Translation for "pirouette" to spanish
Translation examples
Elle fit une pirouette.
Ella hizo una pirueta.
On était des génies de la pirouette.
Éramos genios de la pirueta.
Les pirouettes étaient par ailleurs originales.
Las piruetas eran novedosas también.
À quoi bon faire une pirouette ?
¿Para qué necesito una pirueta?
Une pirouette habile pour se débarrasser de lui !
¡Una hábil pirueta para desembarazarse de él!
Elle fait une espèce de pirouette.
—Hace una especie de pirueta—.
Il fait une pirouette et continue :
Hace una pirueta y continúa:
nains et monstres faisaient des pirouettes ;
enanos y monstruos hacían piruetas;
Et maintenant une pirouette sautée assise.
Y ahora una pirueta a partir de una posición en cuclillas.
Et il fit une pirouette. Il la fit mal et se tordit le pied.
Y al hacer una pirueta se torció un pie.
» — Il y a un bon moment. Un de ses amis est venu l’aider à descendre ses affaires et ils ont pris le temps de faire leurs pirouettes sans se donner la peine de fermer la porte.
—Ya hace rato. Uno de sus amigos ha venido a ayudarla a bajar las maletas, pero antes aún han tenido tiempo de dedicarse a hacer piruetas sin tomarse ni siquiera la molestia de cerrar la puerta.
Mais, n’est-ce pas ? ma mère a peut- être eu d’autres raisons de le renier, l’excellent homme, et ceci ne regarde personne. – 12 – Il l’embrassa avec une violence soudaine, puis se mit à danser et à pirouetter sur lui-même.
Pero quizá mi madre haya tenido otras razones para renegar de tan excelente hombre y eso no le importa a nadie. La abrazó con súbita violencia y se puso a bailar y a hacer piruetas.
Il revint avec une paire d’animaux glabres aux oreilles arrondies et saillantes à peine plus gros que des rats et au pelage beige clair et il les lança en l’air et les rattrapa dans les paumes de ses mains où ils se mirent à pirouetter sans se soucier de rien. Mire, mire ! criait l’homme.
Sacó una pareja de animales calvos con orejas de murciélago, ligeramente más grandes que ratas y pardos de color, y los lanzó al aire y los cogió al vuelo y los animales se pusieron a hacer piruetas en sus manos. ¡Mire, mire!, exclamó el hombre.
On était debout, devant la fenêtre, en manteau, les mains dans les poches et on vit deux jeunes sortir d’une cabane en bois, genre Hänsel et Gretel, ils étaient en patins et, main dans la main, ils se mirent à faire des pirouettes sur la glace. — On y va ? suggérai-je un peu tendu.
Estábamos de pie, frente a la ventana, con nuestros abrigos puestos y las manos embutidas en los bolsillos, y ambos vimos cómo desde una casita de madera, al estilo de Hansel y Gretel, emergieron dos jóvenes con patines cogidos de la mano que comenzaron a hacer piruetas en el hielo. —¿Vamos?
Je l’observais tandis qu’il multipliait virevoltes et pirouettes dans son élégant costume venu de Savile Row, passant de la star de cinéma au chanteur, du dramaturge à la prostituée ou aux gars de la finance discutant de la crise monétaire asiatique, impressionnés de l’entendre maîtriser des termes tels que “Tom Yum Goong”, la locution thaïe pour désigner la crise, et de sa capacité à évoquer le sort des monnaies exotiques, l’effondrement du bath, la dévaluation du renminbi et d’avoir une opinion sur la question de savoir si le financier George Soros avait ou non provoqué la crise de l’économie malaisienne en dépréciant le ringgit.
Yo lo veía girar sobre sí mismo y hacer piruetas con sus mejores galas de Savile Row, pululando por entre y en torno a la joven actriz y la cantante y el dramaturgo y la puta y los dueños del dinero que discutían sobre la crisis financiera de Asia, y que se quedaron impresionados por que él conociera el término «Tom Yum Goong», que es como llaman a la crisis en tailandés, y por su capacidad para discutir sobre el destino de varias divisas exóticas, el hundimiento del baht o la devaluación del yuan chino, y por que pudiera opinar sobre si el financiero George Soros había causado o no el colapso de la economía de Malasia al vender en corto el ringgit.
Il décida de partir le soir même… que faisait-il ici, dans l’inconfort et l’humiliation, alors qu’après tout ses fauteuils en velours gris lui tendaient les bras dans la bibliothèque de sa maison jaune en face du parc… il suffirait d’envoyer Boy en clinique ou quelque chose comme ça, il chercherait bien, et de disperser toutes ces désagréables faces sinistres… ou ces masques(60)… il en avait assez, il se sentit tout à coup on ne peut plus las de tout ça, il n’était guère agréable de se faire moquer pour son âge, d’être obligé de marcher à quatre pattes, envoyé laver des vitres, balayer des couloirs, des pièces vides, des galeries, des cours interminables, condamner des portes, crépir des murs, brûler des vieux journaux, nettoyer le derrière vermoulu de la sémillante Vénus, de faire des pirouettes, de courir traqué par la meute de chiens éclopés, sans queue, galeux, sans oreilles, aux pattes paralysées, aux yeux étincelants dans une tête hypertrophiée et aux crocs menaçants de bave roulant à flots sur leurs babines, de devoir obéir à n’importe lequel de ces monstres qui, après tout, oui, oui, pourquoi en aurais-je peur alors que je peux les disperser quand bon me semble… chaque jour il se proposait de dire à Emperatriz que cette farce avait assez duré et de les licencier, mais il ne parvenait jamais à lui parler, je tombe d’épuisement dans mon lit, je rêve de monstres qui m’approchent, je les vois au réveil, je ne sais plus distinguer les monstres de la veille de ceux du sommeil, ces visages épouvantables au nez phénoménal, à la mâchoire lourde, à la bouche toute pleine de dents, tous crevant de rire parce que c’est moi le monstre, ils me le crient jour et nuit dans ces vagues galeries où apparaissent de nouveaux monstres inconnus, car maintenant tous les monstres sont inconnus, si seulement je trouvais ne fût-ce qu’un monstre de ma connaissance, mais non… ça doit être un rêve, cette histoire de passages pleins de toiles d’araignées, et si c’est un rêve, il est normal que mes monstres amis, ceux de mon temps de veille, ne puissent entrer dans mon sommeil pour me récupérer, sauvez-moi de cette persécution, qu’on ne me crie plus que je suis la risée du monde entier, je ne me rappelle plus où se trouve la porte de sortie, je ne connais pas ces couloirs ni ces cours, on vient de les mettre ici, si je trouvais la porte, je pourrais convaincre Basilio de me laisser sortir, mais Basilio n’est pas là, il déambule des gens qui lui ressemblent mais ne sont pas Basilio, des cousins, des frères, des oncles peut-être, semblables à lui, mais pas lui, car ils ne me répondent que par des insanités quand je les supplie, Basilio, ouvre-moi, si tu me laisses sortir, je te donnerai ce que tu voudras, ce n’est pas Basilio car il me jette des cailloux qui me blessent à la poitrine, ces bosses, ces visages albinos, ces grosses têtes de bulldog, ces géantes exhibant leur démarche ballottante qui me poursuivent, sont tous des horreurs qui m’appartiennent, dont je savais le nom et avec qui je causais, qui me répondaient, mais maintenant ils sont sourds-muets car ils veulent seulement me poursuivre pour me fatiguer et que je me jette sur mon lit, à dormir sans pouvoir avertir sérieusement Emperatriz que ça suffit, qu’on laisse tomber ces jeux, que la justice règle leur cas, mais ils me poursuivent aussi la nuit, me fatiguant pour affronter le jour suivant, balayant tout ce que je porte en moi sauf mon désir d’implorer leur clémence, ne fût-ce qu’une trêve, mais ils ne m’en accordent pas, ils crient, ils piaillent, ils me fouettent, ils rient autour de moi, je porte mes mains à mon visage pour toucher mes traits et les reconnaître, même si ce n’étaient que mes éternels traits monstrueux, oui, oui, oui, je reconnais que j’ai toujours été difforme, jamais un être ayant exercé d’importantes fonctions publiques, et qu’ont aimé des femmes très belles… il ne reste aucun vestige des traits de cet homme.
Decidió que esa noche iba a salir… qué hacía aquí, incómodo y humillado, al fin y al cabo, si sus sillones de terciopelo gris lo esperaban en la biblioteca de su casa amarilla frente al parque… cuestión de mandar a Boy a una clínica o algo así, ya buscaría, y dispersar a todas esas incómodas carotas… o caretas… estaba cansado, de pronto se cansó muchísimo de todo esto, no era cómodo que se rieran de sus años, que lo obligaran a andar a gatas, que lo mandaran a lavar vidrios, a barrer pasadizos y habitaciones vacías y galerías y patios interminables, a clausurar puertas, a enlucir muros, a quemar diarios viejos, a limpiarle el trasero carcomido a la Venus retozona, a hacer piruetas, a correr acosado por la jauría de perros rengos, sin cola, sarnosos, sin orejas, con las patas inutilizadas, los ojos refulgentes en las cabezas hipertróficas y los colmillos peligrosos de baba que chorreaba en sus jetas, tener que obedecer a cualquiera de esos monstruos que, al fin y al cabo, sí, sí, para qué les tengo miedo si puedo dispersarlos cuando se me antoje… todos los días se proponía decirle a Emperatriz que hasta aquí no más iba a llegar la farsa y licenciarlos, pero nunca logro hablar con ella, caigo agotado en mi cama, sueño con monstruos que me cercan, los veo al despertar, ya no sé cuáles son los monstruos de la vigilia y cuáles los del sueño, los rostros espantosos de narices descomunales y mandíbula pesada y la boca repleta de dientes, todos agotados de la risa porque soy yo el monstruo, me lo gritan día y noche por los pasillos confusos donde van apareciendo más monstruos desconocidos porque ahora todos los monstruos son desconocidos, quisiera encontrarme siquiera con uno de mis monstruos conocidos, pero no… debe ser mi sueño esto de los pasadizos llenos de telarañas y si es sueño es natural que mis monstruos amigos, los de la vigilia, no puedan entrar al sueño para rescatarme, sálvenme de esta persecución en que me gritan que soy el hazmerreír del mundo entero, ya no me acuerdo de dónde estaba la puerta de salida, yo no conozco estos pasadizos ni estos patios, los acaban de poner aquí, si encuentro la puerta de salida podría convencer a Basilio de que me deje salir, pero Basilio no está, deambula gente parecida a Basilio que no es Basilio, primos, hermanos, tíos, quizás, iguales a él, pero no él, porque no me contestan más que con improperios cuando yo les imploro, Basilio, ábreme, te doy lo que quieras si me dejas salir, no es Basilio porque me tira piedras que me hieren el pecho, estas jorobas, rostros albinos, cabezotas de bull-dog, las gigantas mostrencas de andar bamboleante que me persiguen son todos adefesios de mi propiedad a quienes yo les sabía el nombre y les hablaba, y me respondían, pero ahora son sordos y mudos porque lo único que quieren es perseguirme para que me canse y caiga a la cama a dormir sin poder advertirle seriamente a Emperatriz que está bueno, que se deje de juegos, que la justicia se haga cargo de todos, pero me persiguen también en la noche, cansándome para afrontar el día, barriendo todo lo que hay en mí menos mi deseo de implorar clemencia, por lo menos una tregua, pero no me la dan, gritan y chillan y me azotan y se ríen alrededor mío, me llevo las manos a la cara para tocarme las facciones y reconocerlas aunque no fueran más que mis facciones monstruosas de siempre, sí, sí, sí, reconozco que siempre he sido deforme, jamás un ser que ha tenido importantes cargos públicos y que me han amado mujeres muy bellas… no quedan vestigios de las facciones de ese hombre.
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