Translation for "merrit" to spanish
Translation examples
— Et je suis heureuse pour toi, maman. Tu le mérites.
Y me alegro por ti, mamá —dijo sinceramente—. Te lo mereces.
– Je suis heureuse pour toi, tu le mérites, tu es un homme formidable.
– Me alegro por ti, te lo mereces, eres un hombre formidable.
— Je suis heureuse que tu aies rencontré une personne qui te mérite.
—Me alegro de que hayas encontrado a alguien que te merezca.
Je suis si heureuse pour toi ! Tu as mille fois mérité ce succès.
¡Me alegro tanto por ti! Mereces el éxito.
Je soupirai. « Mais c'est bien pour elle. Elle le mérite. – Jimmy est OK.
Suspiré. —Me alegro por ella. Se lo merece. —Jimmy no está mal.
— Je suis heureuse que tu rencontres enfin une fille qui te mérite.
—Me alegra que por fin hayas encontrado a alguien que te merezca.
— Ça me fait plaisir pour toi, dit Partridge, parce que personne ne le mérite mieux.
—Me alegro —dijo Partridge—, porque nadie se lo merece más que tú.
— Oh, mon Dieu, ça m’est égal, et même, je suis heureuse, sans doute que je mérite d’être punie.
—Dios mío, no me importa, me alegro, merezco un castigo.
 Voilà un facétieux docteur, qui ne doit pas mériter la qualification de morticole...
-¡He aquí un alegre médico, que no debe merecer el calificativo de mortífero!
En règle générale, la vérité a au moins le mérite d’être divertissante.
Cuando menos, la verdad suele ser divertida.
Amusée, Daisy baissa les yeux sur la petite Merritt, qui s’endormait dans ses bras.
Divertida, Daisy miró a Merritt, que dormía en sus brazos.
Lucas hocha la tête. —C'est un imbécile, marmonna-t-il. Hampton était bien de cet avis. —Je méprise William Merritt.
Lucas no parecía divertido. —Es un idiota —murmuró. Hampton asintió con la cabeza. —¡Cómo desprecio a William Merritt!
Elle les écouta, amusée, vanter les mérites d’un certain nombre de magiciens plus jeunes. — Non… Regarde par ici… là, je ne dirais pas non.
Las escuchó, divertida, mientras evaluaban las cualidades de los magos jóvenes. —No... Mira allí... A ese sí que no le diría que no.
— Elle n’est guère économe. Mais tant pis, elle mérite qu’on se ruine pour elle. Elle est si attentive à me rendre heureux, si drôle !
–No es ahorradora. Aunque no me importa; merece que uno se arruine por ella. ¡Pone tanto interés en complacerme! ¡Es tan atenta, tan divertida!
Non seulement ses talents de comique dans le rôle de l’amoureuse éperdue auraient mérité d’être récompensés par un oscar, mais aussi son aide lui devenait chaque jour plus précieuse.
No solo resultaba divertido hablar por teléfono con ella todos los días, con aquellos diálogos que propiciaba, dignos de un premio de interpretación, sino que además le estaba prestando una ayuda inestimable en su trabajo.
Je n’ai jamais cru mériter la bienveillance de certaines d’entre elles, même si cela ne tient qu’au fait que j’ai toujours considéré que, hormis le fait qu’elles étaient belles, amusantes, douces et excitantes, les femmes demeuraient très étranges.
Jamás he creído merecer la predilección que algunas de ellas han mostrado por mí, aunque sólo sea porque siempre me ha parecido también que, aparte de hermosas, divertidas, suaves, dulces y excitantes, las mujeres son muy raras.
L’héroïsme, même inconscient, ça mérite une médaille !... Je vous en donne… pour les deux… Voyons… Je suis généreux parce que je les trouve marrants ces deux trucs, je les aime bien… Et puis, vous m’êtes sympathique, vous avez du culot, du sentiment, vous êtes amoureux, moi tout ça, ça me bouleverse… Vingt dollars… Pour les deux !
¡El heroísmo, aun inconsciente, merece una medalla!… Le doy… por las dos… Veamos… Soy generoso porque las encuentro divertidas, me gustan mucho… Y además, usted me es simpático, tiene tupé, sentimientos, está enamorado, a mí todo eso me trastorna… Veinte dólares… ¡Por los dos!
La chienne jaune, inquiète, en éveil, se jette en courant et hurlant à travers champs, un, sur le chemin poudreux, deux, traverse la haie de laurier, trois, s’arrête au milieu de la mare reflétant la Lune pour boire un peu d’eau et, avec le quatre, fait l’ascension de la pente douce d’un coteau, puis, avec le cinq, parvient à la cour d’une ferme et continue à courir, à courir, la chienne en plastique blanc reste en arrière tandis qu’on ne distingue déjà presque plus la chienne jaune, elle court plus vite que jamais parce qu’elle m’aime, je vais lui appartenir, c’est pourquoi la chienne jaune fait tant d’efforts, pour me mériter par un triomphe spectaculaire, un, deux, trois quatre, cinq, six, quelle chance, misiá Inesita, jouez encore, quatre, un deux, trois quatre, je vais appartenir à Inés car la chienne jaune va réussir à faire qu’elle me prenne dans ses bras juste avant que ses bras ne se changent en bras ligneux de Peta qui m’emprisonneraient, elle prendrait possession de mon sexe avec son sexe pourri et mon sexe pourrirait dans son sexe plein de vers voraces, la chienne jaune me sauve des bras de la vieille, cours, cours, chienne jaune, en hurlant à la Lune, en suivant ses rayons, c’est à peine si l’on distingue encore la chienne en plastique, les vieilles poussent de petits cris, se tordent les mains, disent des rosaires, elles ne savent plus qui elles veulent voir gagner mais toutes donnent misiá Inesita gagnante bien que la pauvre Iris ait froid, je vais enfin être à toi, même si je n’appartiens qu’au souvenir d’une Inés trop parfaite pour avoir jamais existé, mais obéissant docilement à la chienne jaune qui file entre les batros du bord de l’étang pour se cacher aux dix cavaliers féroces, la chienne jaune dont l’ombre oscillante damne le visage de certaines vieilles et en rédime momentanément d’autres, un, deux, trois, qu’est-ce que ça peut faire que ça ne soit qu’un trois puisqu’il vous manque si peu, n’est-ce pas, misiá Inesita, voyons, Iris, allez, dépêche-toi, ne sois pas si coquette avec ton dé, jette-le, ouf, rien qu’un deux, c’est tout, à vous maintenant, misiá Inesita, vous n’aurez aucun mal à gagner, un, deux, trois, quatre, cinq, six, en arrière, mais c’est encore à vous de jouer comme c’est un six : trois, un, deux, trois, juste, vous avez gagné, bravo, la chienne jaune est arrivée au but, et Iris crie de dépit, se cache la figure dans ses mains, tandis que les vieilles félicitent misiá Inesita, dansent de joie, pendant qu’Iris se change en une écorce inutile, elle n’est plus la bienheureuse, elle n’est plus personne, Inés se lève, elle donne un coup de pied à sa propre denture qui se perd dans un coin de la chapelle, elle me prend dans ses bras tant désirés dont je me rappelle la mollesse, c’est elle la vraie bienheureuse, elle est miraculeuse, elle s’assoit majestueusement avec moi sur son trône, les vieilles se prosternent, allument d’autres cierges, les pétales de fleurs pleuvent, de l’encens, misiá Inés a fait le miracle, c’est elle la vraie sainte, c’est elle la patronne, demain matin commencera son culte dans cette chapelle avec Boy dans ses bras conçu sans intervention masculine par la bienheureuse Inés de Azcoitía en qui les gens de Rome ne croient pas, ce sont des hérétiques qui ne croient pas aux miracles, ils sont tous communistes, ils n’ont pas la foi des braves gens d’autrefois, ouvrez les portes de la chapelle, courez prévenir toutes les vieilles de la maison, ordonne la bienheureuse, toutes, même les autres qui n’avaient qu’un soupçon de la vérité, il arrive des vieilles de toutes les cours, pieds nus, emmitouflées dans des châles, portant des bougies sur leurs bougeoirs, traînant leurs chemises de nuit en flanelle, elles disent que misiá Inesita a fait un miracle, que malgré son âge et bien qu’aucun homme ne l’ait touchée, elle a donné le jour à un enfant, cette nuit dans la chapelle, elles traînent leurs savates à toute vitesse pour ne rien perdre du spectacle, il en accourt légion par les couloirs, les cours, les passages, pour vénérer misiá Inés et la féliciter du miracle, elle est la bienheureuse Inés de Azcoitía qui les conduira toutes à leur salut, pas dans un seul carrosse blanc mais en un cortège de carrosses blancs, peut-être un par vieille car misiá Inés est millionnaire, dit-on, pour partir au ciel en chantant avec tout ce qui nous appartient, c’est la fête pour nous toutes, les vieilles, parce qu’on ne va pas avoir à mourir, ça faisait peur, et maintenant il n’y aura plus de quoi avoir peur des passages ténébreux et des vastes pièces vides où Iris a dû se perdre, son destin n’a plus d’intérêt pour personne maintenant que se présentent des perspectives de faste et de splendeur, elle n’y est pour rien, la mère Benita, le père Azócar et même l’archevêque diront ce qu’ils voudront, nous organiserons des rites dans cette chapelle, qui seront présidés par la bienheureuse Inés de Azcoitía sur son trône d’or, l’enfant dans ses bras comme dans les tableaux peints.
La perra amarilla, inquieta, lista, se lanza a la carrera aullando a campo traviesa, uno, por el camino polvoriento, dos, cruza el cerco de laureles, tres, se detiene en medio del charco que refleja la luna para beber un poco de agua y con el cuatro sigue en subida por la suave ladera de un monte hasta llegar con el cinco al patio de una granja y sigue corriendo y corriendo, la perra de plástico blanco queda detrás mientras la perra amarilla ya casi no se divisa, corre más que nunca antes porque me quiere a mí, voy a pertenecerle, por eso se esfuerza la perra amarilla, para merecerme con un triunfo espectacular, uno, dos, tres, cuatro, cinco, seis, qué suerte misiá Inesita juegue otra vez, cuatro, uno, dos, tres, cuatro, voy a ser de Inés porque la perra amarilla va a lograr que ella me tome en sus brazos justo antes de que sus brazos se conviertan en los brazos leñosos de la Peta que me aprisionarían, se adueñaría de mi sexo con su sexo podrido y mi sexo se pudrirá dentro de su sexo lleno de gusanos voraces, la perra amarilla me está salvando de los brazos de la vieja, corre, corre, perra amarilla aullándole a la luna y siguiendo sus rayos, ya no se divisa la perra de plástico, las viejas chillan, retuercen sus manos, rezan rosarios, ya no saben quién quieren que gane pero todas apuestan a misiá Inesita aunque la pobre Iris tiene frío, voy a ser tuyo, por fin, aunque sea sólo del recuerdo de una Inés demasiado perfecta para que jamás haya existido pero dócil a la perra amarilla que se escurre entre los batros de la orilla del pantano para ocultarse de los diez jinetes peligrosos, la perra amarilla cuya sombra oscilante condena los rostros de algunas viejas y rescata momentáneamente a otros, uno, dos, tres, qué importa que sea sólo un tres si le falta tan poco pues misiá Inesita, a ver, Iris, ya, apúrate no le brujulees tanto al dado, tíralo, uf, un dos no más, ahora usted misiá Inesita, no le va a costar nada ganar un, dos, tres, cuatro, cinco, seis, para atrás, pero le toca jugar otra vez porque es un seis: tres, un, dos, tres, justo, gana, viva, la perra amarilla llegó a la meta y la Iris chilla y se cubre la cara con las manos mientras las viejas felicitan a misiá Inesita, bailan regocijadas mientras la Iris se convierte en una corteza inútil, ya no es la beata, ya no es nadie, Inés se pone de pie, le da una patada a su propia dentadura que se pierde en algún rincón de la capilla, me toma en sus brazos ansiados cuya blandura recuerdo, ella es la beata de veras, ella es milagrosa, se sienta majestuosa conmigo, en su trono, las viejas se inclinan, encienden más cirios, llueven los pétalos de las flores, incienso, el milagro lo hizo misiá Inés, ella es la verdadera santa, ella es la dueña, mañana mismo comenzará el culto aquí en la capilla con Boy en sus brazos, concebido sin intervención masculina por la beata Inés de Azcoitía en que los de Roma no creen porque son unos herejes que no creen en los milagros, son todos comunistas, no tienen la fe de la buena gente de antes, que se abran las puertas de la capilla, que corran a avisarles a todas las viejas de la casa manda la beata, a todas incluso a las otras que sólo sospechaban, acuden viejas de todos los patios, descalzas y arrebozadas en chales, llevando velas en palmatorias, arrastrando sus camisas de dormir de franela, dicen que misiá Inesita hizo un milagro, que a pesar de su edad y aunque ningún hombre la ha tocado dio a luz un niño esta noche en la capilla, chancletean apuradas para no perderse el espectáculo, una legión que acude por los corredores y los patios y los pasadizos para venerar a misiá Inés y felicitarla por el milagro, ella es la beata Inés de Azcoitía que las llevará a todas a la salvación no en una sola carroza blanca sino que en un cortejo de carrozas blancas, quizás una para cada vieja porque misiá Inés es millonada, dicen, para irnos cantando con todas nuestras pertenencias al cielo, estamos de fiesta todas las viejas porque no vamos a tener que morirnos, eso daba miedo y ahora no habrá para qué tenerles miedo a los pasadizos tenebrosos y a las vastas habitaciones huecas donde la Iris se debe haber perdido, su destino no es de interés para nadie ahora que se presenta la perspectiva de boato y esplendor, ella es ajena a eso, digan lo que digan la madre Benita y el padre Azócar y hasta el arzobispo mismo organizaremos rituales aquí en esta capilla para que la beata Inés de Azcoitía los presida desde su trono de oro, con el niño en sus brazos, igual que en los cuadros de pintura.
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