Translation for "manger de l'herbe" to spanish
Translation examples
Le chat ne mange pas d’herbe, il a besoin de viande.
El gato no puede comer hierba, tiene que comer carne.
Ils avaient entendu une rumeur selon laquelle les gens à l’Est en étaient réduits à manger de l’herbe.
Les llegó el rumor de que en el este la gente se había visto rebajada a comer hierba.
J’aurais aimé les nourrir, mais je n’ai nourri que leurs ânes, et ils auraient pu manger de l’herbe.
Me hubiera gustado darles de comer, pero he alimentado únicamente a sus burros, que hubieran podido comer hierba.
Le bétail attrapait des plaies dans la bouche à force de manger de l’herbe poussiéreuse.
Los animales de la granja tenían llagas en la boca por comer hierba cubierta de polvo.
Affamés par le blocus, ils en étaient réduits à manger de l’herbe et des insectes, du moins à condition qu’ils aient la force de les attraper.
El bloqueo los había obligado a comer hierba y las cucarachas que un hombre pudiese atrapar.
Nous n’entendions que des rumeurs : en dépit d’un rationnement strict, il n’y avait plus de nourriture sur l’île et les colons en avaient été réduits à manger de l’herbe.
Los rumores no cesaban de llegar a Lusibari. Se decía que, a pesar del cuidadoso racionamiento, los víveres se habían acabado y los refugiados se veían obligados a comer hierba.
Les pies volaient à ras de terre et quand j’arrivai à la hutte et lâchai Ésope, il se mit à manger de l’herbe. Le vent commença à souffler. XXIII À une lieue en-dessous de moi je vois la mer. Il pleut et je suis dans la montagne, une roche en surplomb me protège de la pluie.
las urracas volaban a ras de tierra huyendo del viento… Cuando entré en mi cabaña me sentí alegre y liberté al intranquilo Esopo, que después de festejarme con varias cabriolas, salió y se puso, inesperadamente, a comer hierba. XXIII Desde mi asiento de roca, al abrigo de un saliente del acantilado contemplo el mar, fumando sin tregua.
patiemment, Shadrak recoud les corps disjoints et dit à chacun : « Lève-toi et marche, je suis le Guérisseur. » Les grands animaux laineux fuient à mesure que les neiges glacées fondent sous un soleil devenu soudain colossal, et les habitants des cavernes dépérissent ; Shadrak leur apprend à manger des herbes et des graines, à cueillir les baies des fourrés qui se sont mis à pousser d’un seul coup ; il leur enseigne l’art de dresser des barrages dans leurs cours d’eau afin de prendre le poisson fugace ; ils lui vouent un culte et peignent son image sur les parois de la caverne sacrée.
Las enormes bestias prehistóricas huyen despavoridas a medida que las nieves glaciales se derriten bajo el sol colosal, y los habitantes de las cavernas se transforman en seres esqueléticos y enfermizos, y Sadrac les enseña a comer hierbas y semillas, a recoger los frutos de las malezas recién florecidas, a encordar canales en los arroyos para los peces, y todos lo alaban y pintan su imagen en las paredes de la caverna sagrada.
Les conversations en cours s’arrêtèrent, les yeux se séparèrent mais pas les mains de Gracinda Mau-Tempo et de Manuel Espada, Flor Martinha prit congé, à bientôt, Tomás, et les coudes s’installèrent autour de la table, ces gens-là n’ont aucune manière de table et si quelqu’un a mis le doigt dans sa bouche pour extraire d’une dent creuse un filament d’agneau tout mâchonné, qu’on ne s’en formalise pas, nous vivons dans un pays où on ne peut pas gaspiller la nourriture, d’autant plus qu’António Mau-Tempo, dans son uniforme en coutil, est en train de parler de cela même, de nourriture, Il est vrai que dans nos villages nous sommes affamés, nous sommes obligés de manger de l’herbe et nous avons le ventre tendu comme une peau de tambour et c’est probablement pour ça que le commandant du régiment pense qu’un âne affamé mange des chardons et comme nous sommes des ânes, dans la cour de la caserne on n’entend pas d’autre mot, hé, toi, l’âne, on en entend d’autres, certes, mais pires, alors mangeons donc des chardons, eh bien moi je dis qu’il vaut mieux bouffer des chardons que la tambouille de la caserne, seuls les cochons ne la refuseraient pas, et encore.
Acabaron allí las conversaciones que iban mediadas, se desligaron los ojos pero no las manos de Gracinda Maltiempo y Manuel Espada, se despidió Flor Martinha, hasta pronto, Tomás, y en torno de la mesa se dispusieron los codos, esta gente no sabe comportarse, y si alguien se metió un dedo en la boca para sacar de una caries una hebra mascada de cordero, no se lo tomemos a mal, vivimos en una tierra donde la comida no se puede desperdiciar, sobre todo cuando Antonio Maltiempo, en su uniforme de dril, habla de eso mismo, de comida, Es verdad que en estas tierras se pasa mucha hambre, nos vemos obligados a comer hierbas y andamos por ahí con la barriga tensa como la piel de un tambor, y quizá por eso el coronel piensa que burro con hambre cardos come, y siendo nosotros los burros, en el cuartel no se oye otra palabra, oye tú, burro, la verdad es que se oyen otras, pero peores, entonces comamos cardos, pues yo os digo que más vale comer cardos que el rancho del cuartel, sólo los cerdos no lo rechazarían, y así así.
Quarante ans de dictature n’ont pas apporté à Cuba la moindre prospérité, mais l’ont rétrogradé à la mendicité internationale en condamnant les Cubains à manger de l’herbe et des fleurs — et les Cubaines à se prostituer aux touristes du capitalisme — pour ne pas mourir de faim.
Cuarenta años de dictadura no han traído a Cuba la menor prosperidad, la han retrotraído a la mendicidad internacional y condenado a los cubanos a comer pasto y flores —y a las cubanas a prostituirse a los turistas del capitalismo— para no morirse de hambre.
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