Translation for "palier" to spanish
Translation examples
» Et, poussant la vieille demoiselle vers l’antichambre : « Restez sur le palier.
—Y, llevando a la anciana hacia el recibimiento, dijo—: Esté atenta en la escalera.
En vérité, ce palier était un lieu bruyant. Les Adeptes de l’Esprit de Mahdi, en robes vertes, portaient des faucons vivants, dressés à glapir l’« appel au paradis ».
La explanada era un lugar ruidoso: allí estaban los Cultistas del Espíritu Mahdi, con sus ropas verdes y llevando halcones amaestrados a graznar su «llamada a los cielos».
Après avoir graissé un à un les paliers et nettoyé à grande eau le ventre de la Chose, il s’extirpa de sa prison avec, bien au chaud contre son sein, les élues du jour.
Después de haber engrasado uno a uno los palieres y limpiado con agua abundante el vientre de la Cosa, salió raudo de su prisión llevando en su seno, bien calentitas, las elegidas de ese día.
Au bout de presque une demi-heure de marche le long de canaux où des eaux usées charriaient lentement leurs ordures vers le port, le groupe se retrouva tout près du grand palier.
Tras casi media hora andando junto a canales que fluían lentamente llevando desperdicios y basura hacia el puerto, se encontraron acercándose a la amplia plataforma.
Il y eut un escalier nauséabond aux craquements sinistres, où la vieille semblait répandre une vague lueur violette ; et enfin une porte donnant sur un palier. La sorcière tâta le loquet, ouvrit la porte et, faisant signe à Gilman de l’attendre, disparut dans les té- nèbres. L’oreille hypersensible du jeune homme perçut une af- freuse plainte étouffée, et presque aussitôt la mégère sortit de la pièce portant une petite forme inerte qu’elle tendit au rêveur comme pour lui ordonner de la porter.
Subieron una escalera que crujía amenazadoramente y sobre la cual la hechicera parecía proyectar una tenue luz violácea, y finalmente se detuvieron ante una puerta que se abría en un rellano. La hechicera anduvo en el picaporte y abrió la puerta, indicando a Gilman que aguardara v desapareciendo en el interior. El oído hipe’rsensible del muchacho captó un espeluznante grito ahogado, y pasados unos momentos, la bruja salió de la habitación llevando una pequeña forma inerte que tendió a Gilman como ordenándole que lo cogiera.
rodamientos
Les paliers s’étaient grippés.
Los rodamientos habían fallado.
Le contremaître montra à Lefty comment prendre un palier sur le convoyeur, le meuler sur un tour, et le replacer.
El capataz enseñó a Lefty a coger un rodamiento de la cinta transportadora, pulirlo en el torno y volver a dejarlo.
Elle retint son poids une seconde, mais Pierre lâcha prise et roula jusqu’au palier précédent.
Hubo un crujido cuando un punto en medio del bastón soportó todo su peso durante un segundo, pero Pierre se soltó y cayó dando tumbos hasta el rellano.
Lorsqu’il s’arrêta au premier palier, il vit que le sommet de l’escalier débouchait sur une longue galerie qu’éclairaient une douzaine de bougies dans des appliques à fond de miroir.
Al detenerse en el primer rellano, vio que la escalera daba acceso a una galería larga, iluminada por docenas de velas con soportes de espejo.
L’escalier s’élevait sans étais dans les airs au-dessus de la plate-forme, dans un interminable colimaçon qui aboutissait sur un palier et une porte à doubles battants recouverte de runes.
La escalera ascendía sin soporte alguno por el aire de encima de la galería, describiendo curvas y más curvas hasta un punto central. Acababa en un descansillo y un par de puertas con runas grabadas.
Clignant des yeux, Alex parvint à focaliser son regard sur le frappeur, un piston luisant de deux mètres de diamètre et long de plus de dix, attaché à un palier universel qui tournait au milieu d’une excavation plus large que certains cratères lunaires.
Mientras parpadeaba, los ojos de Alex enfocaron primero el golpeador, una brillante vara de dos metros de diámetro y más de diez de largo, unida a un soporte en un hueco de excavación más grande que algunos cráteres lunares.
Ils se tenaient sur un palier. Devant eux se dressait une porte fermée et barrée avec du métal rouillé, et des torches reposaient dans des supports fixés à la pierre. Leur lueur éclairait faiblement les marches usées, et l’odeur âcre de la fumée flottait dans la pénombre.
Ante ellos había una puerta cerrada y asegurada con una barra de metal oxidado. Había antorchas colocadas en soportes de hierro clavados en la piedra, y su luz recortaba el contorno de los escalones gastados, mientras el humo acre se elevaba en la penumbra de la torre.
Il prit par la rive droite de l’île, le mince ruisseau qui avait autrefois servi de bief au vieux moulin de paysage hollandais et dont les ruines envahies de mousse, jetées de béton, paliers et essieux rouillés encombraient le lit.
Enfiló la orilla interior del islote, angosto canal que antiguamente había servido de caz para la rueda hidráulica del viejo holandés y bajo el cual descansaban ahora sus ruinas cubiertas de musgo, pilares de hormigón y soportes y ejes herrumbrosos.
Les maîtres en AEV avaient assemblé ces pièces et ajouté suffisamment de rivets pour rendre l’ensemble plus ou moins étanche, après quoi le Centre de support-vie avait injecté assez d’air pour pallier les fuites pendant que les soudeurs finalisaient l’étanchéité de l’intérieur.
Los patrones EVA unieron las piezas y añadieron suficientes remaches para formar un cierre a presión de mierda, con filtraciones. Entonces Soporte Vital mantuvo la burbuja alimentada con aire suficiente para contrarrestar las fugas mientras los soldadores realizaban los cierres verdaderos desde dentro.
and Catherine T. MacArthur, l’un des trois seuls lauréats américains encore en vie du prix Nobel de littérature, 1m77, 82 kg, marron/châtain, le front inégalement dégarni suite à la tolérance ou au rejet capricieux de divers implants Hair Augmentation Systems, assis, ou allongé – ou peut-être, pour être plus exact, juste étendu –, en slip de bain Speedo noir au bord de la piscine en forme de haricot du jardin(1), sur la terrasse carrelée, dans une chaise longue pliable dont le dossier était présentement incliné au quatrième taquet pour former un angle de trente-cinq degrés avec le sol en mosaïque de la terrasse, à 10 h 20 le matin du 15 mai 1995, le quatrième poète le mieux représenté en anthologie de toute l’histoire des lettres américaines, près d’un parasol mais non pas dans l’ombre dispensée par celui-ci, en train de lire Newsweek(2), le magazine calé contre la modeste colline de son ventre, chaussé de tongs, une main derrière la nuque, l’autre qui pendait sur le côté et suivait le filigrane ocre et brun du luxueux carrelage en céramique espagnole de la terrasse, mouillant un doigt de temps à autre pour tourner la page, protégé par des lunettes de soleil à sa vue dont les verres traités chimiquement s’assombrissaient par paliers à proportion de la luminosité, au poignet mobile une montre de qualité et de valeur médiocres, aux pieds des tongs en caoutchouc de synthèse, jambes croisées aux chevilles et genoux légèrement écartés, sous le ciel sans nuages qui s’éclaircissait à mesure que le soleil montait et progressait vers l’ouest, humectant un doigt non pas avec sa salive ou sa sueur mais avec la condensation qui couvrait l’étroit verre givré de thé glacé encore à la lisière de l’ombre formée par son corps à gauche du dossier de la chaise longue et qui devrait être déplacé pour rester dans la fraîcheur, promenant le long du verre un doigt paresseux avant de le ramener humide et paresseux sur le magazine, tournant de temps à autre les pages du numéro du 19 septembre 1994 de Newsweek, s’arrêtant sur la réforme du système américain de Sécurité sociale et sur le sort tragique du vol 427 d’USAir, sur la brève critique positive des deux essais à succès Hot Zone et The Coming Plague, tournant parfois plusieurs pages à la suite, survolant certains articles et brèves, un illustre poète américain à quatre mois de son cinquante-septième anniversaire, un poète que le concurrent direct de Newsweek, Time, avait un jour de manière assez absurde appelé « notre plus sérieux prétendant vivant au titre de génie immortel », les tibias presque glabres, près de l’ombre en forme d’ellipse du parasol ouvert qui se resserrait lentement, le caoutchouc de synthèse de ses tongs texturé des deux côtés de la semelle, le front semé de gouttes de sueur, le bronzage dense et cuivré, l’intérieur des cuisses presque glabre, le pénis pelotonné dans l’étroit slip de bain, le bouc soigneusement taillé, un cendrier sur la table en métal, dédaignant son thé glacé, s’éclaircissant la gorge de temps à autre, remuant à peine sur la chaise longue pastel pour se gratter négligemment le cou-de-pied du gros orteil sans ôter les tongs ni regarder aucun des deux pieds, en apparence concentré sur le magazine, à sa droite la piscine bleue, à sa gauche, en diagonale, la baie vitrée coulissante en verre épais qui donnait sur le jardin, entre la piscine et lui une table ronde en fer forgé blanc percée d’un grand parasol de plage dont l’ombre ne touchait plus l’eau, un poète au sommet de son art, incontestablement, en train de lire un magazine dans une chaise longue sur la terrasse de la piscine derrière sa maison.
y Catherine McArthur, uno de los tres únicos americanos vivos que cuentan en su haber con un Premio Nobel de Literatura, de metro setenta y noventa kilos, pelo y ojos castaños, frente desigualmente despejada debido a la aceptación/rechazo inconsistente de diversos sistemas de regeneración del cabello/trasplantes capilares, sentado, o tumbado —o tal vez sería más preciso decir simplemente «reclinado»— con un bañador negro Speedo junto a la piscina en forma de riñón de la casa,[1] en la terraza embaldosada de la piscina, en una hamaca portátil cuyo respaldo estaba ahora inclinado cuatro muescas en un ángulo de 35 grados respecto al mosaico de baldosas de la terraza, a las 10.20 del 15 de mayo de 1995, el cuarto poeta más antologado de la historia de las belles lettres americanas, junto a un parasol pero no en la misma sombra del parasol, leyendo la revista Newsweek,[2] usando la ligera curva de su abdomen como soporte inclinado para la revista, provisto también de unas chanclas, con una mano detrás de la cabeza y la otra colgando a un lado y rozando la decoración afiligranada pardusca y ocre del caro embaldosado de cerámica española de la terraza, humedeciendo ocasionalmente un dedo para pasar la página, con unas gafas de sol graduadas cuyas lentes habían sido tratadas químicamente de la luz a la que estuvieran expuestas, con un reloj de pulsera de calidad y precio medios en la mano colgante, con chanclas de imitación de goma en los pies, con las piernas cruzadas a la altura del tobillo y las rodillas ligeramente separadas, bajo el cielo sin nubes y cada vez más luminoso a medida que el sol matinal se elevaba hacia lo alto y hacia la derecha, humedeciendo un dedo no con saliva ni sudor sino con la condensación del esbelto vaso de té helado que ahora reposaba al borde de la sombra de su cuerpo en la parte superior izquierda de la silla y que pronto habría que mover para que continuara estando dentro de aquella sombra fresca, pasando ociosamente un dedo por el costado del vaso antes de llevar ese mismo dedo húmedo ociosamente hasta la página, pasando de vez en cuando las páginas del ejemplar del 19 de septiembre de 1994 de la revista Newsweek, leyendo sobre la reforma del sistema sanitario de Estados Unidos y sobre el trágico vuelo 427 de USAir, leyendo un sumario y una reseña favorable de los populares libros de no ficción Zona caliente de Richard Preston y La plaga que viene de Laurie Garrett, pasando eventualmente varias páginas de una vez, saltándose ciertos artículos y sumarios, eminente poeta americano a quien ahora le faltaban cuatro meses para su quincuagésimo séptimo cumpleaños, poeta a quien la principal competidora de Newsweek, la revista Time, una vez había calificado absurdamente de «lo más parecido a un inmortal literario que vive hoy en día», con las espinillas casi desprovistas de pelo, con la sombra elíptica del parasol haciéndose un poco más densa cada vez, con la goma de las chanclas provista de granitos por los dos lados, la frente llena de gotitas de sudor, el bronceado intenso y oscuro, la parte interior de los muslos casi desprovista de pelo, con el pene enroscado sobre sí mismo en el interior del bañador ajustado, con la barba en punta casi al rape, con un cenicero sobre la mesa de hierro, sin beberse su té helado, carraspeando de vez en cuando, cambiando de postura a intervalos en la hamaca de color pastel para rascarse ociosamente el empeine de un pie con el dedo gordo enorme del otro pie sin sacarse las chanclas y sin mirarse los pies, aparentemente concentrado en la revista, con la piscina azul a su derecha y la gruesa puerta corredera de cristal de la casa en ángulo oblicuo a su izquierda, con una mesa redonda de barrotes blancos de hierro entrelazados entre él y la piscina, empalada en el centro por un enorme parasol de playa cuya sombra ahora ya no tocaba la piscina, poeta de talento indiscutible, leyendo su revista en su silla en su terraza junto a su piscina de detrás de su casa.
La rotation de l’arbre de l’hélice sur ses paliers.
El recorrido del árbol de la hélice en sus cojinetes.
De la fumée montait du palier de la girouette.
Estaba saliendo humo de los cojinetes de la veleta.
Il s’agissait sans doute simplement d’un palier défectueux, et ils en avaient plusieurs de rechange.
Era probablemente un cojinete en mal estado y, después de todo, tenían repuestos.
— Mes hommes auront remonté le palier principal aujourd’hui à midi.
–Este mediodía, mis hombres han terminado de montar el cojinete principal.
Tandis que Lefty meulait des paliers sans trêve, Desdemona bâtissait pastitsio, moussaka et galactoboureko.
Mientras Lefty pulía cojinetes sin parar, Desdémona hacía pastitsio, musaka y galactobúriko.
un mince éclat de métal fut arraché à l’arbre et poussé dans le palier.
Una fina tirita de metal se levantó de la superficie pulida del eje que giraba, se enrolló como un cabello de plata y el cojinete la atrapó.
Ils s’étaient ensuite aperçus que les paliers de l’arbre d’entraînement avaient aussi été endommagés et cognaient bruyamment, même à un nombre de tours modéré.
Luego, habían descubierto que los cojinetes del eje motor principal también habían resultado dañados y golpeaban ruidosamente aún a bajas revoluciones.
Mon grand-père ne voit que le palier devant lui, ses mains qui le décrochent, le meulent et le raccrochent tandis qu’un autre apparaît.
Por delante, mi abuelo sólo ve el cojinete, sus manos que lo sacan de la cinta, lo pulen y lo vuelven a poner justo cuando aparece otro.
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