Translation for "petit-enfant" to spanish
Translation examples
"C'est un petit enfant, protestat-elle.
—Es un niño pequeño —dijo—.
Ils sont comme de petits enfants ;
Tienen la mente de un niño pequeño;
Un petit enfant qui pleurait.
Era un niño pequeño que lloraba.
J’étais seulement petit enfant alors.
Yo niño pequeño entonces.
Un petit enfant le regarde, déconcerté.
Un niño pequeño lo mira, sorprendido.
Il se comportait vraiment comme un petit enfant !
Realmente, se estaba comportando como un niño pequeño.
Elle dit que mes compositions sont celles d’un petit enfant.
Dice que mis composiciones son las de un niño pequeño.
— O mouï Yésous ! Loui qui toujours rêvait petite enfant ! Maintenant, petite enfant est là, et Zacharias parti.
—O moi Jesus! Siempre soñaba con niño pequeño, y ahora no hay niño pequeño ni Zacharias tampoco.
Ciena ouvrit les bras pour recueillir un petit enfant, qu’elle hissa à l’intérieur, puis tendit la main à son père.
Ciena extendió sus brazos para alzar a un pequeño niño y subido a la nave, después le dio la mano a su padre para ayudarlo.
Car la science est bizarre, un animal bizarre, qui va se nicher dans les endroits les plus absurdes et travaille selon des plans minutieux qui, vus de l'extérieur, paraissent forcément impénétrables, et même parfois comiques, tellement ils ressemblent à un vagabondage oiseux, alors que ce qu'ils tracent c'est une géométrie de sentiers de chasse, de pièges disséminés avec art, et de batailles stratégiques devant lesquelles il peut arriver qu'on reste ébahi, un peu comme le fut le baron de Carewall quand, pour finir, ce docteur vêtu de noir lui parla, en le regardant dans les yeux, avec une froide assurance mais aussi, on aurait dit, comme un soupçon de tendresse, idée complètement absurde quand on connaît les hommes de science et en particulier le docteur Atterdel mais pas totalement incompréhensible pour quelqu'un qui aurait pu entrer dans la tête dudit docteur Atterdel, et plus précisément dans ses yeux, où l'image de cet homme grand et fort – le baron de Carewall en personne, malgré tout – ne cessait de se basculer en celle d'un homme recroquevillé dans son lit, y dormant comme un enfant, le grand et puissant baron et le petit enfant, l'un à l'intérieur de l'autre, à ne plus les distinguer, à finir par en être ému, même quand on est un véritable homme de science comme l'était, incontestablement, le docteur Atterdel en cet instant même où, avec une assurance froide mais pourtant aussi un soupçon de tendresse, il regarda dans les yeux le baron de Carewall et lui dit Je peux sauver votre fille – il peut sauver ma fille – mais ce ne sera pas simple et, en un certain sens, ce sera terriblement risqué – risqué ? – c'est encore expérimental, nous ne savons pas vraiment quel effet cela peut produire, nous pensons que cela peut avoir son utilité dans des cas comme celui-ci, la chose a été fréquemment constatée mais personne ne peut vraiment dire... – et le voilà, le piège géométrique de la science, les voilà les impénétrables sentiers de chasse, la partie que cet homme vêtu de noir s'apprête à jouer contre la maladie rampante et insaisissable d'une petite fille trop fragile pour vivre et trop vivante pour mourir, maladie imaginaire mais qui a quand même son ennemi, et cet ennemi est monstrueux, une médication risquée mais fulgurante, absolument insensée, quand on y pense, au point que l'homme de science lui-même baisse la voix, à l'instant où, sous le regard immobile du baron il prononce son nom, juste un mot, un seul, mais qui sauvera sa fille, ou alors la tuera, mais plus vraisemblablement la sauvera, un seul mot, mais infini, à sa manière, et magique, aussi, d'une intolérable simplicité. – La mer ?
Puesto que la ciencia es extraña, un animal extraño, que busca su madriguera en los sitios más absurdos, y trabaja siguiendo meticulosos planes que desde fuera sólo pueden ser considerados inescrutables e incluso, en ocasiones, cómicos, pues no parecen más que un vacuo vagabundeo y, en cambio, son geométricas sendas de caza, trampas repartidas con sapiencial arte, estratégicas batallas frente a las cuales uno queda estupefacto, un poco como le sucedió al barón de Carewall cuando aquel doctor vestido de negro al final le habló, mirándolo a los ojos, con fría seguridad, pero también, se diría, con un velo de ternura, algo totalmente absurdo, conociendo a los hombres de ciencia y al doctor Atterdel en particular, pero no del todo incomprensible sólo con que fuéramos capaces de penetrar en la cabeza del propio doctor Atterdel y en especial en sus ojos, donde la imagen de aquel hombre enorme y fuerte —nada menos que el barón de Carewall en persona— se deslizaba continuamente hacia la imagen de un hombre acurrucado en su cama, durmiendo allí como un niño, el gran y poderoso barón y el pequeño niño, uno dentro del otro, hasta que no era posible distinguirlos, era para acabar conmovidos, incluso siendo auténticos hombres de ciencia, como lo era, indiscutiblemente, el doctor Atterdel en el instante en que con fría seguridad y sin embargo con un velo de ternura miró a los ojos al barón de Carewall y le dijo Yo puedo salvar a vuestra hija —él puede salvar a mi hija —pero no será sencillo y en cierto modo será también terriblemente arriesgado —¿arriesgado? —es un experimento, no sabemos todavía con certeza qué efectos puede tener, creemos que puede servir en casos como este, lo hemos visto muchas veces, pero nadie puede decir con certeza que… —he aquí la geométrica trampa de la ciencia, las inescrutables sendas de la caza, la partida que aquel hombre vestido de negro jugará contra la enfermedad escurridiza e inasible de una muchacha demasiado frágil para vivir y demasiado viva para morir, enfermedad fantástica a la que no falta sin embargo un enemigo, y es desmesurado, una medicina arriesgada pero fulgurante, completamente absurda, pensándolo bien, tanto que hasta el hombre de ciencia baja la voz en el preciso instante en que ante los ojos inmóviles del barón pronuncia el nombre, nada más que una palabra, pero es lo que salvará a su hija, o la matará, pero con mayor probabilidad la salvará, una palabra sola, infinita, sin embargo, a su manera, hasta mágica, intolerablemente simple.
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