Translation for "parrages" to spanish
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après avoir plongé en décrivant brusquement un virage ludique et capricieux, il était venu se percher sur l’étincelante pièce ornementale qui coiffait la tour, et, tout en dodelinant de la tête, avait entonné un chant si intense, si doux, si poignant qu’il ne pouvait manquer d’attirer l’attention de toute éventuelle partenaire se trouvant dans les parages, ne fût-ce que l’espace d’une minute.
después de dibujar un arco cerrado, caprichoso y juguetón, descendió en picado desde las alturas, se posó sobre el adorno de bronce que coronaba la torre y, alzando de vez en cuando la cabeza, entonó una melodía tan suave y emocionante en aquel silencio, de la última hora ya de la mañana bañada por el sol que si su pareja estaba allí cerca sin duda llamó su atención, aunque sólo fuese un instante.
Je suis donc dans ses parages immédiats... Cependant, à mesure que les jours passent, je vois s'éloigner la couleur de l'or, car bien que le métal continue à apparaître de-ci de-là, sous forme de parures, de figurines, de petits grains, de pépites - qui jamais ne rempliraient la main d'un bon Génois -, il ne s'agit finalement que de miettes, d'escarbilles, de minuscules copeaux d'un grand filon qui demeure caché ; il est vrai qu'il en a été de même dans l'île Espagnole où je me suis bercé des mêmes illusions.
Luego estoy en las inmediaciones de ese gran reino… Y sin embargo, a medida que transcurren los días, veo alejarse el color del oro, porque si bien el metal sigue apareciendo, aquí, allá, bajo for nía de adornos, figulinas, cuentecillas, trozos -que casi nunca llegan al tamaño de una mano de buen genovés- no pasa todo esto de ser migajas, leves escarbaduras, mínimas virutas de una gran veta que no acaba de aparecer -y que tampoco se hallaba en la Espa ñola, en fin de cuentas, como pude creer cuando me ilusione con la riqueza de esa gran isla.
Ainsi elle cessa de se soucier de perles et de boucles d’oreilles, qui ne faisaient que l’énerver de toute manière, et si elle avait pu retirer son alliance de son doigt épaissi elle l’aurait fait, et au lieu des vêtements sombres, ternes et discrets, semblables à ceux que sa mère portait toujours (qu’elle tenait à porter, car Della était éternellement « en deuil » de son jeune mari que les Bellefleur avaient tué), elle se mit à revêtir, non seulement en des occasions spéciales, quand les Steadman ou les Fuhr passaient, mais lors de matinées tout à fait ordinaires et sans histoire, des robes aux couleurs vives dont certaines allaient jusqu’au sol, avec de larges manches bouffantes, ou des perles décoratives, ou des plumes, ou de la dentelle espagnole faite main : et quelquefois les robes avaient des décolletés ouverts, qui découvraient en partie les seins opulents si surprenants de Leah, et Vernon, entrant dans le salon d’un pas hésitant, tenant son cahier rempli de gribouillages (il était très vaniteux, et pourtant gêné au sujet de ses « gribouillages », de sa poésie, et il la lisait seulement à Leah et à certains des enfants, s’assurant que Gideon, Ewan et son père ne se trouvaient nulle part dans les parages : une invocation rhapsodique psalmodiée de ses maîtres Blake, Wordsworth, Shakespeare, Héraclite, mêlée d’interminables réflexions (que la pauvre Leah, dont la tête tournait dès qu’elle feuilletait seulement l’une des encyclopédies scientifiques de Bromwell, ou même l’un des livres de lecture de Christabel, ne pouvait arriver à comprendre – il était assez difficile pour elle de retenir de grands bâillements venus des profondeurs de sa poitrine tandis que Vernon lisait d’une voix frémissante, grêle, un peu prophétique, qui était sa « voix poétique » spéciale) sur une légende familiale d’une authenticité douteuse : la signification de la malédiction des Bellefleur ;
Y dejó de tomarse la molestia de llevar perlas y pendientes, que sólo servían para ponerla nerviosa en todo caso, y si hubiera podido sacarse el anillo de boda del dedo hinchado lo habría hecho, y en vez de ponerse los vestidos abombados, oscuros, aburridos y discretos que su madre se empeñaba en poner (porque Della estaba siempre «de luto» por su joven esposo a quien los Bellefleur habían matado), empezó a ponerse, y no sólo en ocasiones especiales, cuando venían los Steadman o Nicholas Fuhr o Faye Renaud, sino en mañanas corrientes en las que no ocurría nada, vestidos de colores vivos, algunos largos hasta el suelo, que tenían mangas anchas y llamativas o plumas y abalorios de adorno, o encaje español hecho a mano: y a veces los vestidos tenían escote y los pechos maduros y asombrosos de Leah se veían en parte, y Vernon entraba inseguro en la sala, con su carpeta llena de garabatos (se sentía muy orgulloso de sus «garabatos», su poesía, pero también le daban vergüenza y se los leía sólo a Leah y a algunos de los niños y se aseguraba de que ni Gideon ni Ewan ni su padre Hiram estuviesen cerca: una invocación rapsódica y cantarina de sus maestros Blake, Wordsworth, Shakespeare y Heráclito, mezclada con reflexiones interminables —que la pobre Leah, cuya cabeza le daba vueltas aquellos días aunque no hiciera más que hojear una de las enciclopedias de ciencia de Bromwell o alguno de los libros de lectura de Christabel, no podía encontrarles el sentido; bastante difícil le resultaba reprimir los grandes bostezos que la sacudían cuando Vernon leía con voz temblorosa, atiplada y un poco de oráculo, que era la voz especial que ponía para leer poesía— sobre leyendas familiares de dudosa autenticidad: el significado de la maldición de los Bellefleur;
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