Translation for "occupent" to spanish
Translation examples
Mais quand j’écoute les nouvelles, elles n’occupent plus la même place dans ma vie.
Pero cuando escucho las noticias, ya no pasan a ocupar el mismo lugar en mi vida.
les proscrits de 56 qui reviennent et parfois occupent à nouveau des postes importants ;
los proscritos de 1956 que regresan y en ocasiones vuelven a ocupar posiciones eminentes;
Il suggérait que les électrons ne tombent pas dans le noyau parce qu’ils n’occupent que certaines orbites bien définies.
Se titulaba «Sobre la composición de los átomos y las moléculas» y explicaba cómo podían mantenerse en movimiento los electrones sin caer en el núcleo, postulando que sólo podían mantenerse en ocupar ciertas órbitas bien definidas.
Elle prétend que deux corps ne peuvent pas occuper au même moment, la même place dans l’espace. Et dans le cas présent, sept hommes occupent la place d’un seul.
Pretende que dos cuerpos no pueden ocupar en el mismo momento el mismo sitio en el espacio, y en el presente caso, siete hombres ocupan el sitio de uno solo.
Comme elle est mal située, je vais virer les deux officiers subalternes qui occupent cette cabine-ci pour vous y installer, et ce sont eux qui iront en bas.
No es un lugar muy deseable, así que voy a enviar allá a dos de los oficiales más jóvenes que disponen ahora de una cabina aquí. Ustedes pueden ocupar ésta, y ellos pueden ir abajo.
Toutefois, dès l’arrivée des prédicateurs, nombre de paysans se convertirent à la Vérité et se mirent à pratiquer en cachette, dans des granges ou dans les forêts, jusqu’à ce qu’ils évincent les prêtres catholiques et occupent les églises.
Una vez que los predicadores llegaron allí, muchos campesinos se convirtieron a la Verdad y empezaron a practicar el calvinismo en secreto, en los graneros y en el bosque, hasta que estuvieron en condiciones de expulsar a los sacerdotes católicos y ocupar sus iglesias.
elle serait toujours libre de s’en occuper à ses moments perdus, alors que d’autres femmes s’occupent de leurs robes et de leurs broderies. – Il ne le lui défendrait pas quand… Dorothée se sentit presque honteuse d’avoir été si loin déjà dans tous ces calculs.
a él no le parecería mal que Dorothea se ocupara de ello en sus momentos de ocio, como se esperaba que otras mujeres se dedicasen a sus vestidos y a sus bordados; sin duda no se lo prohibiría cuando… Dorothea se avergonzó al descubrirse haciendo aquellas previsiones.
Aurélia eut un regard sinistre. — Le problème, c’est quelles ont trop de temps libre. Des gouvernantes qui s’occupent de leurs enfants, des réunions avec leurs amies aux cours desquelles elles échangent des potins, des métiers à tisser dont elles n’ont aucune intention de faire usage, et des cervelles trop vides pour chercher le réconfort dans les livres.
—El problema estriba en que no saben en qué ocupar el tiempo —le contestó Aurelia, ceñuda—. Tienen nodrizas para los niños, celebran fiestas con sus amistades en las que casi todo se reduce a un chismorreo continuo, no las verás sentarse a un telar, y tienen la cabeza demasiado vacía para solazarse en la lectura.
Il suffit de feuilleter les notes que Dostoïevski écrivait pour Les Démons : dans les sept cahiers de notes qui, dans l’édition de la Pléiade, occupent 400 pages (tout le roman en occupe 750), les motifs sont à la recherche des personnages, les personnages à la recherche des motifs, les personnages se disputent longtemps la place de protagoniste ;
Basta con hojear las notas que Dostoievski escribió para Los endemoniados: en los siete cuadernos de notas, que en la edición francesa de La Pléiade (Éditions Gallimard, París) ocupan 400 páginas (la novela entera ocupa 750), los motivos están a la busca de los personajes, los personajes a la busca de los motivos, los personajes rivalizan largo tiempo por ocupar el lugar del protagonista;
Il s’est habillé et est entré dans la cuisine, qui est la pièce donnant sur la rue, il s’approche du feu comme s’il voulait conserver encore la chaleur du lit, on ne dirait pas qu’il a l’habitude des grands froids, il dit, Bonjour, et ses filles vont lui baiser la main, c’est une joie que de voir la famille réunie, tous au chômage, il faut bien qu’elles s’occupent à quelque chose, comme ravauder des vêtements, Gracinda s’occupe de son trousseau, elle avance lentement, quand elle le peut, le mariage n’est que pour l’an prochain, l’après-midi elle ira avec sa sœur laver le linge dans le ruisseau, un ballot qu’elles sont allées chercher au manoir, ça fera toujours vingt escudos.
Se vistió y entró en la cocina, se acerca al fuego como si aún quisiera conservar el calor de la cama, no parece que esté habituado a grandes fríos, dice, Buenos días, y las hijas van a besarle la mano, es una alegría ver a la familia reunida, todos en paro, en algo se han de entretener a lo largo del día, remendar unas ropas, Gracinda trabaja en su ajuar, va lentamente, conforme puede, la boda no será hasta el año que viene, por la tarde irá con la hermana a lavar al río una carga de ropa que fueron a buscar a la casona, siempre son veinte escudos.
J’ai trouvé à me loger bon marché dans le Sussex, avec des gens terriblement gentils qui s’occupent tendrement de moi.
He encontrado en Sussex un sitio para vivir que es bastante barato, con una gente muy simpática que me cuida y me trata con mucho cariño.
Et d’ailleurs les Argentiers de chez nous s’occupent de ce métal en vertu d’un mobile saint : vivre, résister, durer.
Y además los Plateros[6] de nuestra raza se dedican a este metal en virtud de un móvil santo: vivir, resistir, durar.
Ils arrangent leur vie aux dépens de leur vie même ; ils s'occupent d'un avenir éloigné : or, différer c'est perdre une grande portion de la vie ;
Están afanosamente atareados para poder vivir mejor, a expensas de la vida construyen su vida. Organizan sus planes para un lejano futuro;
— Ce sont peut-être des voisins qui s’occupent de la récolte de cette ferme, hasarda Dahlia. Et qui restent sagement à distance, aux aguets, lorsque des étrangers viennent frapper à la porte.
—Alguien podría vivir en una casa cercana y venir aquí para cosechar —dijo Dahlia—, así tendrían la ocasión de observar desde una cierta distancia, sin correr riesgos, a los extraños que vienen a llamar a la puerta.
Ce sont des travailleurs et des commerçants ; ils s’occupent du « bien-être général »… Non, la vie ne m’est donnée qu’une seule fois : je ne veux pas attendre « le bien-être général ». Je veux vivre moi-même, car, sinon, j’aime mieux ne pas vivre du tout.
Son personas laboriosas, hombres de negocios que se preocupan por el bienestar general... Sin embargo, sólo se vive una vez, y yo no quiero esperar esa felicidad universal. Ante todo, quiero vivir.
À Caleufú, doña Elvira vint à ma rencontre en pleurant de joie, nerveuse, asticotant les employées pour qu’elles s’occupent des braseros, des bouillottes, des soupes avec du sang de bœuf pour que je retrouve des couleurs et l’envie de vivre.
En Ca-leufú doña Elvira salió a recibirme llorando de alegría, nerviosa, apu-rando a las empleadas para que no descuidaran los braseros, las bote-llas de agua caliente, las sopas con sangre de ternera para devolverme los colores y las ganas de vivir.
La salle jouait avec moi maintenant, je sentais la proximité physique du public, des ondes muettes m’atteignaient et me soufflaient que c’était bien… Et la tache rouge au milieu du champ d’or et de blanc, comme elle était banale, aimable et attirante… Une femme blonde au nez retroussé coiffée d’un chapeau rouge, avec les couleurs dont Renoir magnifiait les petites-bourgeoises dodues qui, dans leur apparat bleu ciel et rouge, et malgré leur mauvais goût, occupent une place élégante et glorieuse sur le trône de l’art. C’était la vie, cette aventure sensible et sensuelle, passionnée et ordinaire, à laquelle ne mène aucun chemin du monde, où hurle le souffle brûlant de l’allegro con fuoco.
La sala tocaba conmigo, sentía la proximidad del público, me llegaban sus ondas mudas y me decían que tocaba bien... Y la mancha roja en medio de los blancos y dorados: qué banal, qué graciosa y qué atractiva. Sólo por algo así ya merecía la pena vivir. Una mujer rubia, de nariz respingona y con un sombrero rojo, los colores utilizados por Renoir para inmortalizar a las regordetas mujeres de la pequeña burguesía, que ataviadas pomposamente de celeste y rojo se sentaban graciosas y elegantes en el trono del arte, pese a su vulgaridad. Eso era la vida, un fenómeno sensual y carnal, apasionado y vulgar, al que no conducía camino alguno desde esa otra dimensión donde soplaba el cálido aliento del allegro con fuoco.
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