Translation for "opprimer nous" to spanish
Opprimer nous
  • oprimirnos
  • oprimamos
Translation examples
oprimirnos
— Pour qu’ils puissent mieux nous opprimer ! » cria-t-il.
—¡Porque así pueden oprimirnos mejor! —gritó.
Tous les fidèles de l’islam doivent riposter contre ceux qui tentent de nous opprimer.
El islam debe luchar contra quienes buscan oprimirnos.
Nos Lois et Privilèges ne donnent-ils pas la faculté de s’opposer aux Castillans qui veulent injustement nous opprimer ?
¿No dan nuestras Leyes y Privilegios facultad para oponerse a los castellanos que injustamente quieren oprimirnos?
Quel motif a le Bourbon de nous opprimer avec tant de rigueur, en voulant transformer notre population franche et libre en une nation entièrement assujettie et réduite en esclavage ?
¿Qué motivo tiene el Borbón para oprimirnos con tanto rigor, queriendo de nuestros pueblos francos y libres hacernos nación del todo sujeta y esclava?
Ils font le jeu des extramondiens, il y a une conspiration entre eux pour nous opprimer, nous, les Hiverniens qui voulons faire de ce monde un allié libre au sein de l’Hégémonie.
Les siguen el juego a los espacianos; hay una conspiración entre ellos para oprimirnos, a nosotros, a Invierno…, al pueblo que quiere hacer de este mundo un socio libre de la Hegemonía.
oprimamos
Il n’acheva pas car le scribe, tout chaud encore de sa première victoire, l’interrompit avec ironie, Je suppose qu’il n’est pas dans ton intention de me demander pourquoi nous ne traitons pas les Romains comme des compatriotes à nous puisqu’ils sont des étrangers, Je te le demanderais si les Romains nous traitaient comme des compatriotes à eux, sans que nous nous préoccupions ni les uns ni les autres d’autres lois et d’autres dieux, Toi aussi tu viens ici pour provoquer la colère du Seigneur avec des interprétations diaboliques de sa parole, interrompit le scribe, Non, je veux simplement que tu me dises si tu penses vraiment que nous observons la parole sainte quand les étrangers sont étrangers non pas au pays dans lequel nous vivons, mais à la religion que nous professons, À qui te réfères-tu en particulier, À certains aujourd’hui, à beaucoup dans le passé et peut-être à davantage encore demain, Sois clair, s’il te plaît, car je ne peux pas perdre mon temps avec des énigmes et des paraboles, Quand nous sommes venus d’Égypte, d’autres nations qu’il nous a fallu combattre vivaient sur cette terre que nous appelons Israël, en ce temps-là c’est nous qui étions les étrangers et le Seigneur nous a ordonné de tuer et d’anéantir ceux qui s’opposaient à sa volonté, La terre nous avait été promise mais il fallait la conquérir, nous ne l’avons pas achetée et elle ne nous a pas été non plus donnée en cadeau, Et maintenant nous vivons sous domination étrangère, la terre que nous avions faite nôtre a cessé d’être nôtre, L’idée d’Israël habite éternellement dans l’esprit du Seigneur, voilà pourquoi où que se trouve son peuple, qu’il soit réuni ou dispersé, là se trouve l’Israël terrestre, D’où l’on peut déduire, je suppose, que partout où nous serons, nous les Juifs, les autres hommes seront toujours des étrangers, Aux yeux du Seigneur, sans aucun doute, Mais l’étranger qui vit avec nous sera, selon les mots du Seigneur, notre compatriote et nous devons l’aimer comme nous-mêmes parce que nous avons été des étrangers en Égypte, Le Seigneur l’a dit, Je conclus alors que l’étranger que nous devons aimer est celui qui, vivant avec nous, n’est pas assez puissant pour nous opprimer, comme le font aujourd’hui les Romains, Ta conclusion est bonne, Réponds maintenant à la question suivante selon ce que tes lumières te conseilleront, si un jour nous parvenons à être puissants, le Seigneur nous permettra-t-il d’opprimer les étrangers que ce même Seigneur nous a ordonné d’aimer, Israël ne pourra vouloir que ce que veut le Seigneur et le Seigneur, du fait qu’il a choisi ce peuple, voudra tout ce qui est bon pour Israël, Même si cela veut dire ne pas aimer qui on devrait aimer, Oui, si telle est finalement sa volonté, Celle d’Israël ou celle du Seigneur, La volonté de tous les deux, car ils sont un, Tu ne violeras pas le droit de l’étranger, a dit le Seigneur, Quand l’étranger a un droit et quand nous le lui reconnaissons, dit le scribe.
No acabó, porque el escriba, animado por su primera victoria, lo interrumpió con ironía, Supongo que no es tu idea preguntarme por qué no tratamos nosotros a los romanos como compatriotas, dado que son extranjeros, Te lo preguntaría si los romanos nos tratasen a nosotros como compatriotas suyos, sin preocuparnos, ni nosotros ni ellos, de otras leyes y otros dioses, También tú vienes aquí a provocar la ira del Señor con interpretaciones diabólicas de su palabra, interrumpió el escriba, No, sólo quiero que me digas si de verdad piensas que cumplimos la palabra santa cuando los extranjeros lo sean, no con relación a la tierra donde vivimos, sino a la religión que profesamos, A quién te refieres en particular, A algunos hoy, a muchos en el pasado, quizá a muchos más mañana, Sé claro, por favor, que no puedo perder el tiempo con enigmas ni parábolas, Cuando vinimos de Egipto, vivían en la tierra que llamamos Israel otras naciones a las que tuvimos que combatir, en aquellos días los extranjeros éramos nosotros, y el Señor nos dio orden de que matásemos y aniquilásemos a quienes se oponían a su voluntad, La tierra nos fue prometida, pero tenía que ser conquistada, no la compramos, ni nos fue ofrecida, Y hoy está bajo un dominio extranjero que estamos soportando, la tierra que habíamos hecho nuestra dejó de serlo, La idea de Israel mora eternamente en el espíritu del Señor, por eso dondequiera que esté su pueblo, reunido o disperso, ahí estará la Israel terrenal, De ahí se deduce, supongo, que en todas partes donde estemos nosotros, los judíos, siempre los otros hombres serán extranjeros, A los ojos del Señor, sin duda, Pero el extranjero que viva con nosotros será, según la palabra del Señor, nuestro compatriota y debemos amarlo como a nosotros mismos porque fuimos extranjeros en Egipto, El Señor lo dijo, Concluyo, entonces, que el extranjero a quien debemos amar es aquel que, viviendo entre nosotros, no sea tan poderoso que nos oprima, como ocurre, en los tiempos de hoy, con los romanos, Concluyes bien, Pues ahora vas a decirme, según lo que tus luces te aconsejen, si llegáramos un día nosotros a ser poderosos, permitirá el Señor que oprimamos a los extranjeros a quienes el mismo Señor mandó amar, Israel no podrá querer sino lo que el Señor quiere, y el Señor, por el hecho de haber elegido a este pueblo, querrá todo cuanto sea bueno para Israel, Aunque sea no amar a quien se debería amar, Sí, si esa fuera finalmente su voluntad, De Israel o del Señor, De ambos, porque son uno, No violarás el derecho del extranjero, palabra del Señor, Cuando el extranjero lo tenga y se lo reconozcamos, dijo el escriba.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test