Translation for "notait" to spanish
Translation examples
Il en avait un devant lui et il notait qu’à dix heures du matin il portait une perle sur une cravate de couleur !
Tenía ante sí a uno de ellos, ¡y notó que a las diez de la mañana llevaba una perla en una corbata de color!
Bizarrement, son petit vin de pays bon marché semblait être tout aussi raffiné puisqu’il ne notait jamais la différence.
Curiosamente, la misma especial naturaleza de su vino barato, puesto que Erik jamás notó la diferencia.
Mais on notait en revanche la présence de l'aîné des frères Leroy, Adrien, et l'on se demandait quelles conclusions tirer de ce rapprochement entre les deux banques rivales.
Pero sobre todo se notó la presencia del mayor de los hermanos Leroy, Adrien, y la gente se preguntó qué conclusiones había que sacar de aquel acercamiento entre los dos bancos rivales.
elle regardait les lumières éclairer les petites maisons le soir; elle participait à l'animation des rues, des villages et des villes, et en jouissait comme d'une symphonie. Assise à la fenêtre du wagon, les yeux brillants, elle contemplait le spectacle changeant. Elle notait tout ce qui s'était développé, la moindre transformation; chaque signe de prospérité la réjouissait et elle le désignait aux enfants.
observando encenderse las lámparas en las casitas al atardecer; entrando en la vida de las calles, aldeas y ciudades, y sentábase, con los ojos brillantes, en la ventana del vagón, observando este espectáculo. Notó hasta el último crecimiento o cambio y mostró a sus hijas con júbilo cualquier señal de prosperidad.
Oui, si séduisant qu’il eût été de se laisser emporter, la conscience défaillante pour se dérober au bruit, pour se fermer aux hurlements de la foule, hurlements volcaniques et infernaux qui en vagues lourdes déferlaient sur la place sans interruption comme s’ils ne devaient jamais finir, cette fuite était interdite, à plus forte raison si elle devait le conduire jusqu’à la mort, car encore plus impérieux était l’ordre de retenir chacune des plus infimes parcelles du temps, chacune des plus infimes parcelles des événements, et de les incorporer au souvenir, comme si par lui, elles pouvaient, à travers toutes les morts, être conservées pour tous les temps ; il s’accrochait à la conscience, il s’y accrochait avec la force de celui qui voit approcher le plus important événement de son existence terrestre et qui est plein d’angoisse à l’idée de pouvoir le manquer, et la conscience, tenue éveillée par l’éveil de son angoisse obéissait à sa volonté : rien ne lui échappait, ni les gestes précautionneux du jeune médecin auxiliaire, rasé de près, et d’une stricte élégance, qui se tenait maintenant à son côté sur l’ordre d’Auguste, ni les visages stupidement étonnés des porteurs, qui avaient monté à bord une litière pour venir le chercher, lui le malade, lui le faible, comme s’il était une précieuse et fragile marchandise ; il notait tout, il fallait qu’il retienne tout, il remarquait leur regard renfermé, il notait les grognements maussades avec lesquels les quatre hommes se concertèrent en chargeant le fardeau sur leurs épaules, il notait l’odeur de sueur hostile et agressive de leurs corps, et il ne lui avait pas échappé non plus que son manteau avait été oublié et qu’un jeune garçon aux boucles brunes et à l’apparence enfantine s’en emparait pour le lui rapporter.
Sí, hubiera sido agradable dejarse llevar por una sensación desfalleciente, para sustraerse así a la algazara, para cerrarse a los vítores de la muchedumbre, al volcánico y subterráneo clamoreo que sin pausas, como si nunca quisiera acabar, fluía en poderosas ondas desde la plaza; pero esa fuga estaba prohibida, sin contar que podía llevar hasta la muerte, porque superior a toda energía era el imperativo de asir la menor partícula de tiempo, la menor partícula del acontecer, para incorporarla al recuerdo, como si con ella pudiera estar preservado de todas las muertes para todos los tiempos; él se aferraba a la conciencia, se aferraba a ella con la fuerza de quien siente acercarse lo más importante de su vida terrena y está lleno de la angustia de poder perderlo, y la conciencia, mantenida alerta por la despierta angustia, obedecía a su voluntad: nada se le escapaba, ni los gestos preocupados y el vacío apoyo del médico auxiliar de juvenil rostro afeitado y excesivamente pulcro, que por orden del Augusto estaba ahora a su lado, ni los rostros torpemente extrañados de los cargadores que habían subido a bordo una litera para llevárselo, enfermo y débil, como una cosa frágil y distinguida; él lo observó todo, debía retenerlo todo; notó la mirada encarcelada de sus ojos, notó el huraño tono de refunfuño con que se entendían los cuatro hombres, cuando levantaron su carga sobre los hombros, notó el olor agresivamente salvaje y maligno del sudor de sus cuerpos; pero no se le escapó tampoco que su toga había quedado allí y que ahora la llevaba un muchacho de negros rizos y aspecto realmente infantil, que había recogido la prenda con un rápido salto.
Ben comptait les livres et donnait les numéros à haute voix ; Mme Douglas les notait (sans même se soucier de vérifier son travail, ne serait-ce qu’une fois de temps en temps), puis ils portèrent tous les deux les volumes dans la salle où on les rangeait, empruntant des couloirs dans lesquels les radiateurs émettaient des claquements rêveurs. L’école avait tout d’abord été bruyante : fracas métallique des portes de casiers, cliquetis de la machine à écrire de Mme Thomas, dans le bureau, sonorités légèrement détonnantes de la chorale qui répétait, à l’étage, chuintement des chaussures de sport et martèlement du ballon dans le gymnase où l’on jouait au basket-ball, allant en s’accélérant au fur et à mesure qu’une équipe progressait vers le panier de l’autre.
Ben contaba los libros y dictaba las cifras que la señora Douglas anotaba sin molestarse en verificar, notó él, con orgullo; después, ambos los llevaron abajo, al depósito, por pasillos donde los radiadores resonaban. Al principio, la escuela había estado llena de ruidos: puertas de armarios metálicos que se cerraban con violencia, el clac-ti-clac de una máquina de escribir, en la oficina; el canto algo desafinado del orfeón, en el piso alto; el nervioso tud-tud-tud de las pelotas de baloncesto en el gimnasio y el roce de las zapatillas cuando los jugadores corrían.
Fushikian était le pseudonyme littéraire du célèbre général Uesugi Kenshin ; dans son livre, il notait certains éléments d’entraînement éthique quotidien en vue de guider ses principaux vassaux.
Fushikian era el nombre literario del célebre general Uesugi Kenshin, y en su libro registraba aspectos del adiestramiento ético cotidiano para orientación de sus vasallos de alto rango.
En ce qui concernait les fameuses thèses en question, précédemment résumées, on n’apprenait pas grand-chose, quant à la position du journal lui-même, on notait, fruit sans doute d’anciennes désillusions, un certain scepticisme, sain peut-être, mais qui pouvait tout aussi bien être attribué à l’étroitesse de vue bien connue des petits centres urbains de province.
Pero sobre las célebres tesis en debate, ya aquí resumidas, poco adelanto había, y en cuanto a la posición propia del periódico se notaba, tal vez fruto de antiguas desilusiones, cierto escepticismo, quizá saludable, pero también podrá atribuirse a la reconocida cortedad de vista de una capital provinciana.
« Cette confidence que vous venez me faire, absolument spontanément, je la considère, Bardamu, comme l'indice très encourageant d'une amélioration notable de votre état mental... Vaudesquin , d'ailleurs, cet observateur modeste, mais combien sagace, des défaillances morales chez les soldats de l'Empire, avait résumé, dès 1802 , des observations de ce genre dans un mémoire à présent classique, bien qu'injustement négligé par nos étudiants actuels, où il notait, dis-je, avec beaucoup de justesse et de précision des crises dites d'“aveux”, qui surviennent, signe entre tous excellent, chez le convalescent moral... Notre grand Dupré, près d'un siècle plus tard, sut établir à propos du même symptôme sa nomenclature désormais célèbre où cette crise identique figure sous le titre de crise du “rassemblement des souvenirs”, crise qui doit, selon le même auteur, précéder de peu, lorsque la cure est bien conduite, la débâcle massive des idéations anxieuses et la libération définitive du champ de la conscience, phénomène second en somme dans le cours du rétablissement psychique. Dupré donne d'autre part, dans sa terminologie si imagée et dont il avait l'apanage, le nom de “diarrhée cogitive de libération à cette crise qui s'accompagne chez le sujet d'une sensation d'euphorie très active, d'une reprise très marquée de l'activité de relations, reprise, entre autres, très notable du sommeil, qu'on voit se prolonger soudain pendant des journées entières, enfin autre stade : suractivité très marquée des fonctions génitales, à tel point qu'il n'est pas rare d'observer chez les mêmes malades auparavant frigides, de véritables “fringales érotiques”.
«Esta confidencia que acaba de hacerme, de forma absolutamente espontánea, la considero, Bardamu, indicio muy alentador de una mejoría notable en su estado mental… Por lo demás, Vaudesquin,[10] observador modesto, pero tan sagaz, de los desfallecimientos morales entre los soldados del Imperio, resumió, ya en 1802, observaciones de ese género en una memoria, hoy clásica, si bien injustamente despreciada por nuestros estudiosos actuales, en la que notaba, como digo, con mucha exactitud y precisión, crisis llamadas “de confesión”, que sobrevienen, señal excelente, al convaleciente moral… Nuestro gran Dupré, casi un siglo después, supo establecer a propósito del mismo síntoma su nomenclatura, ahora célebre, en la que esta crisis idéntica figura con el título de crisis de “acopio de recuerdos”, crisis que, según el mismo autor, debe producirse, cuando la cura va bien encauzada, poco antes de la derrota total de las ideaciones angustiosas y de la liberación definitiva de la esfera de la conciencia, fenómeno secundario, en resumen, en el curso del restablecimiento psíquico. Por otra parte, Dupré, con su terminología tan caracterizada por las imágenes y cuyo secreto sólo él conocía, llama “diarrea cogitativa de liberación” a esa crisis que en el sujeto va acompañada de una sensación de euforia muy activa, de una recuperación muy marcada de la actividad de comunicación, recuperación, entre otras, muy notable del sueño, que vemos prolongarse de repente durante días enteros; por último, otra fase: superactividad muy marcada de las funciones genitales, hasta el punto de que no es raro observar en los mismos enfermos, antes frígidos, auténticas “carpantas eróticas”.
conocido
Mais si on se donnait la peine de l’observer de plus près, on notait dans son regard une expression touchante et presque désenchantée. Elle avait le don de comprendre la souffrance d’autrui comme tous ceux qui ont subi des malheurs, mais lesquels ?
De ella emanaba algo conmovedor, casi triste, como si hubiera conocido grandes desgracias y soportado grandes tristezas, pero sin que hubiera nada sombrío en su carácter.
Un jour qu’il se tenait au comptoir et qu’il notait sur son cahier les clients présents dans la salle, un homme debout à côté de lui l’avait surpris dans son travail : un type d’une quarantaine d’années qui connaissait le docteur Vala.
Un día que estaba sentado en la barra y tomando nota de los parroquianos presentes en el local, un hombre que estaba de pie a su lado lo sorprendió en plena tarea: un individuo de alrededor de cuarenta años, un conocido del doctor Vala.
Mais quel monde de bureaucrates obsessionnels ! Entre Mascaranti qui notait tout, et celle-là qui voulait connaître quatre ou cinq syllabes quelconques, qu’on appelle communément nom et prénom. Il pouvait tout aussi bien lui dire qu’il s’appelait Horatius Coclès, en quoi ça changeait la situation ?
Pero qué mundo de burócratas obsesivos, desde Mascaranti que lo escribía todo, hasta ésta que quería saber cuatro o cinco sílabas cualesquiera, comúnmente conocidas como nombre y apellido, ¿por qué no decirle que se llamaba Orazio Coclite?, ¿cambiaba algo?
Étudiait la technique de concurrents susceptibles de lui enseigner quelque chose, notait le nom des réalisateurs et des opérateurs qu’il jugeait bons. C’est ainsi qu’il se retrouvait en train d’accumuler une réserve de compliments destinés à ses relations professionnelles lors de leurs prochaines rencontres.
Estudiaba las técnicas de aquellos competidores que le parecía podían enseñarle algo nuevo. Tomaba nota de los nombres de aquellos directores y cámaras que encontraba buenos y acababa descubriendo que había acumulado toda una reserva de cumplidos que hacerle a sus conocidos de la profesión en cuanto volviera a verles, y tampoco deseaba eso. Después probaba con los canales instructivos;
Une odeur de pâtisserie fraîche flottait dans l'air, et un instant McGuane a songé à la crémation. Personne en vue. Il a trouvé le sentier et pris la direction de l'est. En chemin, il notait machinalement les dates de naissance et de mort sur les pierres tombales. Il calculait les âges en se demandant quel sort avait bien pu frapper les plus jeunes. Un nom familier a attiré son attention, et il a hésité. Daniel Skinner.
Le llegó una ráfaga de olor a algo recién asado y pensó por un instante en la cremación. No había rastro de nadie. McGuane encontró la senda y dobló a la izquierda. A medida que pasaba por delante de las tumbas miraba inconscientemente las fechas de nacimiento y defunción, calculando edades y preguntándose de qué habrían muerto los niños. Se quedó indeciso un instante al ver un apellido conocido: Daniel Skinner, muerto a los trece años.
Car il s’était pris d’amour pour l’écriture de ses rapports, allant parfois, tant était violente sa passion paperassière, allant parfois jusqu’à en rédiger plusieurs dans la même journée, rapports où il notait que le village restait calme grâce au bon sens inné des paysans natifs du coin, et ce en dépit des menaces que faisaient peser sur eux une petite bande d’agitateurs bien connus, notations complétées d’une foule de détails aussi anodins qu’inutiles concernant ces derniers : horaires, déplacements, vêtures, facéties, paroles rapportées, boissons ingurgitées, etc.
Pues le había tomado una amorosa afición a la redacción de sus informes, llegando a veces –tan violenta era su pasión por el papeleoa escribir varios en un mismo día, informes donde anotaba que el pueblo se mantenía tranquilo gracias a la sensatez innata de los campesinos del terruño, y ello pese a las amenazas con que los abrumaba una pequeña pandilla de agitadores sobradamente conocidos, unas anotaciones coronadas por multitud de detalles tan anodinos como inútiles respecto a esos últimos: horarios, desplazamientos, vestimenta, bromas, dichos recogidos, bebidas ingeridas, etcétera.
Et parmi tout ceci, le fameux livre relié que son père conservait si précieusement et dans lequel il notait toutes ses idées.
Y, entre todo ello, el famoso álbum que su padre guardaba como oro en paño y en el que anotaba todas sus ideas.
Or, il n’y a pas que cette liste, il n’y a pas que ce fameux bout de papier sur lequel le caissier notait les noms et les sommes touchées, et sur lequel, rappelez-vous, le président de la Compagnie, avant de mourir, a mis sa signature en lettres de sang.
Pues bien, no existe más que esa lista, no existe más que ese famoso trozo de papel, en el que el cajero iba anotando los nombres y las cantidades cobradas, y en el que, recuérdelo, el presidente de la Compañía estampó antes de morir su firma en letras de sangre.
Fucik, bien qu’il n’eût aucune œuvre derrière lui, avait estimé capital de communiquer à l’univers ce qu’au cachot il pensait, sentait, vivait, ce qu’il mandait et recommandait à l’humanité. Ces choses, il les notait sur des billets minuscules, faisant risquer leur peau à ceux qui, en fraude, les passaient à l’extérieur pour les conserver en lieu sûr.
En cambio Fucik, aunque no era ni mucho menos famoso, cree que es enormemente importante decirle al mundo lo que piensa, siente y vive en la cárcel, su mensaje y sus recomendaciones a la humanidad. Lo escribía en retazos de papel y arriesgaba la vida de otras personas que lo sacaban de la cárcel y lo guardaban.
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