Translation for "porte-à-dire" to spanish
Porte-à-dire
  • puerta para decir
Translation examples
puerta para decir
Est-ce que le docteur n’avait pas le droit de frapper à la porte, de dire, par exemple :
Es que el doctor no tenía derecho a llamar a su puerta y decir, por ejemplo:
Ce matin, juste après cinq heures, quelqu’un a frappé à la porte pour dire qu’il y avait un type mort dans la rue.
Esta mañana, poco después de las cinco, alguien llamó a la puerta para decir que había un hombre muerto en la calle.
Alors j’ai pensé que, comme complice, il fallait m’exécuter de mon côté, et garder au moins de rigides arrêts. J’ai fait fermer ma porte, et dire que j’étais incommodée.
He pensado entonces en que, en calidad de cómplice, debía yo castigarme por mi parte y guardar un severo arresto, por lo cual he hecho cerrar mi puerta y decir que estaba incomodada.
Un client… Curly John marcha jusqu’à la porte pour dire à Miles Jenkins d’aller manger un morceau et Miles disparut dans le restaurant jaune d’en face.
Entró un cliente y Curly John se asomó a la puerta para decir a Miles Jenkins que se fuera a comer algo. El muchacho desapareció inmediatamente en el establecimiento pintado de amarillo.
J’ai respiré un bon coup dans l’air tiède qui passait au travers, j’ai refermé la porte sans dire un mot, je me suis répété deux ou trois fois c’est rien, C’EST RIEN, c’est juste un verre de 40 x 70.
Respiré a fondo el aire tibio que se colaba por el agujero y volví a cerrar la puerta sin decir ni una palabra y me repetí no pasa nada, NO PASA NADA, sólo era un cristal de 40 x 70.
Je le regardai tout en tripotant une cigarette, sans bouger de la porte. — J’veux dire, vous pourriez peut-être fouiner un peu dans les parages, voir s’il n’y aurait pas moyen de repérer la bonne femme. — Qu’est-ce que ça me rapportera ?
Di vueltas a un cigarrillo entre los dedos y me quedé mirándolo mientras esperaba junto a la puerta. —Quiero decir que tiene tiempo para echar una ojeada y ver si encuentra a esa tipa. No es una mala idea la que ha tenido. Quizá descubra algo.
Ce qu’elle entendait relevait d’un autre ensemble de traditions, des chants du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, des chants bédouins peut-être, ou alors des danses soufies, une musique ancrée dans la tradition musulmane, et elle était tentée de frapper à la porte pour dire quelque chose.
Captaba en ella otro conjunto de tradiciones, Oriente Medio, África del Norte, cantos beduinos, quizá danzas sufíes, música localizada en la tradición islámica, y se le pasó por la cabeza llamar a la puerta y decir algo.
Car bien que Bethléem, selon les écritures, soit le lieu de la maison et du lignage de David auquel Joseph affirme appartenir, avec le passage du temps le charpentier n’y a plus de parents, ou s’il en a il n’a pas de nouvelles d’eux, circonstance négative qui laisse pressentir, alors que nous sommes encore en chemin, la difficulté qu’aura le couple à se loger, car vraiment Joseph ne peut pas en arrivant aller frapper à n’importe quelle porte et dire, J’ai avec moi mon enfant qui veut naître, et voir arriver la maîtresse de maison, toute souriante et joyeuse, Entrez, entrez, monsieur Joseph, l’eau est déjà chaude, la natte étendue sur le sol, le lange de lin préparé, mettez-vous à l’aise et faites comme chez vous.
Y es que, aunque Belén, según las escrituras, sea el lugar de la casa y linaje de David, al que José dice pertenecer, con el paso del tiempo se acabaron los parientes, o de haberlos no tiene el carpintero noticia de ellos, circunstancia negativa que deja adivinar, cuando todavía vamos por el camino, no pocas dificultades para el alojamiento del matrimonio, pues José no puede, nada más llegar, llamar a una puerta y decir, Traigo aquí a mi hijo, que quiere nacer, que venga la dueña de la casa, toda risas y alegrías, Entre, entre, señor José, que el agua está caliente ya y la estera tendida en el suelo, la faja de lino preparada, póngase cómodo, la casa es suya.
Et quand un homme est à côté d’un autre homme, la parole dite et entendue est comme un coup de maillet sur un pieu, elle s’enfonce un peu plus et, à l’heure du repas, avec la casserole ou la marmite posée par terre entre les jambes, pendant que la cuiller monte et descend et que la brise fraîche refroidit le corps, les mots refont surface et c’est avec un rythme posé qu’ils disent, Nous allons réclamer les huit heures, nous avons assez travaillé du lever au coucher du soleil, et alors les prudents craignent pour l’avenir, Que deviendrons-nous si les patrons ne veulent pas nous donner de travail, mais les femmes qui font la vaisselle du dîner pendant que le feu brûle dans l’âtre ont honte que leur homme soit si timoré et elles sont d’accord avec l’ami venu frapper à leur porte pour dire, Nous allons réclamer les huit heures, nous avons assez travaillé du lever au coucher du soleil, car elles aussi triment ainsi, et davantage encore, endolories, ayant leurs règles, enceintes avec un ventre qui leur arrive jusqu’à la bouche, ou, lorsqu’elles ne le sont plus, avec des seins qui répandent un lait qui aurait dû être tété, elles ont de la chance, il ne s’est pas tari, celui qui croit qu’il suffit de brandir un drapeau et de dire, Allons-y, se trompe lourdement. Il faut qu’avril soit un mois où mille mots seront échangés car même les confiants et les convaincus ont des moments de doute, d’angoisse et de découragement, la garde guette, les dragons de la PIDE guettent et l’ombre noire qui s’étend au-dessus du latifundium et qui ne le quitte jamais, il n’y a pas de travail, et nous, allons de nos propres mains réveiller la bête qui dort, la secouer et dire, Demain je travaillerai seulement huit heures, ceci n’est pas le premier mai, le premier mai n’était rien, personne ne peut m’obliger à aller travailler, mais si je dis, Huit heures, seulement ça et rien de plus, c’est comme exciter un chien enragé.
Y estando en la fila un hombre junto a otro hombre, la consigna dicha y oída es como el batir de un mazo en la estaca, más honda cada vez, y a la hora de comer, con la fiambrera o la marmita posada en el suelo, entre las piernas, mientras la cuchara sube y baja y la brisa va enfriando el cuerpo, vuelven las palabras a lo mismo, es un hablar pausado que dice, Hay que conseguir las ocho horas, basta ya de trabajar de sol a sol, y entonces los prudentes temen por el futuro, Qué será de nosotros si los amos no quieren darnos trabajo, pero las mujeres, que están lavando los platos de la cena mientras el fuego arde, se avergüenzan de que aquél tan prudente sea su marido y se muestran de acuerdo con el amigo que llamó a su puerta para decir, Vamos a las ocho horas, basta ya de trabajar de sol a sol, porque también ellas trabajan así, y aún más, doloridas, menstruadas, con la barriga a punto de explotar, o cuando ya alumbraron, con los senos derramando la leche que debería ser mamada, es una suerte, no se les secó, mucho se equivoca quien crea que basta alzar una bandera y decir, Vamos. Es preciso que abril sea un mes de consignas mil, porque hasta los seguros y convencidos tienen sus momentos de duda, sus agonías y desalientos, allí está la guardia, allí están los dragones de la policía política, y la negra sombra que se arrastra por el latifundio, que nunca lo abandona, no hay trabajo, y vamos nosotros, con nuestras propias manos, a despertar a la bestia que duerme, a sacudirla diciendo, Mañana sólo trabajaré ocho horas, esto no es primero de mayo, el primero de mayo es lo de menos, nadie puede obligarme a trabajar, pero si digo, Ocho horas, sólo esto y nada más, es como azuzar a un perro rabioso.
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