa fenêtre aux rideaux rouges et sa fenêtre aux rideaux verts, avec sa longue table de chêne, un peu branlante, achetée aux Puces, qui occupait toute la longueur d’un panneau, au-dessous de la très belle reproduction d’un portulan, et qu’une petite écritoire à rideau second Empire, en acajou incrusté de baguettes de cuivre, dont plusieurs manquaient, séparait en deux plans de travail, pour Sylvie à gauche, pour Jérôme à droite, chacun marqué par un même buvard rouge, une même brique de verre, un même pot à crayons ;
Sin duda, sólo con que se pintara, limpiara, arreglara con amor, su vivienda hubiera sido indiscutiblemente encantadora, con su ventana de cortinas rojas y su ventana de cortinas verdes, con la larga mesa de roble, algo coja, comprada en el mercado de Les Puces, que ocupaba toda la largura de una pared, debajo de la bellísima reproducción de un portulano, y que mediante una pequeña escribanía con persiana estilo Segundo Imperio, de caoba incrustada con varillas de cobre, de las que faltaban algunas, estaba separada en dos zonas de trabajo, para Sylvie a la izquierda, para Jérôme a la derecha, cada una marcada por un mismo secante rojo, un mismo ladrillo de vidrio, un mismo bote para lápices;
La salle de séjour, avec le lit de camp recouvert d’un petit matelas et d’une couverture bariolée, avec la natte épaisse où étaient jetés quelques coussins, avec, surtout, les livres  – la rangée des Pléiades, les séries de revues, les quatre Tisné  – les bibelots, les disques, le grand portulan, la Fête du Carrousel, tout ce qui, il n’y avait pas si longtemps, avait été le décor de leur autre vie, tout ce qui, dans cet univers de sable et de pierre, les ramenait vers la rue de Quatrefages, vers l’arbre si longtemps vert, vers les petits jardins, la salle de séjour dispensait encore une certaine chaleur : à plat ventre sur la natte, une minuscule tasse de café à la turque à côté d’eux, ils écoutaient la Sonate à Kreutzer, l'Archiduc, la Jeune Fille et la mort, et c’était comme si la musique, qui, dans cette grande pièce peu meublée, presque une salle, acquérait une résonance étonnante, se mettait à l’habiter et la transformait soudain : c’était un invité, un ami très cher, perdu de vue, retrouvé par hasard, qui partageait leur repas, qui leur parlait de Paris, qui, dans cette soirée fraîche de novembre, dans cette ville étrangère où rien ne leur appartenait, où ils ne se sentaient pas à l’aise, les ramenait en arrière, leur permettait de retrouver une sensation presque oubliée de complicité, de vie commune, comme si, dans un étroit périmètre  – la surface de la natte, les deux séries de rayonnages, l’électrophone, le cercle de lumière découpé par l’abat-jour cylindrique  – parvenait à s’implanter, et à survivre, une zone protégée que ni le temps ni la distance ne pouvaient entamer.
La sala de estar, con la cama de campaña cubierta con un colchón pequeño y una manta abigarrada, con la gruesa estera en la que habían esparcido unos cuantos cojines, sobre todo con los libros —la hilera de Pléiades, las series de revistas, los cuatro Tisné—, los bibelots, los discos, el gran portulano, La fiesta del Carrousel, todo lo que, no hacia tanto tiempo, había constituido el marco de su otra vida, todo lo que, en aquel universo de arena y piedra, los devolvía a la calle de Quatrefages, al árbol tanto tiempo verde, a los pequeños jardines, la sala de estar dispensaba aún cierto calor: echados boca abajo en la estera, con una minúscula taza de café turco al lado, oían la Sonata a Kreutzer, el Archiduque, La muerte y la doncella, y era como si la música, que, en aquella gran estancia poco amueblada, casi una sala, adquiría una resonancia extraña, se pusiera a habitarla y la transformara de pronto: era un invitado, un amigo muy querido, perdido de vista, vuelto a encontrar por casualidad, que compartía su comida, que les hablaba de París, que, en aquella noche fresca de noviembre, en aquella ciudad extranjera donde nada les pertenecía, donde no estaban a gusto, los volvía hacia atrás, les permitía recobrar una sensación casi olvidada de complicidad, de vida en común, como si, en un estrecho perímetro —la superficie de la estera, las dos series de estantes, el tocadiscos, el círculo de luz recortado por la pantalla cilíndrica— lograra implantarse, y sobrevivir, una zona protegida en la que ni el tiempo ni la distancia podían hacer mella.
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