Translation for "magazin" to spanish
Magazin
Translation examples
C’était dans un magasin de meubles et d’électroménager, sur Magazine.
Era una tienda de muebles y equipamiento para el hogar.
Le magasin vendait également des bonbons et des magazines.
La tienda vendía también caramelos y revistas.
L’homme se trouvait dans une boutique où il achetait des magazines.
El hombre estaba en la tienda abonando el importe de un par de revistas.
Il pénétra dans une boutique porno et y feuilleta des magazines de nus.
Entró en una tienda de pomo y hojeó unas revistas de mujeres desnudas.
Le commerce avait deux caisses, dont l’une était occupée par une jeune fille plongée dans un magazine.
La tienda tenía dos cajas, y en una de ellas había una chica sentada, leyendo una revista.
J’ai un peu traîné dans la salle de réception, feuilleté quelques magazines au kiosque, et louché sur les barres chocolatées.
Me entretuve un poco en la recepción, donde hojeé las revistas de la tienda y me demoré ante las chocolatinas.
Il n’y avait personne dans la boutique, sauf le coiffeur qui lisait un magazine dans le fauteuil le plus proche de la vitrine.
No había nadie en la tienda salvo el barbero, que leía una revista en el sillón más próximo a la puerta.
Et il y avait du monde à l'intérieur de la boutique d'Alâaddine : trois clients qui feuilletaient les magazines et un veilleur de nuit.
En la tienda de Aladino había una auténtica multitud: tres personas que miraban las revistas y un sereno.
J’ai tendance à sauter les articles consacrés à la technologie dans les journaux et les magazines parce que ça ne m’intéresse pas.
Cuando leo mis periódicos y revistas, tiendo a saltarme los artículos sobre tecnología, porque no siento interés.
– Je vais aller fouiner du côté de cette boutique de souvenirs et me prendre un magazine. » Roujio acquiesça.
–Voy a echar una ojeada a esa tienda de curiosidades, compraré una revista. Ruzhyó asintió.
— Dans un magazine, vous tombez sur une photo pleine page en couleurs d’une fille nue.
—Encuentra en un almacén la fotografía de una joven desnuda.
Il se débarrassa de L’Histoire des guerres et du Magazine de tous les apprentissages nécessaires à une vie heureuse.
Arrojó de sí la Historia de las guerras y el Almacén de todas las ciencias necesarias para la vida, que le estaban molestando.
Quant à la salle de visites, on l’avait divisée en deux pour en faire, d’une part une salle de rangement, et de l’autre un espace de repos. En réalité c’était à peine un agrandissement du couloir avec des fauteuils et une table basse avec des magazines.
Y la sala de visitas había sido dividida para pasar a ser por un lado almacén y, por otro, área de descanso. Poco más que un ensanchamiento del pasillo con unas cuantas butacas y una mesita con revistas.
Vous nous accusez de racisme alors que vos livres les plus vendus prônent l'antisémitisme, vos magasins vendent des poupées noires ridicules, vos magazines vantent l'esclavage des femmes.
Nos acusan de racismo cuando sus mayores éxitos de venta los consiguen con obras que predican el antisemitismo, sus almacenes exhiben y venden muñecas negras Sambo y en los quioscos callejeros pueden adquirir revistas con fotografías de mujeres atadas y amordazadas.
C’était plutôt marrant parce qu’en fait c’était lui l’écrivain célèbre, le type qui signait des trucs dans la rue, qui déjeunait avec son banquier et qui livrait ses états d’âme dans les magazines, c’était lui le type dont on parlait, l’auteur le plus intéressant de ces dix dernières années.
Y era bastante divertido porque en realidad él era el escritor famoso, el tipo que firmaba autógrafos en la calle, que comía con su banquero y que vendía sus estados de ánimo en los grandes almacenes. Era él de quien hablaban, el autor más interesante de los últimos diez años.
C’est pendant que nous interrogions chez lui un certain David Boysfield, célibataire de quarante-deux ans, pris en flagrant délit d’exhibitionnisme dans un supermarché du coin, que je remarquai la présence du même numéro en plusieurs exemplaires d’un magazine féminin.
Durante el interrogatorio al que sometimos a un hombre soltero de cuarenta y dos años llamado David Boysfield, acusado de exhibicionismo en unos grandes almacenes de la zona, me percaté de la presencia en su apartamento de varios ejemplares de un numero concreto de una revista femenina.
Sur de larges rayons, des piles de magazines entassées symétriquement : Vogue, et son édition française, Seventeen, Glamour, Harper’s Bazaar, Esquire, House and Garden, qu’il passait au crible pour en tirer des idées applicables au magasin.
Había montones de revistas geométricamente apiladas en amplios estantes —Vogue, Vogue francés, Seventeen, Glamour, Harper's Bazar, Esquire, House and Garden— que él repasaba minuciosamente, buscando ideas para las diversas secciones de los «Almacenes».
Celle-ci était ample, flottante, dans le style des vêtements que Darby portait à la fac. Elle rentra ses cheveux sous le col montant. La vendeuse l’observait discrètement. Elle ressortit dans Magazine Street et se fondit dans la foule. Au moment où elle débouchait dans Canal Street, un car déversa sa cargaison de passagers qui s’engouffrèrent dans le Sheraton.
Era holgado, como las prendas que solía usar para asistir a clase. Ocultó la cabellera bajo el cuello de la chaqueta, mientras la dependienta la observaba discretamente, salió del almacén y se perdió entre la muchedumbre. Estaba de nuevo en Canal Street. Un grupo de turistas entraba en Sheraton y se unió a ellos.
Nous, c’est-à-dire tous les parasites entretenus par l’argent de la Rosse: propriétaires de chaînes de télévision, actionnaires de grands réseaux radiophoniques, chanteurs, acteurs, photographes, designers, hommes politiques, rédacteurs en chef de magazines, présidents de grands magasins, nous les décideurs, nous les leaders d’opinion, nous, les artistes vendus, reconnus ou maudits, nous pleurions.
Nosotros, o sea, todos los pará sitos mantenidos por el dinero de la Rosse: dueños de canales de televisión, accionistas de grandes cadenas radiofónicas, cantantes, actores, fotógrafos, diseñadores, políticos, redactores jefe de revistas, presidentes de grandes almacenes, nosotros los que decidimos, nosotros los líderes de opinión, nosotros los artistas vendidos, consagrados o malditos, llorábamos.
depósito
Les garçons posèrent les pages du magazine au fond du château d’eau et le portefeuille par-dessus.
Dejaron las hojas de la revista en el fondo del depósito y colocaron la cartera encima, a modo de pisapapeles.
Marvin trouva des gens pour l’infiltrer dans les morgues des journaux, des agences télégraphiques et des grands magazines.
Marvin buscó personas que pudieran procurarle acceso clandestino a los depósitos de los periódicos, en los agencias telegráficas y en las principales revistas.
Elle rangea la revue dans son placard avec les vieux magazines de fans qu’elle avait cessé de lire depuis des dizaines d’années, lorsqu’elle avait perdu sa foi dans les stars de cinéma.
Depositó la revista en su armario junto con las viejas publicaciones para fans que había dejado de leer hacía ya décadas, cuando perdió la confianza en las estrellas de cine.
Quand un petit magazine du fin fond de la Californie publie une enquête selon laquelle le réservoir des Pinto peut exploser en cas de choc arrière, Ford tremble dans ses godasses…
En el que alguna oscura revista de California publica un informe según el cual una colisión trasera puede provocar una explosión del depósito de gasolina en los Pintos y la Ford Motor Company tiembla hasta sus cimientos...
Enfermé dans les toilettes crasseuses de la gare de Bellville, il sortit les armes des magazines dans lesquels il les avait enroulées. Puis il les démonta, en jeta les pièces dans différentes poubelles et se mit en route vers Durban Road.
En los sucios servicios de la estación de Bellville, tras la puerta atrancada, Mpayipheli sacó las pistolas de su envoltorio de revistas enrolladas. Luego salió y depositó cada arma en papeleras separadas. Inició el camino hacia la calle Durban.
quoi qu’il en soit, à la fin de 1916, Francisco avait imprimé en secret un article qu’il envoya à l’aimable attention des principaux journaux, intitulé « Vers une théorie provisoire des champs transformationnels de conscience », texte dans lequel il supposait l’existence tout autour de nous de « réseaux dynamiques invisibles d’énergie spirituelle semblables à des champs électromagnétiques », et il affirmait que ces « champs de conscience » n’étaient rien moins que les dépôts de la mémoire – à la fois pratique et morale – de l’espèce humaine, qu’il s’agissait en fait de ce dont le Stephen de Joyce avait parlé récemment (dans le magazine Egoist) et qu’il souhaitait fabriquer dans la forge de son âme : à savoir, la conscience inexistante de notre race.
de cualquier modo, hacia finales de 1916, Francisco había publicado privadamente un documento, que sometió a la amable consideración de todos los periódicos más importantes de la época, titulado Hacia una teoría provisional de los campos transformacionales de conciencia, en el que defendía la existencia, a nuestro alrededor, de «redes dinámicas de energía espiritual similar a los campos electromagnéticos», invisibles, aduciendo que esos «campos de conciencia» eran nada menos que los depósitos de la memoria —tanto práctica como moral— de la especie humana y que, de hecho, eran lo que el Stephen de Joyce había dicho recientemente (en la revista Egoist) que deseaba forjar en la herrería de su alma: es decir, la conciencia no creada de nuestra raza.
Je vous ai réservé sept pages dans le magazine.
Ya les reservé siete páginas en la revista.
À l’intérieur, c’était le genre page réclame de magazine vantant une marque de whisky où l’on voit un monsieur raffiné aux temps grises, enfoncé dans un fauteuil de cuir, avec, à la main, un verre qu’il se prépare à siffler.
Por dentro, parecía más un anuncio de Calvert’s Reserve, de esos donde un hombre con las sienes ya canosas está sentado en un sillón de cuero y tiene en la mano un vaso de whisky y se está preparando para beberlo.
C’était un luxueux magazine de sport new-yorkais qui s’était occupé de nos réservations, ainsi que de cette énorme Chevrolet décapotable rouge fraîchement louée sur Sunset Strip[1]… et après tout, j’étais journaliste de métier, j’étais donc dans l’obligation de couvrir l’événement, vaille que vaille.
Una famosa revista deportiva de Nueva York se había cuidado de las reservas, y también de aquel inmenso Chevrolet descapotable rojo que acabábamos de alquilar en un sitio de Sunset Strip… y, en fin, yo era realmente un periodista profesional; así que tenía la obligación de hacer el reportaje, fuese como fuese.
Dans le cagibi attenant à la chambre d’Hébert, au milieu d’un amoncellement de vieilles chaussures, de réserves de verveine menthe, de chaufferettes électriques en cuivre toutes cabossées, de patins à glace, de raquettes aux boyaux flasques, de magazines dépareillés, de romans illustrés, de vieux vêtements et de vieilles ficelles, on trouva un imperméable gris et dans la poche de cet imperméable une boîte en carton, plutôt plate d’environ quinze centimètres sur dix, sur laquelle était écrit :
En el trastero contiguo a la habitación de Hébert, entre montones de zapatos viejos, reservas de hierba luisa-menta, calientapiés eléctricos de cobre llenos de abolladuras, patines de hielo, raquetas de cuerdas fláccidas, revistas desparejadas, novelas ilustradas, ropa vieja y viejas cuerdas, se halló un impermeable gris y en el bolsillo de aquel impermeable una caja de cartón más bien plana de unos quince centímetros por diez, en la que estaba escrito39:
Les faits relatés étaient toujours présentés à la première personne du pluriel, invariablement sur un ton de jovialité comique considéré comme urbain par l’éditeur : « Lorsque nous avons entendu parler de la nouvelle politique d’inspection des dortoirs (les étudiants logés sur la Colline verront leurs chambres inspectées chaque semaine par le département du R.O.T.C.[19]), nous nous sommes attendus à voir, tout au long du campus, des pancartes de protestation : “À bas l’armée !’’ ou “Sortez les fascistes de nos chambres !”… » « L’autre jour, nous avons acheté une authentique peau de mouton brute, pour la somme ridiculement basse de cinq dollars… » « Un de nos amis, étudiant en sociologie, si vous voulez le savoir, nous a raconté l’autre après-midi une histoire. Il semble qu’il ait pris le train de l’après-midi pour quitter New York un dimanche… » Il y avait des morceaux habilement écrits et lisibles, mais d’autres suintaient de malice, et aucun n’obéissait à la prescription de Cummings en faveur d’un magazine « intrépidement obscène ».
Los relatos empezaban en primera persona del plural, invariablemente en un tono de burlona jovialidad que el jefe de redacción consideraba de buen tono: «Cuando nos enteramos de la nueva inspección policial de los colegios mayores (todas las semanas el departamento del Campo de Instrucción de Oficiales de Reserva inspeccionará las habitaciones de los hombres que viven en la Colina) esperábamos ver en todo el campus pancartas con inscripciones como “Abajo los militares”, “¡Impedid que los fascistas entren en nuestras habitaciones!”…» «El otro día compramos una auténtica piel de carnero sin teñir por la ridicula suma de cinco dólares…» «Uno de nuestros amigos, especializado en sociología por más señas, nos contó una anécdota la otra tarde. Parece ser que el domingo por la tarde tomó el tren en Nueva York…». Algunos textos eran hábiles y legibles, otros rezumaban socarronería, y ninguno se ajustaba a la prescripción de una revista «valientemente obscena» que había hecho E. Cummings.
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