Translation for "neuropsychologique" to spanish
Neuropsychologique
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Car lui aussi – ancien combattant de la guerre d’Irak, blessé, Purple Heart, infirmités, troubles neuropsychologiques multiples – était hébété, assommé.
Porque también él —excombatiente de la guerra de Iraq, herido en acción, condecorado, con múltiples discapacidades, déficits neuropsicológicos— se sentía aturdido, anonadado;
Cette altération, parfois très subtile, n’est pas toujours détectable par les tests d’intelligence, mais des examens neuropsychologiques plus soigneux ainsi que l’agitation continuelle et l’impulsivité de l’enfant la mettent en évidence.
Estos déficit no los registra siempre los tests que miden el CI, aunque pueden ser determinados por análisis neuropsicológicos más precisos y colegidos de la continua agitación e impulsividad del niño.
Bien que les syndromes de l’hémisphère droit soient aussi courants que ceux de l’hémisphère gauche – et pourquoi ne le seraient-ils pas ? – nous trouvons des milliers de descriptions des syndromes de l’hémisphère gauche dans la littérature neurologique et neuropsychologique pour une seule description d’un syndrome de l’hémisphère droit.
Aunque sean tan frecuentes los síndromes de un hemisferio como los del otro (¿por qué no habrían de serlo?) hallaremos un millar de descripciones de los correspondientes al izquierdo en la literatura neurológica y neuropsicológica por cada descripción de un síndrome del derecho.
Par exemple, une étude fondée sur des tests neuropsychologiques a révélé que des élèves d’école primaire dont le QI était supérieur à la moyenne mais dont les résultats scolaires étaient médiocres présentaient un dysfonctionnement du cortex préfrontal{30}.
En un estudio llevado a cabo con alumnos de escuelas primarias que, a pesar de tener un CI por encima de la media, mostraban un pobre rendimiento académico, las pruebas neuropsicológicas determinaron claramente la presencia de un desequilibrio en el funcionamiento de la corteza frontal.
Après avoir écrit et publié cette histoire, j’entrepris, en collaboration avec le docteur Elkhonon Goldberg (élève de Louriia et éditeur de l’édition originale russe de son œuvre The Neuropsychology of Memory), une étude neuropsychologique serrée et systématique à propos de ce patient.
[5] Después de escribir y publicar esta historia emprendí con el doctor Elkhonon Goldberg (discípulo de Luria y director de la edición original, rusa, de La neuropsicología de la memoria) un estudio neuropsicológico sistemático y detenido de este paciente.
Curieusement, la neurologie et la psychologie ne parlent jamais de « jugement », alors qu’elles parlent de tout le reste – pourtant, c’est justement la faillite du jugement (dans des domaines spécifiques, comme dans le cas du docteur P., ou dans le cas plus général des malades présentant le syndrome de Korsakov ou le syndrome du lobe frontal – voir, ci-dessous, les chapitres XII et XIII) qui constitue l’essence de tant de troubles neuropsychologiques.
Curiosamente, aunque la neurología y la psicología hablen de todo lo demás, casi nunca hablan del «juicio»... y sin embargo es en concreto el desmoronamiento del juicio (en sectores específicos, como en el caso del doctor P. o, de un modo más general, como en pacientes con el síndrome de Korsakov o con afectación del lóbulo frontal, como veremos luego en los capítulos doce y trece) lo que constituye la esencia de muchos trastornos neuropsicológicos.
Ce fut donc avec grand intérêt, et un plaisir non dépourvu de soulagement, que je tombai, presque par hasard – en parcourant la revue Brain de 1956 –, sur une description détaillée d’un cas presque similaire (ou même identique) d’un point de vue neuropsychologique, bien que la pathologie sous-jacente (une grave blessure à la tête) comme toutes les données personnelles fussent ici et là complètement différentes. Les auteurs parlent de ce cas comme « unique dans l’histoire de ce trouble » – et ils ont été évidemment stupéfaits, comme moi, de découvrir qu’il en existait un autre{9}.
Por eso sentí muchísimo interés y una gran alegría, y también cierto alivio, cuando descubrí (pura casualidad, ojeando un número de la revista Brain de 1956) una descripción detallada de un caso casi ridículamente similar (en realidad idéntico) desde el punto de vista neuropsicológico y desde el fenomenológico, aunque la patología subyacente (una lesión grave en la cabeza) y todas las circunstancias personales fuesen completamente distintas. Los autores hablan de su caso como «único en la historia documentada de este trastorno»... y es evidente que se quedaron asombrados, como yo, con lo que descubrieron[4].
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