Translation for "merdeux" to spanish
Translation examples
– C’est ta faute, merdeux !
- Es por tu culpa, ¡mierda!
Je le connais, ce merdeux
Conozco a este mierda.
— Le roi des merdeux, voilà ce qu’il est.
—Es un mierda, eso es lo que es.
C’est pas pour un merdeux comme toi, « La Féria ».
«La Féria» no es para un mierda como tú.
Espèce de petite merdeuse !
¡Chiquilla de mierda!
Misérable petit merdeux !
Una mierda miserable.
— C’est un bâton merdeux, Felix.
—Félix es un huevón de mierda.
 Écoutez bien, petits merdeux.
Escuchad, mierdas.
Vous avez une réponse à ça, espèce de merdeux ?
¿Tienes una respuesta a eso, tío mierda?
« Espèce de pauvre merdeux à la con ! »
—¡Maldito niñato de mierda!
— Je ne me rappelle que l’histoire d’un merdeux, un de ces mecs qui prenaient les filles et les obligeaient à chier ou chiaient eux-mêmes.
—Sólo recuerdo el caso de un cagón, de uno de ésos que cogían a las chicas y las hacían cagar o se cagaban ellos.
— Moi, je ne suis pas un merdeux.
—No, pero tampoco soy un cagado.
Quoi qu’il en soit, avec mon slip Fruit of the Looms merdeux, j’ai fait match nul contre Bobby Fischer.
En cualquier caso, con mis Fruit of the Looms cagados, conseguí empatarle a Bobby Fischer.
Et alors les gardes sont sortis en courant mais ils avaient du mal à bouger, parce qu’ils étaient pétés, pantalon baissé et tout merdeux, de peur et de caca, parce que le bal les avait surpris en pleine diarrhée à cause des chewing-gums à la purge de la Toñita.
Y entonces apenas podían moverse porque estaban bien bolos y con los pantalones bajados y bien cagados, que sea de miedo y de cagada, porque los había agarrado la bulla mero en la diarrea por causa del purgante de los chicles con maña de la Toñita.
« Je lui ai tout raconté. Je lui ai dit que notre père aurait aimé que nous partions avec vous, que notre mère aurait également aimé qu’on le fasse, que nous n’avons plus rien ici, mais comme c’est un merdeux et que tout lui fait peur… » Et tout précoce qu’il était, tout adulte qu’il paraissait, il avait fait une pause pour ne pas se mettre à bouder.
Le he dicho que a padre le gustaría que nos fuéramos con vosotros, que eso es también lo que madre querría que hiciéramos, que aquí no dejamos nada nuestro, pero como es un cagado, y todo le da miedo… —y tan precoz, tan adulto como era, hizo una pausa por no hacer un puchero—.
Pourtant, je vois bien que la fourmilière ne se soucie pas de moi, qu’elle demeure à travailler pesamment sur elle-même, à s’occuper de ses innombrables petites affaires, qu’à part ces deux fourmis vagabondes les autres, qui sont sans doute des millions, m’ignorent complètement, je le vois, je le perçois, je le comprends même, mais c’est trop tard, l’effroi est le plus fort, ce qui s’est emparé de moi ne tient plus aucun compte de la réalité, c’est mon corps tout entier qui exprime la terreur d’être dévoré vif, terreur conçue par mon esprit seul, sans la complicité des fourmis, je sais confusément tout cela bien sûr, et plus tard quand l’abbé Chapelier – il s’appelait Chapelier – me demandera si je croyais sérieusement que les fourmis allaient me dévorer, je répondrai non, et quand il me demandera d’avouer que je me suis joué la comédie, je répondrai oui, et quand il me demandera si ça m’a amusé de terroriser par mes hurlements les promeneurs qui m’ont finalement détaché je répondrai je ne sais pas, et n’as-tu pas honte d’avoir été ramené tout merdeux comme un bébé devant tes camarades, je répondrai si, toutes questions qu’il me pose en me nettoyant au jet, en enlevant le plus gros au jet, sans même ôter mes vêtements, qui sont un uniforme je te le rappelle, l’uniforme des scouts je te le rappelle, et t’es-tu demandé une seconde ce qu’allait penser des scouts ce couple de promeneurs ?
Sin embargo, veo perfectamente que el hormiguero no se preocupa de mí, que sigue trabajando pesadamente en sí mismo, ocupándose de sus innumerables asuntillos, que salvo por esas dos hormigas vagabundas las demás, que sin duda son millones, me ignoran por completo, lo veo, lo percibo, lo comprendo incluso, pero es demasiado tarde, el espanto es más fuerte, lo que se ha apoderado de mí no tiene en cuenta ya, en absoluto, la realidad. Es mi cuerpo entero el que expresa el terror de ser devorado vivo, terror concebido solo por mi espíritu, sin la complicidad de las hormigas, sé confusamente todo eso, claro, y más tarde, cuando el abate Chapelier –se llamaba Chapelier– me pregunte si creía de veras que las hormigas iban a devorarme, responderé que no, y cuando me pida que reconozca que estuve fingiendo, responderé sí, y cuando me pregunte si me divirtió aterrorizar con mis aullidos a los paseantes que por fin me desataron, responderé no lo sé, ¿y no te avergüenza que te hayan traído cagado como un bebé ante tus compañeros?, responderé sí, preguntas todas ellas que me hace mientras me limpia a chorro, sacando a chorro lo más grueso, sin ni siquiera quitarme la ropa, que es un uniforme, te lo recuerdo, el uniforme de los scouts, te lo recuerdo, ¿y te has preguntado acaso lo que iba a pensar de los scouts esa pareja de paseantes?
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