Translation for "pennsylvanien" to spanish

Pennsylvanien

• pensilvania
• pennsylvanian

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pensilvania

Le colonel Owen avait demandé des renforts pour couvrir son artillerie. Il n’avait que deux canons et toute aide était bienvenue. Jamie lui avait envoyé les Pennsylvaniens de Thomas Meleager.
El coronel Owen había solicitado cobertura para su artillería —solo dos cañones, pero cualquier pieza de artillería era bienvenida— y Jamie había enviado a los de Pensilvania de Thomas Meleager para ocuparse de ello.

— Comment ? — En la prenant par les sentiments. Il faudrait que je devienne le frère de quelqu’un. Jack, établissez-moi un permis de conduire Pennsylvanien, quelque chose qui en ait l’air, tout au moins, au nom d’Alan Carter. — Ça sera cher.
—¿Qué manera? —Con sentimiento. Haciéndome pasar por el hermano de Sylvia. ¿Puedes proporcionarme una licencia de conductor de Pensilvania o algo parecido y poner en ella el nombre de Alan Carter? —Eso te costará.

La lune aux trois quarts pleine, glissant vers l’horizon d’un côté du ciel, était encore assez haute pour répandre une pâle lueur hivernale qui semblait anachronique dans la chaleur humide de cette nuit d’août pennsylvanienne.
La Luna, en sus tres cuartas partes, bajaba deslizándose por un lado del cielo y estaba lo bastante alta como para difundir un pálido y glacial resplandor que parecía anacrónico a aquellas sepulcrales, calurosas y húmedas horas de una noche de agosto en Pensilvania.

Tandis que nous traversions la campagne pennsylvanienne pour accomplir notre mission de corruption distinguée, Pudding nous distrayait d’un flot ininterrompu d’histoires drôles, de poèmes humoristiques, de jeux de mots et d’anecdotes désopilantes relatives aux années qu’il avait passées sur la route.
Mientras viajábamos por las tierras de Pensilvania hacia nuestra misión de refinada corrupción, Gelatina nos entretuvo a Luke Bendingo y a mí con una interminable serie de chistes, versos jocosos, juegos de palabras y anécdotas divertidas de sus años nómadas.

Dehors, il neigeait, c’était un parfait hiver pennsylvanien, mais notre homme possédait plusieurs serres chauffées au charbon qu’il avait lui-même conçues – des constructions qui faisaient non seulement l’envie de tous les amateurs de plantes et botanistes des deux Amériques, mais également sa richesse – et s’il avait envie d’un ananas en janvier, par Dieu, il l’aurait.
Fuera nevaba, como es habitual durante el invierno en Pensilvania, pero este hombre poseía varios invernaderos a carbón diseñados por él mismo (lo cual le convertía no solo en la envidia de todos los cultivadores y botánicos del continente, sino también en un hombre de riquezas desmesuradas) y, si se le antojaba una piña en enero, por todos los cielos que tendría una piña en enero.

Et c’était exactement ce qu’il faisait, il les gardait pour ce type qu’il a rencontré sur Internet : il fait partie d’un organisme en Pennsylvanie et il devait venir la semaine prochaine pour emmener les souris dans un refuge où elles pouvaient être adoptées, il a dit… » Le Dr Battista grogna, sans doute parce qu’il se représentait ses précieuses souris entre les mains d’une bande de Pennsylvaniens bourrés de germes. « … et une fois arrivés au labo, alors qu’Edward a eu la gentillesse de les décharger de la voiture et de les remettre dans leur salle, ce qui n’est pas de la tarte, croyez-moi, eh ben comment est-ce qu’il est remercié ?
Y así era, los estaba cuidando para un hombre que trabaja en una organización de Pensilvania a quien había conocido en internet, y que la semana que viene iba a llevar a los ratones a un refugio de animales donde podrían adoptarlos, dijo que… —El doctor Battista gimió, sin duda al imaginar a sus preciosos ratones en manos de unos tipos oriundos de Pensilvania cubiertos de gérmenes—… y luego, después de obligarle a ir al laboratorio y de que Edward le ayudara a llevarlos a la sala de los ratones, que, podéis creerme, no es tarea fácil, ¿cómo se lo agradece?