Similar context phrases
Translation examples
No hay un problema.
No hay ningún problema.
No borders of perception.
Ningún límite de percepción.
— No man is an island.
Ningún hombre es una isla.
She can do no rrrongggg…
Ella no puede hacer ningún rrrongggg…
Faut que j’enfile mes baskets. – No problemo. »
Tengo que ponerme las zapatillas. —Ningún problema.
Il n’y avait pas de voiture en face du no 8.
No había ningún coche estacionado frente a la casita número ocho.
— Eh bien, cela ne t’a pas fait mal, n’est-ce pas ? — No…on.
—No te he hecho ningún daño, ¿verdad? —N...no.
— No problema. Un pélican planait au-dessus de l’eau.
Ningún problema. Observamos el vuelo de un pelícano a ras del agua.
N… No… Nod… — Impossible, lui dis-je vivement, vous n’en êtes qu’à Lavergne… »
Na… No… Nod… – Imposible -le digo vivamente -, está usted en Lavergne.
Il lui fut soudain absolument impossible de replacer ces paroles vivantes à la page 300 du Vico et de les renvoyer au coffre no 5.
De repente, era imposible volver a meter aquellas palabras vivas en la página 300 de Vico y devolverlas a la caja 5.
Les gens écrivaient à l’Agence No 1 des Dames Détectives pour toutes sortes de problèmes, avec des demandes parfois impossibles à satisfaire.
La gente escribía a la Primera Agencia de Mujeres Detectives sobre toda clase de asuntos y pidiendo a veces cosas imposibles.
« Il est totalement exclu qu’il puisse être pire », répondit Bill en prenant place au bout d’une queue qui s’étirait jusqu’à une porte sur laquelle on lisait RÉFECTOIRE COMMUN No 2.
—Es completamente imposible que sea peor —dijo Bill, cuando se unieron a una cola que llegaba hasta una puerta marcada Comedor Consolidado N° 2—.
– Non, no-non, peux pas dire qu’on l’ait retrouvé. » Il a monté les marches de la galerie. « Un chauffeur routier a trouvé la camionnette, là-bas à l’est de Lyme Biska, mais aucune trace du gosse.
—No, no. Imposible decir que sí. —Ascendió la escalera del porche—. Un jinete encontró el camión al este de Lyme Biska, pero ni rastro del chaval.
– C’est incroyable… Ce que le nom Jitsugyō no Nihon évoquait pour moi et le souvenir que j’avais de Tarō Azuma étaient si dissemblables que je n’arrivais pas à les mettre sur le même plan. – Mais pas du tout !
—No puede ser. A pesar que lo sabía millonario y un as para el venture business, la discrepancia entre lo que sugería el título El Japón de los negocios y el Taro Azuma que yo recordaba era tan grande que me resultaba imposible imaginar una relación entre ambos.
Ainsi était-ce avec un contentement électrisé que le professeur Mondrian Kilroy se sentait autorisé, arrivé là, à projeter la diapositive no 421, représentant la perspective des deux salles de l'Orangerie à Paris où les Nymphéas de Monet furent installés, en janvier 1927, et où, aujourd'hui encore, il serait permis au public de les voir si les voir n'était pas un terme absolument inadapté au geste, impossible, de les regarder.
Así, con electrizada satisfacción, el profesor Mondrian Kilroy se sentía con el derecho, en ese momento, de proyectar la diapositiva n.° 421, que representaba el folleto de las dos salas de la Orangerie de París donde las Nymphéas fueron instaladas, en enero de 1927, y donde, todavía hoy, podría verlas al público si verlas no fuera un término totalmente inapropiado para el gesto, imposible, de mirarlas.
Tandis qu’il tentait l’impossible inventaire du no 5, Joseph sentit monter en lui une envie de pleurer qui datait de la veille, quand Igor l’avait laissé tomber… Non, de plus loin encore… Une révolte de l’enfance bafouée, un sentiment d’irréparable injustice, d’abandon absolu, de solitude rédhibitoire, mais venu de la nuit des temps, un chagrin ontologique qui, tout à coup, lui parut le lot atroce de la condition humaine.
Mientras intentaba elaborar el imposible inventario del n.º 5, Joseph sintió nacer en su interior unas ganas de llorar que databan de la víspera, cuando Igor le había abandonado… No, de más atrás todavía… Una rebelión de infancia injuriada, un sentimiento de irreparable injusticia, de abandono absoluto, de soledad redhibitoria, pero que brotaba de la noche de los tiempos, una pesadumbre ontológica que, de pronto, le pareció el atroz patrimonio de la condición humana.
et, le film fini, tandis que sous leur fenêtre les Français fêtaient la victoire par un concert de klaxons, ils scellaient leur amour impossible par l’acte masochiste suprême, le vœu de chasteté, prononcé avec un enthousiasme absurde tandis qu’ils écoutaient dans le walkman de Luisa, une oreillette chacun, la version déchirante de Sacrifice interprétée par Sinéad O’Connor – and it’s no sacrifice / just a simple word / it’s two hearts living / in two separate worlds –, dans l’illusion, grâce à un tel sacrifice, de ne rien faire de mal, de ne trahir personne, de ne rien détruire.
y cuando la película terminó, mientras fuera los franceses celebraban la victoria tomando las calles con coches, ellos sellaban su amor imposible con el acto masoquista supremo, el voto de castidad, que hacían con absurdo entusiasmo mientras en el walkman de ella escuchaban, cada uno por un auricular, la desgarradora versión de «Sacrifice» cantada por Sinéad O’Connor —and it’s no sacrifice / just a simple word / It’s two hearts living / in two separate worlds—, creyendo que, sacrificándose como se sacrificaban, no engañaban a nadie, no destruían nada.
Si près de toute cette agitation, en suspens dans un no man’s land entre la circulation et la tranquillité du parc, les personnages de Juan Munoz s’entremêlent non seulement par leur disposition et les gestes immobiles que le sculpteur a décidé pour eux, mais ils changent aussi quand on s’approche ou s’éloigne, quand on tourne autour d’eux pour découvrir de nouvelles perspectives, et il y a en eux quelque chose d’une danse paralysée ou d’un conciliabule d’êtres apparentés à l’espèce humaine mais très différents, faits d’une autre matière, à une échelle qui n’est pas assez réduite pour les rendre irréels comme des pantins, mais qui pourtant rend impossible toute identification, toute familiarité.
Tan cerca de toda esa agitación, suspendidas en una tierra de nadie entre el tráfico y la quietud del parque, las figuras de Juan Muñoz se entrelazan no sólo según la disposición y los gestos inmóviles que el escultor decidió para ellas: cambian cuando uno se acerca o se aleja, cuando da la vuelta a su alrededor para descubrir nuevas perspectivas, y en ellas hay algo de danza paralizada y conciliábulo de seres de una especie emparentada con la humana pero muy distinta a ella, hechos de otra materia, a una escala que no es lo bastante pequeña para volverlos irreales como muñecos, pero que hace imposible toda identificación o familiaridad.
Les « o » longs devenaient avec lui invariablement des « o » courts : son no sonnait positivement comme de l’italien, impression encore renforcée par sa manière de répéter trois fois la simple négation. (« Puis-je vous emmener dans ma voiture, Mr.
Las o largas se convertían inevitablemente en cortas: su no parecía italiano, y esto se acentuaba por su treta de triplicar el negativo: («¿Puedo llevarlo, míster Pnin?» «No-no-no, sólo estoy a dos pasos desde aquí»).
Peut-être que son bébé était né là, sous le panneau No Parking.
Tal vez su bebé hubiera nacido allí mismo, bajo el rótulo de prohibido aparcar.
Les livres m’ont appris les no man’s lands vertigineux, la zone d’ombre entre le licite et l’illicite, le légitime et l’excentrique, le normatif et le bizarre.
Los libros me permitieron conocer tierras de nadie vertiginosas, comarcas de sombras entre lo permitido y lo prohibido, entre lo legítimo y lo excéntrico, entre lo normativo y lo bizarro.
Et perché à son sommet, les bras croisés sur une poitrine de taureau, se tenait un homme, cigare au bec malgré les panneaux NO SMOKING placardés un peu partout.
De pie, en lo alto de la escalera, se hallaba un hombre con los brazos cruzados sobre el amplio y fuerte pecho y un puro en la boca a pesar de los letreros de prohibido fumar que había por todas partes.
Sur la porte défraîchie de la chambre se trouvait un panneau jauni « No Smoking » fait maison, aux lettres tracées au gros crayon rouge, avec le N et le S hésitants mais assez grands pour suggérer le défi.
De la puerta alabeada de la habitación colgaba un cartel amarillento de confección casera, escrito con lápiz rojo, donde se leía «Prohibido Fumar», la pe y la efe vacilantes pero enormes en su desafío.
Au bout d’un marché de dattes, d’huile d’olive et de galettes au sésame, un policier barbu nous a refoulés à l’entrée de la mosquée Al-Aqsa, comme le physio à l’entrée des Caves du Roy (sauf que jamais je n’ai été refoulé à l’entrée des Caves du Roy). — Are you muslim ? — No
Después de un mercado de dátiles, de aceite de oliva y de galletas de sésamo, un policía barbudo nos impidió el acceso en la puerta de la mezquita de Al-Aqsa, como el portero en la entrada de las Caves du Roy (salvo que nunca me han prohibido entrar en las Caves du Roy). —Are you muslim? —No…
Rendez-vous a donc été pris dans un bar situé à dix minutes à pied de chez Lessertisseur, au coin des rues du Faubourg-Poissonnière et d’Abbeville, en face d’un immeuble d’angle Art nouveau situé au no 14 de celle-ci, sculpté de superbes cariatides dont les poitrines émouvantes exposées aux yeux de tous seraient peut-être, au point où on en est, interdites de nos jours.
Quedaron en un bar situado a diez minutos andando de casa de Lessertisseur, en la esquina de la rue du Faubourg-Poissonnière con la rue d’Abbeville, enfrente de un edificio art nouveau situado en el número 14 de ésta, esculpido con soberbias cariátides cuyos turbadores pechos expuestos a los ojos de todo el mundo estarían quizá, en el punto al que hemos llegado, prohibidos hoy en día.
Officiellement, bien sûr, on ne sait rien de lui, on est censé ne rien savoir… Mais vous pensez bien qu’un tel secret ne résiste pas longtemps à la curiosité de l’entourage… Je ne devrais pas vous le dire… Seulement vous l’auriez appris, tôt ou tard, par quelqu’un d’autre… Il paraît, je dis bien il paraît, que le prisonnier no 1 est le tsar Ivan Antonovitch, ou, si vous préférez, Ivan VI, arrière-petit-fils du tsar Ivan V, lui-même frère aîné de Pierre le Grand. — Est-ce possible ?
Oficialmente, por supuesto, no se sabe nada, y está prohibido saberlo… Pero supondrá que un secreto semejante no resiste mucho tiempo a la curiosidad de quienes lo rodean. No debería decírselo… pero tarde o temprano lo habría sabido, por uno o por otro… Parece, digo parece, que el prisionero número uno es el zar Iván Antonovitch, o si lo prefiere, Iván VI, bisnieto del zar Iván V, hermano mayor de Pedro el Grande. —¿Es posible?
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