Translation for "mémorialisation" to spanish
Mémorialisation
Translation examples
– Qu’est-ce que c’est que cette affaire de Memorial ?
—¿Qué significa todo ese asunto de la conmemoración?
C’était un match spécial pour le Mémorial Day et toutes les places étaient occupées.
Era un partido especial en conmemoración del Memorial Day y la platea estaba llena.
– Nous ne pouvons pas nous en aller sans voir Disko partir, dit Harvey, et lundi est le Memorial Day.
—No podemos marcharnos sin antes despedirnos de Disko —dijo Harvey—. Y, además, el lunes es el Día de la Conmemoración.
Nous étions amies depuis l’âge de sept ans, nous collectionnions les décalques depuis quatorze ans. Commémorations. Souvenirs. Célébrations. Mémoriaux.
Éramos amigas desde los siete años, y llevábamos catorce coleccionando aquellos calcos. Conmemoraciones, recuerdos, celebraciones, homenajes.
Il ne disait pas que le capitaine B. Edwardes avait fait des pieds et des mains pendant cinq années consécutives pour être autorisé à réciter un morceau de sa composition au Memorial Day de Gloucester.
Pero no dijo que el capitán Edwardes había estado luchando durante cinco años para que se le permitiese recitar, en el Día de la Conmemoración de Gloucester, un trozo del poema que él mismo había compuesto.
Le Memorial Day{9} tombait à la fin de cette semaine-là et nous avions trois jours de congé à partir du vendredi. Ça me laissait le temps de me reprendre un peu.
Ese fin de semana se celebraba el Día en conmemoración de los Caídos, así que, después de acabar la jornada del viernes, teníamos tres días de fiesta. Tres días que sirvieron para que me recuperara, más o menos.
De même : les vétérans du Reich allemand et ceux des armées alliées dans les bras les uns des autres, au Mémorial pour la Paix de Caen, lors des cérémonies de commémoration du cinquantenaire du débarquement du 6 juin 1944.
Igualmente: los veteranos del Reich alemán y los de los ejércitos aliados abrazándose en el Memorial por la Paz de Caen durante los actos de conmemoración del cincuentenario del desembarco del 6 de junio de 1944.
L’éditorial s’intitule « Le docteur Fred » : « Nous vivons dans une société où la violence est en passe de devenir la règle… nous ne savons pas pourquoi et nous ne comprendrons peut-être jamais… la colère que nous ressentons tous… nos cœurs vont vers la victime et sa famille, aux Hamlin, à toute une communauté qui essaie de comprendre, de vivre avec ce qui s’est passé… un homme remarquable, un médecin formidable qui a touché toutes nos vies… un fonds spécial à la mémoire du docteur Fred… pour contribuer à ce mémorial, qui aidera les familles indigentes en cas de maladie… en ces temps de douleur, nous devons nous remobiliser, pour sa mémoire… » À côté de l’éditorial, un article qui s’intitule « Le temps guérit toutes les blessures », commence par : « Nous préférerions tous oublier… » et se poursuit en ces termes : « Le temps de l’apaisement viendra plus vite à certains qu’à d’autres… Au cours de son sermon, le révérend Peter Baliston, de la Première Église congrégationnelle, a voulu nous faire trouver du positif dans cette tragédie… resserrera les liens de la communauté dans le partage de la douleur… Le révérend James Viering de l’Église de Saint-Patrick a prononcé une homélie passionnée… » À côté de cet article, un troisième extrait qui n’a que faire là, mais que le Suédois ne se résout pas davantage à déchirer, si bien qu’il va rester affiché un an, lui aussi.
El editorial se titula «El doctor Fred» y dice entre otras cosas: «Vivimos en una sociedad en la que la violencia tiene un predominio excesivo… no sabemos por qué y tal vez nunca comprenderemos… la cólera que todos sentimos… nos solidarizamos con la víctima y su familia, con los Hamlin y con toda una comunidad que intenta comprender y asimilar lo que ha ocurrido, un hombre extraordinario y un médico excelente que nos trataba a todos… un fondo especial en memoria del doctor Fred… para contribuir a esta conmemoración y ayudar así a familias indigentes de la localidad cuando necesiten cuidados médicos… en estos tiempos de aflicción debemos entregarnos de nuevo, en su memoria…». Al lado del editorial hay un artículo titulado «El tiempo cura todas las heridas», que empieza así: «Todos preferiríamos olvidar pronto…» y sigue diciendo: «… el consuelo que procura el tiempo les llegará a unos antes que a otros…, el reverendo Peter Baliston, de la Primera Iglesia Congregacional, trató en su sermón de encontrar algo bueno en la tragedia…, acercará más a la comunidad en la aflicción compartida… El reverendo James Viering, de la iglesia de San Patricio, pronunció una apasionada homilía…».
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