Translation for "perdirent" to spanish
Translation examples
Ou perdirent de leur saveur.
O perdió el brillo.
Ils ne perdirent jamais la boîte d’archives.
El archivador nunca se perdió.
Et ses traits perdirent toute expression.
Su rostro perdió toda expresión.
Un autre hurla des paroles qui se perdirent dans le vent.
Otro gritó algo que se perdió en el viento.
Il se tut et ses yeux se perdirent au loin.
Se calló un rato y su mirada se perdió en el vacío.
Les juniors perdirent par trois essais ;
El equipo de los cursos superiores perdió por tres touchdowns;
Ses fanfaronnades se perdirent dans le sifflement subit d’un jeune arbre.
—insistió Tuntun, pero su jactancia se perdió en el susurro de un arbolito al agitarse.
Même lorsque leur culture eut atteint l’apogée, ils ne perdirent rien de leur initiative.
Incluso cuando alcanzaron su cima cultural, nadie perdió la iniciativa.
Mes doigts perdirent toute force et je lâchai mes aiguilles à tricoter sur mes genoux.
Perdí la fuerza de los dedos y se me cayeron las agujas en el regazo.
Elles marchèrent dans la neige tôlée et perdirent peu à peu la maison de vue.
Anduvieron por la nieve hasta que la casa casi se perdió de vista.
Ils ne perdirent même pas une pagaie.
Todavía no habían perdido los remos.
Ses yeux se perdirent au loin.
Ella se quedó con la mirada perdida.
À la suite de cela, les ouvriers des chantiers navals perdirent leur emploi ;
De resultas de ello los obreros de los astilleros habían perdido el empleo;
Le sang se retira de son visage et ses yeux perdirent leur éclat farouche.
Su rostro ya había perdido el rubor y los ojos su exaltación.
Sa voix resta suspendue et ses paroles creuses se perdirent dans l’atmosphère.
Su voz quedó suspendida, las palabras huecas perdidas en el aire.
Soudain… ils perdirent la raison, car ils avaient tous, simultanément, perdu tout contact avec la réalité.
Súbitamente, se volvieron locos. Porque todos, simultáneamente, habían perdido contacto con la realidad.
Néron et la babouchka furent rapidement asphyxiés par la fumée, perdirent conscience et ne s’éveillèrent plus.
Nerón y la babushka se habían visto rápidamente rodeados por el humo, habían perdido el conocimiento y no se habían vuelto a despertar.
Malgré leur différence d’âge, les deux qui perdirent leur passeport avaient quelque chose en commun.
A pesar de la diferencia entre sus edades respectivas, los dos que habían perdido sus pasaportes tenían varias cosas en común.
Les Seigneurs des Portes perdirent la notion du temps, car la lumière du soleil était masquée par les brumes mouvantes.
Los Señores del Dominio habían perdido la noción del tiempo, ya que la arremolinada niebla impedía el paso de la luz del sol.
Elle était persuadée que c’était une formule enchantée qui allait immédiatement retourner la situation, mais dans cette chambre ces mots perdirent leur pouvoir magique.
Creía que era una fórmula mágica que modificaría instantáneamente la situación, pero en esa habitación las palabras habían perdido su poder mágico.
Ils s’y perdirent un moment, errant de côté et d’autre.
Durante un rato anduvieron extraviados de un lado a otro.
Sans les conseils de Silwyth, ils auraient été complètement perdus, car les brumes s’épaississaient à mesure qu’ils se rapprochaient des chutes d’eau, et ils perdirent bientôt de vue les falaises au-dessus d’eux.
Sin la guía de Silwyth se habrían extraviado irremediablemente, porque la niebla se espesaba a medida que se aproximaban a las cataratas, y en seguida perdieron de vista los acantilados que se alzaban sobre sus cabezas.
Et elle dit quelque chose, mais ses paroles se perdirent dans le fracas du moteur d’une moto qui passait à toute allure dans la rue, attirant l’attention de tous les gosses que leurs parents, qui avaient cessé de s’en faire pour eux, avaient comme d’habitude flanqués à la porte de chez eux en leur disant d’aller à l’école si cela leur chantait.
Y dijo algo que quedó apagado por el ruido de una moto que pasaba y atraía la atención de todos los chiquillos que, como de costumbre, habían salido de casa para arreglárselas como pudieran, para ir al colegio o hacer lo que quisieran, pues sus padres habían dejado de preocuparse por ellos.
L’un derrière l’autre, ils passèrent sur la même planche que moi, dévalèrent la rue jusqu’au feu qui se mit au vert pour me laisser passer et me poursuivirent parmi les étalages couverts des magasins où, pour la première fois, ils me perdirent de vue ; quelques promeneurs endimanchés, par contre, attirèrent mutuellement leur attention sur moi et se retournèrent intrigués, ahuris.
Continué calle abajo hasta el semáforo, que solo yo encontré en verde, y luego frente a las vitrinas y escaparates de los comercios, donde por vez primera me perdieron de vista, y donde otros domingueros curiosos que contemplaban los escaparates de las tiendas repararon en mí y se giraron, sorprendidos y extrañados. Pero yo ya les había dejado atrás y corría hacia el puente de hierro del ferrocarril. Vi el cartel que advertía: «¡Humo!».
Marta inspira profondément, Il n’y a que les femmes pour avoir de bonnes idées, Il ne faut pas se précipiter, dit Cipriano Algor, Que veux-tu dire, demanda Isaura, Tu as ta maison, ton emploi, Et alors, Tout lâcher ainsi, tourner le dos, J’avais déjà tout lâché avant, tourné le dos avant, quand j’ai serré cette cruche contre ma poitrine, il fallait vraiment que tu sois un homme pour ne pas comprendre que c’était toi que j’étreignais ainsi, ces derniers mots se perdirent presque dans une irruption soudaine de sanglots et de larmes.
Marta respiró hondo, Para tener ideas provechosas, no hay nada como ser mujer, Conviene que no nos precipitemos, dijo Cipriano Algor, Qué quieres decir, preguntó Isaura, Tienes tu casa, tu empleo, Y, Dejarlo todo así, volverle la espalda, Ya lo había dejado todo antes, ya le había vuelto la espalda antes cuando apreté aquel cántaro contra el pecho, realmente era necesario que fueras hombre para no comprender que te estaba apretando a ti, las últimas palabras casi se perdieron en una súbita irrupción de sollozos y de lágrimas.
Décidée à tirer parti de son hésitation, Mara s’agrippa à Lando, avança d’un pas, décolla sa botte magnétique droite de la coque – un bel effort ! – et flanqua un formidable coup de pied dans la poitrine de son adversaire. Sans Calrissian pour la retenir, la jeune femme eût sûrement partagé le sort du commando, dont les deux bottes perdirent contact avec le sol. L’homme hurla-t-il quand il bascula dans le vide ? Mara et Lando auraient été incapables de le dire, car ils n’étaient pas en contact radio avec lui.
Mara aprovechó su fugaz momento de pérdida del equilibrio para agarrar a Lando y añadir su masa a la suya mientras empujaba al soldado. Usó un pie para desprender una bota del soldado de las planchas metálicas mientras éste se debatía desesperadamente intentando recuperar el equilibrio, y después se lanzó sobre él. El impacto desprendió la bota magnética del suelo, y el soldado se encontró sin ningún punto de sujeción. La inercia que le había proporcionado el ataque de Mara y el que hubiese dejado de estar adherido al núcleo hicieron que el soldado empezara a caer.
Ses traits, ses gestes, sa haute silhouette masculine certainement très robuste se perdirent dans un brouillard qui commença par se former dans les angles de l’appartement et finit par couvrir les pièces de derrière d’une grisaille mystérieuse, de sorte que j’en ai perdu le souvenir.
Su rostro, sus gestos, su cuerpo de hombre alto y seguramente poderoso han quedado diluidos en una neblina que empezó naciendo en los rincones de la casa y terminó haciendo misteriosas y grises las habitaciones de atrás, de modo que yo no lo recuerdo.
Le dragon fut pris de spasmes. La corne devint brûlante, mais ils la tinrent fermement en contact avec leur adversaire, même après que ses pattes se furent ramollies et que sa tête fut tombée à terre. Sous sa peau translucide, les lignes sombres de ses veines se diffusèrent en nuages noirs. Les organes étrangement visibles perdirent leur forme et se fondirent les uns dans les autres. Ses entrailles se mirent à bouillonner et sa peau éclata, libérant des panaches d’un bleu et d’un violet profonds.
Al cabo de unos instantes tenían el cuerno pegado a una carcasa seca y arrugada, que no era ni una décima parte de lo que había medido antes la dragona. Cuando Siletta se hubo quedado durante un largo minuto en ese estado quebradizo e inmóvil, sin que manaran ya más vapores de ella, Seth dijo: —Creo que estamos fuera de peligro. Sin despegar las manos del cuerno, retrocedieron marcha atrás. La grotesca cáscara de la dragona no hizo el menor espasmo.
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