Translation for "marches-pieds" to spanish
Marches-pieds
Translation examples
Un bruit de pas légers, Allan doit marcher pieds nus.
Un ruido de pasos ligeros, Allan debe de estar descalzo.
Le bâtiment est tellement calme, aujourd’hui, qu’on entendrait un Sioux marcher pieds nus. – D’accord.
Hoy, el edificio está tan silencioso que hasta se oirían los pasos de un hombre descalzo. —De acuerdo.
Si Judith était à l’étage, elle devait marcher pieds nus et il ne pouvait plus écouter ses pas.
Si Judith estaba en la planta de arriba ahora iba descalza y no podía escuchar sus pasos.
Les jeunes s’en vont. » Il marche pieds nus, à mon côté, à pas lents sous le soleil chaud de l’après-midi : « Vous voyez ?
Los jóvenes se van». Camina descalzo, a mi lado, a pasos lentos bajo el tibio sol de la tarde: «¿Ve?
Il est bien vrai que celui qui sait ne sait pas tout et la compagne de Faustina Mau-Tempo sut descendre du train à Caxias, mais où donc est la prison, elle ne veut pas s’avouer vaincue et s’engage sur une route, ça doit être par là, nous sommes en août, la chaleur est torride à cette heure qui approche de celle qui a été laborieusement communiquée et apprise par cœur, l’heure de la visite, elles durent alors interroger un passant et apprirent qu’elles s’étaient trompées de chemin et elles revinrent sur leurs pas, furieuses de cette expédition, Faustina Mau-Tempo se déchaussa car ses pieds n’étaient pas habitués à être enserrés dans des souliers et elle resta en bas, mais ce fut à fendre l’âme, nous serions sans cœur si nous nous mettions à en rire, ce sont là des humiliations qui vous brûlent ensuite la mémoire tout le restant de votre vie, le goudron était ramolli par la forte chaleur et dès les premiers pas les bas y adhérèrent, plus Faustina tirait dessus, plus les bas s’étiraient, c’est un numéro de cirque, le meilleur de la saison, assez, assez, la mère du clown vient de mourir et tout le monde pleure, le clown ne fait pas rire, il est effaré, nous nous postons donc à côté de Faustina Mau-Tempo et nous lui servons de paravent afin que sa compagne l’aide à retirer ses bas discrètement, car la pudeur des femmes d’un seul homme est intraitable, à présent elle marche pieds nus et nous retournons chez nous, et si quelqu’un parmi nous sourit c’est de tendresse.
Es bien verdad que quien mucho sabe no lo sabe todo, y la compañera de Faustina Maltiempo supo bajar del tren en Caxias, pero dónde está la cárcel, no quiere dejar en evidencia su ignorancia y se mete por una carretera, por aquí será, estamos en agosto, el calor aprieta en esta hora que se va acercando a aquella que laboriosamente fue comunicada y aprendida de memoria, la hora de la visita, y entonces tuvieron que preguntar a quien pasaba y supieron que iban engañadas en su camino y volvieron atrás, enfadadas por el paseo inútil, y Faustina Maltiempo se descalzó, que no estaban sus pies habituados a apreturas de zapatos, y se quedó con las medias remendadas, pero esto es un dolor del alma, no tendríamos corazón si nos riéramos, son humillaciones que luego nos queman la memoria durante el resto la vida, estaba el alquitrán ablandado de tanto calor y a los primeros pasos las medias se le quedaron agarradas, y cuanto más tiraba Faustina más se estiraban las medias, esto es un número de circo, el mejor de la temporada, basta, basta, acaba de morir la madre del payaso, y toda la gente llora, el payaso no hace reír, está asombrado, así estamos nosotros junto a Faustina Maltiempo y hacemos un biombo para que su compañera la ayude a quitarse las medias, con recato, que este pudor de las mujeres de un solo hombre es intocable, y ahora va descalza y nosotros nos volvemos a casa, y si alguno de nosotros sonríe es de ternura.
Bien qu’il leur fût pénible de marcher pieds nus, Alejandro et Simao dévalèrent les escaliers ;
Aunque les costaba avanzar descalzos, Alejandro y Simao bajaron a toda prisa por las escaleras;
Elle descendit les marches pieds nus, d’un pas rapide et silencieux, puis entra à la suite de Brett dans la cuisine.
Bajó rápidamente la escalera, descalza y en silencio. Siguió a Brett hasta la cocina.
Une nuit, j’l’ai entendu descendre les marches pieds nus, alors j’ai bondi et j’ai couru dans la chambre de la Maîtresse, en faisant comme si j’avais cru qu’elle m’appelait.
Una noche le oí bajar las escaleras descalzo y me levanté de un salto y entré corriendo en la alcoba del Ama fingiendo que la había oído llamar.
Mathilde allait répondre avec colère ; mais heureusement notre voyage était arrivé à sa fin, et la dispute fut coupée court par le laquais ouvrant la portière et baissant le marche-pied pour notre descente.
Matilda preparaba una furiosa respuesta cuando, por suerte, nuestro viaje llegó a término, y la discusión fue bruscamente interrumpida por el lacayo, que abrió la puerta del coche y puso la escalera para que bajásemos.
On lui délia les mains, on la fit descendre accompagnée de sa chèvre qu’on avait déliée aussi, et qui bêlait de joie de se sentir libre, et on la fit marcher pieds nus sur le dur pavé jusqu’au bas des marches du portail.
Le desataron las manos y la hicieron bajar acompañada de su cabra —a la que también habían desatado y que balaba por la alegría de sentirse libre— y caminar descalza por el duro empedrado hasta el pie de la escalera del pórtico.
La gouttière en fer-blanc accumulait la chaleur du matin, douce à la main. Mon père avait éparpillé du gravier clair du bas de l’escalier jusqu’à la clôture au fond du jardin. Il faisait bon marcher pieds nus sur les petits cailloux tièdes, le long du sentier qui menait au figuier.
El canalón de latón acumulaba calor y era agradable para los dedos por la mañana. Blanca y grata para los pies descalzos era la grava limpia que esparció el padre por el camino que serpenteaba desde las escaleras del porche hasta la tapia, hasta la higuera, hasta el final del jardín.
Il remarque aussitôt qu’elle a les yeux rouges et humides et la rassure aussitôt, ce n’est pas grave, je vais vous aider à chercher, mais lorsqu’il la suit jusqu’à sa chambre il a un choc, jamais il n’a vu un tel désordre, des piles de vêtements sur le sol, des sandales, des livres, des papiers, il contemple la pièce avec embarras, voit aussi des petites culottes, des Tampax, un débordement charnel autant dépourvu de pudeur que de sensualité, Anati ne semble pas gênée le moins du monde, elle marche pieds nus sur ses affaires, les tourne dans tous les sens et les rejette n’importe où, comme si le trousseau de clés pouvait se trouver dans un bonnet de soutien-gorge ou au fond d’une chaussette, il en est encore à se demander comment l’aider et s’il doit lui aussi soulever les vêtements épars pour les lancer un peu plus loin, que des coups de klaxon retentissent dans la rue et il se souvient du taxi qui l’attend, les deux minutes se sont écoulées, il va lui dire, laissez tomber, Anati, peu importe, je vais récupérer le double que j’ai chez moi, c’est d’ailleurs ce qu’il lui dit avant de foncer en bas des escaliers, mais au lieu d’ouvrir la porte du taxi, de s’installer à l’intérieur, de donner son adresse pour le meilleur et pour le pire, il se penche par la vitre ouverte, règle la course, n’attend même pas la monnaie, retourne en courant jusqu’à l’immeuble, s’engouffre à nouveau dans les escaliers et entre par la porte restée ouverte. Le chauffeur a filé sans m’attendre, lâche-t-il tout essoufflé et elle se plante devant lui, cramoisie, est-ce l’évidence du mensonge de son patron qui la fait rougir, ou l’évidence du mensonge qu’elle lui a servi à son arrivée, puisque, dans un geste enfantin, elle tend un poing fermé, tenez, je les ai trouvées.
No importa, te ayudaré a buscar, se apresura a responder, nota la roja humedad de sus ojos y desea tranquilizarla, pero cuando la sigue hasta su habitación se arrepiente, jamás fue testigo de tal desorden, pilas de ropa sobre el suelo, sandalias, libros, papeles, registra el cuarto con cierto embarazo, ahí ve unas bragas, sujetadores, tampones, un caos corporal por completo carente de pudor, aunque también de erotismo, ella ni siquiera se muestra turbada, camina por encima de las prendas y los objetos con sus pies descalzos, los revisa y los hace a un lado como si el manojo de llaves fuera a aparecer en la copa de un sostén o en las profundidades de un calcetín, y mientras se pregunta cómo podría ayudarla, acaso apartando él también sus cosas en cualquier dirección los bocinazos que se escuchan desde la calle le recuerdan que el taxi lo espera, el par de minutos ya ha transcurrido y sabe que debe decirle, deja, no tiene importancia, me las arreglaré con el juego de llaves que guardo en casa y eso es lo que efectivamente dice, se desliza escaleras abajo, pero se abalanza contra la ventanilla del taxista y en lugar de abrir la puerta del taxi, de pasar al interior y, a pesar de todas sus fantasías y sus deseos de darle al taxista su dirección, paga la tarifa del viaje y ni siquiera se queda para recibir el cambio, regresa con premura al edificio, sube las escaleras para entrar resollando por la puerta aún entornada. El taxista se ha ido, suelta casi asfixiado, no me esperó. Ella se muestra turbada, la evidente mentira le provoca un sonrojo, o quizá fue ella la que mintió, con un gesto infantil extiende su mano, cerrada en un puño, las encontré, le anuncia.
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