Translation for "nous avons épargné" to spanish
Nous avons épargné
Translation examples
— Je t’en prie, épargne-moi ! hurla Osiris à Seth qui le dominait. Seth ricana.
—¡Por piedad, perdóname la vida! —gritó Osiris y Seth lanzó una carcajada.
ton supplice! Oh! sauve-toi! épargne-moi!» Il lui prit le bras, il était égaré, il voulut l’entraîner.
¡Tu suplicio! ¡Oh, sálvate! ¡Perdóname! La agarró de un brazo, estaba trastornado, trató de llevársela.
nosotros no reparó
N’épargne ni tes efforts, ni l’argent.
No repares en gastos.
— Je peux assurer à mon sultan que je n’épargne aucun effort pour l’extérieur et l’intérieur de sa mosquée.
—Le aseguro a mi sultán que no reparo en esfuerzos fuera y dentro de su mezquita.
— Donc, pour capturer Aguirrez, Martinez était même prêt à épargner une victime. — Absolument.
–Eso demuestra hasta dónde estaba dispuesto a llegar Martínez para atrapar a Aguírrez. No tuvo reparos en salvar a un condenado. –Así es.
Il remarqua que Guijan était relativement épargné, et se demanda si cela avait quelque chose à voir avec sa peau d’Oriental.
Reparó en que Gijan tenía pocas garrapatas y se preguntó si estaría relacionado con la piel oriental.
Il faudra venir. Je ne puis point offrir d'orchidées, mais je n'épargne aucune dépense pour avoir des étrangers. Ils vous font une chambrée si pittoresque.... Voici Harry!
Tiene que venir. No puedo permitirme orquídeas, pero no reparo en gastos con extranjeros. ¡Hacen que la casa parezca tan pintoresca! ¡Pero aquí está Harry!
Ainsi, mon Drène a eu le temps de faire un peu de rafistolage avant de disparaître. — Et mon dos ? — La colonne a été épargnée. Elle sourit, et des fossettes se formèrent de chaque côté de sa bouche. — J’ai soif, lui dit-il.
De modo que mi dreen antes de desaparecer reparó algunas averías. —¿Y en la espalda? —Por poquísimos centímetros la herida no le ha afectado la columna vertebral —contestó con una sonrisa que formó un par de hoyuelos en las mejillas. —Tengo sed.
« Je ne prie pas assez, murmure Dixon à mots couverts, et je ne peux m’agenouiller en cet instant où trop de gens regardent, – mais si je pouvais m’agenouiller et prier, ce serait pour demander, avec respect, que cette horreur soit corrigée, que les Assassins rencontrent un Destin approprié, que me soit épargné l’Embarras de les rechercher moi-même et d’en tuer autant que je peux, avant que les autres me terrassent.
«Ahora no rezo lo suficiente», se dice Dixon, «y no me arrodillo porque me está mirando mucha gente, pero si pudiera arrodillarme y rezar, pediría, respetuosamente, que esto se repare, que los asesinos tengan el destino que se merecen, que no me vea en la difícil situación de tener que buscarlos yo mismo y matar a tantos como pueda, antes de que ellos acaben conmigo.
Est-ce à cause du poids de sa douleur qu’elle ne s’intéresse pas à lui, ou bien est-ce sa manière habituelle de fonctionner, hermétiquement fermée, concentrée sur ses propres affaires, il pourrait s’en aller, telle est l’histoire, elle ne changera plus, déposer une requête ou aller en appel ne serviraient à rien, la sentence est tombée, le dossier est clos, un grand vide l’envahit, un vide étrangement lourd, des tonnes de vide. Tu as obtenu ce que tu espérais, et maintenant, quoi ? Qu’attends-tu pour te lever et rentrer chez toi, tu habites à deux pas d’ici, tu croiseras certainement cette femme de temps en temps dans la rue principale ou chez le primeur du coin, vous vous ferez un signe de tête, vous vous souhaiterez un bon shabbat ou une bonne semaine, une bonne année, de bonnes fêtes, qu’est-ce que les gens peuvent se dire d’autre, il recule jusqu’à sentir contre son dos le dossier moelleux du canapé qui ne lui était pas destiné et comprend qu’à sa femme non plus il n’a rien d’autre à dire que bonne semaine ou bon shabbat, bonne année et bonnes fêtes, et pareil pour ses enfants, sa mère, sa sœur, tous ceux qu’il connaît, il pourrait juste ajouter au cas où, que le malheur vous épargne, c’est tout, il s’allonge épuisé sur la banquette, n’a envie ni de partir ni de rester, qu’on l’emporte, voilà ce à quoi il aspire, qu’une force compacte et mystérieuse, plus tenace que sa volonté, l’arrache d’ici exactement comme Raphaël Alon l’a été, car sans l’ombre d’un doute c’est là qu’ils sont rentrés ce fameux matin dans leur voiture dorée, c’est là qu’elle l’a conduit après l’hôpital, après avoir appris qu’il n’en avait plus que pour quelques heures. Il se souvient de l’infirmière des urgences qui lui avait chuchoté, sur le ton de la confidence, il y a des gens qui préfèrent mourir chez eux, sauf que voilà, ce malade-là avait préféré mourir dans un appartement qui n’était pas le sien mais où il avait prévu de vivre le restant de ses jours, Avner pose la tête sur un coussin, il n’a pas l’habitude de boire autant, le vin lui brouille les idées et il a l’impression d’avoir lui aussi renoncé, d’être monté dans le train de sa propre mort, il fonce déjà à toute allure, lancé à grande vitesse sur une ligne qui relie son lieu de naissance à celui de sa mort, relie le lac agonisant à la mer Morte, doit passer par des vestiges éparpillés dans les sables du désert, pour finir dans cette ville où les Juifs ont toujours rêvé d’être enterrés.
Acaso es porque ella se halla inmersa en su dolor y no repara demasiado en él, o quizá ese es su modo de manejarse con las personas, cerrada y concentrada en sus cosas, de hecho él ya podría levantarse e irse, esa es la historia y ya no cambiará, no puedes presentar apelaciones o recursos, el veredicto ha sido emitido, el caso está cerrado, lo invade una sensación de vacío, un vacío paradójicamente pesado, una carga de toneladas. Has logrado lo que querías, ¿qué harás ahora?, por qué no te pones de pie y te vas a tu casa, a pocos bloques de aquí, luego verás a esta mujer cada poco por la avenida principal o en la frutería del barrio, os saludaréis, os desearéis mutuamente una buena semana o un buen fin de semana, feliz año nuevo, felices fiestas, qué otra cosa pueden a la larga decirse las personas unas a otras. Mientras se reclina sobre el blando sillón que no le estaba destinado lo asalta la idea de que no tiene demasiado que decirle a su propia esposa excepto buenos días, buen fin de semana, feliz año o felices fiestas, ni tampoco a sus hijos, a su madre, a su hermana, a todos sus conocidos, solo agregar para mayor seguridad, que no caiga sobre nosotros alguna desgracia y eso es en realidad todo, se derrumba, agotado, sobre el sofá, no desea irse aunque tampoco quedarse, quiere ser llevado, ser abducido por alguna potente fuerza misteriosa cuya voluntad sea más firme que la suya, del mismo modo en que una fuerza se llevó de aquí a Rafael Alon, pues en un segundo se da cuenta de que fue aquí adonde se dirigieron esa mañana en el automóvil dorado, fue aquí adonde lo trajo ella desde el hospital, una vez que le confirmaron que tenía las horas contadas. Hay gente que prefiere morir en sus casas, eso es lo que le había dicho la enfermera en la sala de guardia, como si compartiera con él un secreto, pero extrañamente aquel hombre había preferido morir en este lugar, donde planeaba vivir lo que quedaba de su vida. Abner apoya su cabeza sobre un cojín, no está acostumbrado a beber vino de un modo tan liberal y su entendimiento se nubla, siente que también él se da por vencido, que el tren de su muerte está por arrancar y él viaja en su interior, desde el punto en donde nació hacia el punto en el que morirá, por el camino de las ruinas de Beit She’an[20] a través de Jericó, sepultada en el desierto, hacia la ciudad en la que desde el inicio de los tiempos los hombres de su pueblo anhelaron ser enterrados[21].
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