Translation for "oblitérer" to spanish
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Je n'étais pas mécontent de cet état de choses, car il me semblait toujours que la discipline, ou du moins la discipline formelle, était une vertu de temps de paix ; une marque ou estampille par laquelle distinguer les soldats des hommes complets, et oblitérer l'humanité de l'individu.
Yo no me sentía descontento con este estado de cosas, ya que me parecía que la disciplina, o al menos la disciplina formal, era una virtud de paz, un carácter o marca con el que distinguir a los soldados de los hombres sin más y obliterar la humanidad del individuo.
Anna-Lise posait des questions, méthodique comme à son habitude : si la nature a horreur du vide, ce qui reste à prouver, elle avait horreur du flou, c’est par contre évident, curieux pour quelqu’un dont le flou est le domaine, je dirais presque la spécialité, le flou du flux des réponses des écrivains à ses brèves questions précises, mais Anna-Lise ignorait jusqu’à l’existence de Yannick de Kerhuel, il fallut que Penthésilée lui expliquât, cet imparfait du subjonctif surgissant ici comme le signe ironique et complice d’un Narrateur qui tient à souligner que le monologue intérieur n’est qu’un artifice du récit, Carlos-María ne pouvant en aucun cas s’occuper des imparfaits du subjonctif dans cette espèce d’hémorragie verbale, langagière du moins, par laquelle il se remémore, pour le bénéfice instructif du lecteur autant que pour son propre besoin de mise au point intime, les épisodes qui séparent le moment présent de l’instant où nous l’avons laissé dans une position à la fois difficile et plaisante, avec les truands corses encore dans l’escalier de l’immeuble, d’une part, mais Élizabeth d’autre part s’avançant vers lui, à genoux, l’œil impudique et souriant, la bouche souriante et goulue, et il avait pensé aux volumes de théâtre élizabethain, justement, qu’il avait eu le temps de distinguer dans la lourde armoire vitrée contre laquelle il s’adosse à présent, les coudes en arrière pour prendre appui sur l’une des étagères de la massive armoire dont les battants de portes étaient restés ouverts, et il avait remarqué tout à l’heure, en les ouvrant précisément pour observer de plus près les titres des livres qui s’y trouvaient, remarqué que les portes étaient montées sur des gonds fixés à une espèce de colonne torsadée, de chaque côté de la lourde armoire, pour prendre appui en arrière, tandis que ses genoux commençaient à trembler, qu’il tendait le ventre en avant pour s’enfoncer, non, c’est elle qui venait vers lui, qui le happait, le dévorait, mais les coudes en arrière, le visage dressé, essayant de penser à autre chose, ou plutôt à ça, mais d’une autre façon, plus détournée, essayant d’obnubiler, d’oblitérer, d’obscurcir toutes les images qui foisonnaient dans ce qu’on appelle esprit, cerveau, mémoire, imagination, comme on voudra, lieu clos quoi qu’il en soit, sombre, où naissent, fulgurantes, les images s’associant sans cesse à d’autres éclaboussures, éclats, éclatements ensoleillés, ainsi cette image d’un autre jour, rue des Bourdonnais, le souvenir d’une autre bouche aussi délicieusement avide que celle-ci, le soleil de l’après-midi tombait latéralement sur le lit, mais comment est-ce possible ?
Anna-Lise hacía preguntas, metódica como de costumbre: si la naturaleza tiene horror al vacío, lo cual está por demostrar, ella tenía horror a lo impreciso, curioso para alguien que tiene en lo impreciso su terreno propio, yo diría casi su especialidad, lo impreciso del flujo de las respuestas de los escritores a sus preguntas breves y precisas, pero Anna-Lise ignoraba hasta la existencia de Yannick de Kerhuel, fue necesario que Pentesilea le explicara, imperfecto del subjuntivo que surge aquí como el signo irónico y cómplice de un Narrador deseoso de subrayar que el monólogo interior no es más que un artificio del relato, ya que Carlos María no podía, en ningún caso, ocuparse de los imperfectos del subjuntivo en esta especie de hemorragia verbal, lingüística al menos, con la que rememora, en beneficio instructivo del lector, tanto como por su propia necesidad de concreción íntima, los episodios que separan el momento presente del instante en que le habíamos dejado en una situación a la vez difícil y placentera, con los rufianes corsos todavía en la escalera del inmueble, por una parte, pero con Elisabeth, por otra, avanzando hacia él, de rodillas, impúdica y sonriente la mirada, sonriente y golosa la boca, y él había pensado en los volúmenes de teatro isabelino, precisamente, que había tenido tiempo de distinguir en el pesado armario encristalado contra el que ahora se adosa, con los codos echados hacia atrás para apoyarse en uno de los estantes del macizo armario cuyas puertas habían quedado abiertas, y había observado hacía un instante, precisamente al abrirlas para examinar más de cerca los títulos de los libros que se encontraban en él, observando que las puertas se hallaban montadas sobre goznes fijados a una especie de columna torneada, a ambos lados del pesado armario, para apoyarse hacia atrás, mientras empezaban a temblarle las rodillas y tendía el vientre hacia delante para hundirse, no, era ella quien venía hacia él, quien le atrapaba en su boca, le devoraba, pero los codos hacia atrás, el rostro erguido, intentando pensar en otra cosa, o más bien en eso, pero de otra manera, más distante, intentando obnubilar, obliterar, oscurecer todas las imágenes que pululaban en lo que se llama espíritu, cerebro, memoria, imaginación, como se quiera, lugar cerrado, de todos modos, sombrío, en el que nacen, fulgurantes, las imágenes asociándose sin cesar a otros fulgores, fulguraciones, estallidos luminosos, como esta imagen de otro día, en la calle de Bourdonnais, el recuerdo de otra boca tan deliciosamente ávida como ésta, el sol de la tarde caía lateralmente sobre la cama, pero ¿cómo es posible?
Je possédais les techniques nécessaires pour définir très exactement ce qui me déplaisait en moi et l’oblitérer de mon cerveau.
Poseía las técnicas necesarias para borrar de mi mente todo lo que detestase de mí mismo.
Mon amour des arts ne m’aveugle pas au point d’oblitérer la religion où je suis né et où j’ai grandi.
Mi amor por las artes no me ciega hasta el punto de borrar la religión en la que nací y en la que me educaron.
Et la personne qui méritait le moins de vivre, c’était peut-être celle qui était prête à oblitérer l’existence d’une autre afin de tromper la mort.
Y quizá la persona que estaba dispuesta a borrar la existencia de otra para burlar a la muerte era quien no merecía vivir.
— « Rien. » — « Nous avons dû oblitérer la mémoire rudimentaire que vous avez pu avoir de cette période pour être en mesure de restaurer votre mémoire et votre personnalité authentiques.
Nos vimos obligados a borrar esa rudimentaria memoria que tuviste en ese periodo, con el objeto de restaurarte tu verdadera memoria y personalidad.
Elle ne pouvait pourtant pas arracher ce bras qui l’accusait avec tant de tendresse, ou chauffer des fers pour oblitérer ces marques qui la perdaient.
Sin embargo, era incapaz de arrancar aquel brazo que la acusaba con tanta ternura, o de calentar unos hierros para borrar aquellas marcas que la perdían.
Personne n’avait tenté d’oblitérer les sigles, et les runes-guides brillaient de tout leur éclat, éclairant devant elles le chemin de l’inconnu.
Allí no se había producido intento alguno de borrar las runas y éstas brillaban con intensidad, iluminando el camino hacia lo que fuera que les esperaba.
Certains s’étonneront probablement, maintenant que la Z.U.P. a disparu et qu’une conspiration du silence s’efforce d’oblitérer son souvenir, en lisant des récits de ce genre.
Algunos se asombrarán probablemente, ahora que la ZUP ha desaparecido y que una conspiración de silencio se esfuerza por borrar su recuerdo, al leer relatos como éste.
Dans ses visions, on lui avait dit de détruire l’infection de l’intérieur et d’oblitérer tous les vestiges des machines pensantes afin que les humains, à l’avenir, s’interdisent de telles faiblesses.
Sus visiones le habían dicho que debía acabar con aquella plaga desde dentro, borrar cualquier vestigio de las máquinas pensantes para que los humanos no pudieran volver a sucumbir en el futuro.
Dans la petite salle de bain de la chambre, il avale ses deux derniers antidépresseurs et se prépare pour une nouvelle nuit, espérant qu’il en a ingéré assez pour en oblitérer les horreurs.
En el cuarto de baño adjunto, Lennox se toma los dos últimos antidepresivos y se prepara para afrontar otra noche, rogando que haya ingerido suficiente alcohol para borrar sus terrores.
Dans quel but avait-il littéralement oblitéré ce visage ? Une porte de bois brut, au fond de la cave, lui avait vraisemblablement permis de s’enfuir. Les hommes postés à l’extérieur n’avaient rien vu.
¿Qué podría significar para él borrar la cara de un hombre, si es que significaba algo? En el sótano había una puerta de madera sin pintar que era otra salida, pero ninguno de los agentes que estaban apostados en el exterior de la casa le habían visto salir.
La pente s’adoucissait en à-plat. Il repassa sur ses traces afin d’oblitérer ses marques de pneus.
Cuando la pendiente se suavizó, hizo patinar las ruedas traseras para eliminar las marcas.
Ai fini les bonbons, et ai tout de suite eu envie d’un burger et d’une frite pour oblitérer ce goût de sucre écœurant.
Me comí las últimas golosinas, y al instante ansié una hamburguesa y unas patatas fritas para eliminar la empalagosa dulzura.
— Tout en espérant ne pas oblitérer les talents mêmes qui rendent ces réseaux plus utiles que le logiciel de traduction imbécile créé de la même façon ?
—¿Mientras intentas no eliminar las mismas habilidades que hacen que estas redes sean más útiles que el estúpido programa de traducción que se crea de la misma forma?
Le jeune homme se balança d’une jambe sur l’autre, flattant sa douleur et son humiliation, essayant d’oblitérer toute autre sensation pour pouvoir s’en pénétrer entièrement.
El joven iba desplazando el peso de una pierna a otra aferrándose ciegamente a su dolor y su humillación como si fueran algo precioso mientras intentaba eliminar cualquier otra sensación que pudiera impedirle entregarse por completo a esas emociones.
Une divinité stupide, dont l’obsession consistait à oblitérer les angles droits.
Era un dios estúpido que solo quería destruir ángulos rectos.
C’était mal d’oblitérer l’esprit de quelqu’un qui avait à peine vécu, un jeune sorcier si plein de potentiel.
Estaba mal destruir la mente de alguien que apenas había vivido. De un hechicero joven con tanto potencial.
Il savait que Shaddam ne pouvait carboniser Arrakis comme il l’avait fait pour Zanovar – mais l’Empereur pouvait très bien se laisser aller à oblitérer Carthag de la surface de la planète. En même temps que lui.
El barón sabía que Shaddam nunca desintegraría Arrakis, como había hecho con Zanovar, pero no era impensable que el barón decidiera destruir Carthag.
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